
t l6 o D U € H A R B O W D Z T E R R E
tjecre'-déôid'és par l’expérience , foi« qu’ils puiffent êtrekemployés feulsi} foie
•qUe par iaifon diécenomfeon cherche à. marier un.Charbon «foiBfo avec un
plus fort iSï|t;la ffqbii'eft néceffaire de'mêler.un Charbonlidh moindre-qualité
■ave© pour .corriger,-ce. .queies-Charbons inférieurs f$nt;de dé,
fetSueux ;, & -leur 'ajouter-,c.e .qpi-leur manque ÿï©.efi*aiïi%irevl^ Charbons
■déüKè^caftb f e mêlent? avec,ceux , d’Ecoflè-.*y a g . 413a quivnegnt pas fil
bonsp.cmr4 -afor^ë-;J^i#eaEcQflèilsqnfoieiittemployés!,qpdg.'.4 2 0 & 42 r .
D an s-tous les ; pays» 4 : Charhon:,? ne mélange, eft un point # e n tie l^ 6 -ÿ ez
psg. 69 &• maisiàsp?rmt$^UQr,. dans .un^nâmC .atelier 3.tsLtCharbon.eÆ
p T é fé r é ^ q u e lÿ ^ u® r if e r a li, & peu .eûimé-.par -d’autres, que |»ûs t»
'•jugement uniforme fer-unsmême Gbarbom; .& 4 ^®^ C0Qfé-
qûèneéV.ilsmei feiCQnduïfemapas d'e>la même ,maniere4 orfqu ils A g e n t dif- I
, f^efets;î,©har^n^éh&fflhle,i »- e&JSèqi 3**$"
‘ .I^osjerruiiers- deiPaîis,, qui:mont queïtroisî d jèee s^G h a& fln se® terre,
à em p lo y é ’e f f i à e n tq ù e v c a ^Æ ^ ^ ^ e .^M ib l e u x ^ H L n e ^ iu t i e n t
pas 'au fep-, ne donne que du mâchefer ^e&^net produit * P ^ b | g f ollP de I
Ghah?UT..,é 5 ■ - : :i 3 ‘~
CeMfde. .Moulins; pafle pour, donner le .plusiideAchaleurij-’i è s - b o n
mêlé aye'e- celui de l’Auvergnâ * 1 ' , ^ -
Le Charbon de ^Saint-Etienne eft regardé le,meilleur;a|):è|fc#H^d^|pulins;
il y. a3 plus d’acquit à s en reryiéîsiï^parfait.lorf^u’il eften^grosénorceaux,
Ces trois Charbons/mêlésÆnfemble damfde^pr.opqrè^s^mâfliées, fout
très-hons rendent aie feu la baTré’tbi.aiaehêîî^c ne crafferikpfekt le .fer.
Dans épreuve du gharbon de-terne à la Fkrgeîi, .qui ieft .un feçyen
lequel on peut compter, les -rpnfeigriemeW^qufedohnè-.qe dsbfflécfendp deux
fortes , -les -uns le -marquent au -feu-., 'les autres f u r J e ^ t ë to
Au-feu, ce foî«'figurée,,-ià?9amtnev.î&!clal1euï ï ;la maniéré dont i|*Ji
comporte en s’élevant en forme de -vente -, ce^qui le rend-très^propre i-forger
le ,fe r; la confiflence_, la d u ré q ^ e 4bfpppe.de. crpât^quhl^orme.
(1) G’eft-à=dtte , celut-qui Tient aujourd'hui
ment înfctiéiie à îous'TeVaucres ; car al||f!pW|§
venoit de rrè£W6ijhlè-la‘mme' de la EqftSf,
abandonnée en 1768 , voyez pag. J53 . qui a été
reprife en 1774 , appellée maintenant Mine de
îwrfp trm* t'e que j’avvn de cette non, elle fouille
eft en- maflès vraiment -plefrefffes-, très-dure»,
Sc difficiles à méttre en 'morceapx -r .elléstfe réparent
en pièces de terme A de volume Vie-
gaux & différents comme les corps pierreux ;
c’eft une réunion de parcelles de Charbon micacées
, difpofées quelquefois en petites bandes
ou filets confus & interrompus : le Charbon eft
beau, éclatant & argentin. _ _ r ‘h
Cette diffémination abondante, quoiqu irrégu-:-
liere de Charbon , fait que ces .greffes pierres
en sechaufFànt, rougiffent peu à peu
"fcü-'éfhîl dni'loDnant a 1 extérieur,,..f^onlstt,
|fe eéflWj ,fe-!gerçarÿ;y^®fènda'n&&, f&o ufaea-
■ tVanr-ro^mWjlekmaffas.d^irtffile fflSeaces
^gaffes
rouge, foncée & ardente, accompagnée d’une
bonne fnm é e & fe confemment comme 1 ar-
gille en cendres grifes ; quelques portions c.on-
nent des cendres rouges : le pouffier d|||e Char*
bon-ne paraît pas'fe eoller jÿ’&sgaroît n’êtie q-8
*• de la terre. .,
On vient auffi de reprendre la mine appelle
:1a taupe, qui étoir fouillée il y a environ cinq
, ans à la profondeur .de 3 6 pieds, & qui gph
été fermée, afin de,faire palfer le Cliarbon a
laFolfe. Cette nouvelle fouille , qui a aujou •
d’hui 4 J pieds de profondeur, tombe dans ce
qu’ils appellent en Auvergne une Carpe de CI“ -
Wtif, ' r.
