
Ï J 3 ^ , D U C H> A R B O N. V E R R E : •
bateau de charbon deftiné à la coÿfjbmnfatiofi tde-id’pntreprife, qütau^fur & à
mefiikfi -qu’oii voudxoitle/faire arriv&tàdâipëÆée de^d^îëlM^pdur-fabflque^
-d^ïnême le eharbQfl-àinefuseîquWle^dëchargerôif dV^Aèau.
’ Cet-arrangement? procureroit une diminution de frais fuijÿtrois-objots,; R
{àlaire du Qafde.-hateau dont on ‘nauroj.s^p’aS'pbsfoiQ^J^î'Jçgfnps ; > fàtteliet
jfÉ^M É ^ w H B K an emplacement pour, aniaflèr • & gpifer lt»*fflSsp’
.jüfqu’à^çMÙ’dn le:'fabrique,, leo.QupÙde main |fdo'Qher-f>j3our’ p o rS le
•chathon^à .fabrique* ;du :Gh?rbonnier- au quartier où il-i-d'dît^r^&Voir la 'p’ffe:
uüpre façon, naproit-paÿl^eUîj^un’.ïbateau ,i.;;p’ar!exemple,<<^itj&£ant trehV§
voies, faifantj»quatreeçeïit,_cinqpaiateï-;mint>b)<, arrivant .pi&'fdeWàttelTt.r.
feràJÈeïïiaïgé à^mefure , -Toit par?--h©t-té^, foit par ^oiîîfgfeaux dans
lepremiet quartier,on lelchaijbcÆtlÿ^êtrfesfoupiis-’ au letniSagetarant deÉtp
mélé avec, les pâtes , & qui par cette^r^p'eMé^qû&rtfêÇlê pluséyoifin de
f entrée de l’açtelier^ - 11
Etat des* Uftenfiles dm de fabrication} ;
Lês :ufienfiles dontsiKconiviendroit-dé fe\pourvoir pour efeÉÉMKfëment
en grand , n bfitr«rien. de particulier-. La fabrication à- laquelle ilb^y^feporte,
ne dif&re de cèlle das.hriques à Mtàr.i^qqe.paivde.fr^lânge^dij^iGlïSrbon cfe
tëfre qui sjajoute.aux argilles. déjà -corroyées, par- i®?nSuv’^iure^r^^pient,
8ç.m. çe.que cespelottes nqmméeS^auffi par cette tai&fiibrijirej, ,^fônB,d®i îéés
à,être ebriérement confumées par le feu diftfüharbowidèiterredans ^fè|'Bëmi-
nées & dans des poeies, au dieu deVlhbïrt-unê? Étople’ fcuiffôrijfô&riSpues foi®#
çoftftruitS'iexprès. g1
iriOn;^#^|fe|t9utisrê^rder un attelierrpeur' la? fabrication-'dü;®Kârbon lf
‘terre apprêté , comme celui idmne Briqueterie ; ^quelques -outflsfÈnè ncMi
y employons, quelques expreffions pour dé(lgn^£i^^l^s''c^)érarions^g©nt
ejupjùiltée^de.l’Art de faire.des briques. Le rapport exaét entre ces deft»
opérations j nous difpénfe ab|blumenti d’entrer dans certains .d'éj^ils
attelier ; les perfonnes qui ont,l’idée [d’une Briqueterie, & q»ÿj|prarf}nt à .op,
les attentions relatives au choix des pâtes St du Charbon de terre mié liront
point embarraffées. de former un établiflement bien entendu de^pelottes wp-
hochéfsqiour le chauffage.