m r D E- $ 3 s M I M E S . I L ’P a % t . r r iîr
Les O u v rir -dqrtn‘qhe/cqmm^%7fignpf5décifif d’excelléâte qualité/. lprA
que-cetfgiplç br-âlef ^ ^ u f e ifbux' étanu .humeélé ou arrofé ‘d eau'fwper-
fasne n’igtiofô' l’uiage. dp il^ ^ ^ d e . lë ..tremper „ .four y ajouter, h ce’qu’ils
imàgmeqt, une’q ^ l i É é a u g m e n t e r celle qu’il a. Gn fait ericolfe'
qupypertte frapriëté de^eaü ^gpjpateï-.LSifetamàtioii des bitumes, eft
aV^sél^^arifcdesîm^tteürs anèîèns
' ,1SStte- .'propriété reconnue-dan?4 e; pfos grandmèmbré^e Houilles,; de
dq?^i«ne-plus-longue, btailè quand elles', o ^ é j é méujMes^i.p’effhepétîé-
d^nt.’ÇaS^particulière- qu’elle né’ pififfë- êcte^èretendue &'/x|)liqué;e de plus
^’une.façon, Le feu',- quand-il agi^ eh fooe^ftrffifante, »pî'&^It 'des effet®
dV“ 'plus-grands que ^ aaion-a(!étéjpfos^êtaïÆ‘e ?'qband,un’S f f l |'^ t f é
a é to ; d e v i’e m?, v iStêiieu fe | -ellrdilfite | eileragftîâv'ec/fe^nt plus d^pr^np-
!î#%~->-r^5d u n ÿ màtiiere d|aâjaht plus complëtte q u é f^ ^ a& ie s td e cette
M H M âuhiqub
dfeqreine àrkàlunÆr-j/Ml^eh d u r #
I Wtçm? day-aajagfr , qu^nd&^perçôitiqîleifon, fenbrûle
<ÿ > ^ im iiL . êacop,i:Qn..eh;fibon. allumé l’af-
[ iP«5t^feê^iil|èBÏlA-cfcaieiir , rendre fonffeu !
I ptes;lSpg^tpmps ; en-efiêtf il forthe parafe moyen
[ « # ^ ÿ # d ^ V0%e>ï dont /^êpipêche ffoignëufomenr -MnÀïaférnent/ -, fous
S l ^ l l e l e - f e ^ - ÿ j i^ d a n s urtëpet«:sfourneau de .révérb'ere / fë:concentré'
^ # ê S p fftC q ^ ü é rem e n t. fon-aëiôn fer le métal quWichauffe': W t^ ê la
r f t - p o 'i r ^ r ^ h ; vivaeité; de fenâfeù; à Volonté ; &■ félon Ie héfem/ eH I ë^r^dffjpnàdpn, éq ijon-précifémeht:pour
M ë ^ d e s ^ f e c lq a ^ n ë g | |n # q/Ünte,yindu6tion $ c& que
I l‘i S Und èa ü de Concevoir queles’^aîtks du
I C^ ^ V 11Ùmé:qUe S a molfiUées » dS-'pouyaht fe 'diffiper & feJheurt'èr
lefèû'd'Sit-, dê foute'néceffité , en’devenir plus concentré. - >
I 'C^|^> ^P r^ |d e lîeau, au ferpiüs, fer le Chalbon de terre' au feu, foufFrê1'
■ W §|^ p iip 2 s * &#UC en fouffrir^ qn rencCÈnftteides efpeces'de Charbons , tels '
,exen ^ le jfe ;u x q.ue;j/ppellepyrïteux 'y qiu„ certainement; ne pren- R
[ °n 7 jettëic de l’eau. Le contrairer, * qui en effet s’ob-
I eft’ donc -encQfe, à< expliquer ; ' cela t’ient-il à la j
| P | de ees ^arbdns de terrej cçllne phurroit-il pas dépendre dés veine? I
I lÊÉÈ tlrés'"* ^ e lq u e s Charbons font 'fejets aux inflammations fpon- B
: 30 ‘^S ( 3) > & ^èüt-être ià occafionner des tremblements de terre. Les
{% f j ,ë accM ltur’ oleoH l reflingubur; quoi
: 11™, %et ' qut
 f e " /W Ca!^oms Ipargunt, fe nlmj ]x.
[ ‘iin £ r . / Z ™ r i / aC " °mr0 Vividhrem
, ' , v \ , fe Charbon. b'räle.Je fer p * \
i ■U 60 dccache twp d’écaifles & de feories.
. (3) M; Vend regarde ces embrafemencs de
Hpuille comme douteux.. M. le Chevalier de
Solage, propriétaire des mines ic) Carnaux,
dont le Charbon a cette qualité de s’échauffer
même fort peu de temps après qu’il eft mis
en tas, a remarqué fur cela, que le pluscrand
effet de cette chaleur «voit été de brûler four