On {vserræjdans ün inftant:que pour quelques’’ opérations, il eft néceffaire
-que les Ouvriers ayent tou jouis- de l’eau fous leur main ; des pompes devinées
â en fournir à^yolonté,. fâns.attirailVtkurpient en même-temps l’avantage d être
un ,'fecpurs^ de ^confequence dans dp” cas d’incendie-l’attelier doit en _ être
pourvu. Acelles qui• font généralement connues, on ne doit paf.liéficer de
préférer au- moins une couple de. pompes portatives de l'efpece en ufage
lut lés vaiffeaux Hollandois pour raffraîchir les voiles hautes, les huniers & le*
perroquets ,
'ET D ZMlp E S M< I JV E S. I I . P a r t. î
perroquet* dont. /e# rt, aü^dans f e s ^ i f c d ^ rg aySj pavé
àeŸi^lpfgs^GA^gfepesffqnyl^peytje 'dépepfe ,
' f » N“1.' r , % # # w i , d e ç e ? pompll,
% cyli^dié# ^b ^ n éh p sr^ / S
cotnme’o n ' l ^ l i è ^
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< ^ c ^ ié é s ^ ( j\t! UiA{' I v M ^ l
le.diamet^irf4 ifeUf|d^la,l^^&y^|^Q^JerBillon.irfdUit
Zifeéfedoaile.du .
Ulf df^^ ^^ ^en^^top|»eipruiel-
-i>#l#'crepf|,dans la^ m J i.» &. >guX^
trous a 1 s, ce l t e b^^lic^quu ^oy plqÇgAoii,i.ii,it.rj.cL,ns un ^
^cquer i%à|PP.^jÿ^i^j'’,&>quipifl^*i^eyetà^felûi,e qti’on -en retircifejpillon st ÿ^
^ j l’on stsp u |^ |^ i^ ^m àiuonitée-. ‘d p..-frfrtfù| par Ja
fS ^ ^ y i% itl^ïfjfén\||^,ipn3âdapte-ù'la<hi'anche H ;f.
feremment conftruits , félon qu on veut envoyer de l’eau ou ciLiartofbir., ^oti
en nappe , ou en limple jet, da’ns ,un ,des quartiersj.dg,fattaliëf.n<t
.P&s ^E ^E fs^ S 'l^ fe jæ ^ ^ f^ '$fd<c.gfan4quri.d&&r^eÇ&„,f<iyGWfiruéfion
&< toujours remplis d’eau quartiers,
la ggure 2
& i .® I a ^ S ^ S |^ N 0. 1 ,'&îdaqa<l$fà^fcj»
a d é p d ^ ^ ^ e r .^ ’^q^ l?otgî^üî^ axoir
,de ’pie4s‘"de-hâuteur,& 4'up^^ggugpç.app^opriée à ’
I f f i H du ^quartier .oîv ejlqst-fc placfent, par Jrângéq^firfquê,'i^remuâg^',
.fe^rbori fe fàit^arj'çe; JieÜs dj^-f^^^-laipnlile fiil l ^
t-îjï^^e’ddftïlâârbon ^Gomme*afi|lS^^®^n^la<fgîqe i,0ftÎMiih&LElÆM. r.
C,??^§|ayes^dpivgnÿjê-tre■ fermées- de-bjançh,es‘fj|ofi^<àu ^^ô^aigpisn.rfonPi
. pourf'le%.‘ daye'^d^atyojÿ0fa^&rt oqur paffet., le
afin d’en féparer les'cailloux. Les brins ;pveüVêné^Wbiâ-la^grQffe^r dy
î3(?igfev&-être élpignésf les vuns des Sutre%de' 6 à'8,1/gqes ^afin «Jéjl^rêppaiTetJ
^^fc'menu charbqnrdes morceaux un'ifeiirçrts. |
\ ' Gyand iau lietf dl*' 'temultf [à la pélfe^.’ bh le 'pWeMà la
criblél^il peut être uïifed5ô^'fë;[|)'ouJvbl^|^*%^r^Çs''&u_'U&mtï\ en
billet de forme’cylindrique, cerclé eri:;fer-feulement1 hh circonférence
: fu)ets dfe Pliÿfîq-ue, par M. Defl'andes, CQmmiflkire de }a’M î^ i§ t<niJf^
Charbon d e Terre*-IL- JPartt.. M r t