
T A B L E
§ § § i
Wëfice net .de i&zSoo-® , fur lequel il y auroït les
frais de Régie'& de Bureau.
Ge ' bénéfice devoit augmenter à raiion de. la
..ai# fur & t à mefure- cpp _l.e’s Marchands
de -Paris fe trouverdient forcés d’abandonner
- leû|'<c^ffi^efGe^L’j^repx^dîiif^pjet^Mu|npit
1ene©'r|-^ü|î'on auroit en peu de temps la confomma-
*tîôrf' îde da Capitale '§£ -desenvirons. Les ;fô'nds’
d’msmce “ê p n f î d é r a b l e s ÿ e U -
^epçu^-“‘^t^^^o^^^aaUsmine^ci|_te , 'dont
•les intérêts-étaient «êvifés félon l'es fûifes.
-Pommerce du Char'Bon-àe
'viere de'Meufe qui traverfe cette Cagit^L^que!
l’on^Boit'regarder comme le centre des' Mines
dév'Qàg^pl'du pays 3 favprifé füfBlamme^Tex-
' /poicatiofi :de ce combuftible , non-feulement
\dans|les Pays-Bas, mais en Hollande, 'pour fair-ë'
du tra^^^t^^ps^Mine^ une ■ fourte- confidê-
; rable de ridiefîes. . ; ' ' 84»■ §#.
- ' "Commerce du Charbon de terre en.:Angleterre*
■ 424 j -427, 434 , .43 f. De îfewcafile , à Londres
, premièrement mentionné, dans le Foedera.
a - 42c?. Etat de fe Commerce en 1 $36. p. 434, En
i ' xtfiy.p* 424.En lé y y ;p. ^2y: LeRoi’Chartes
‘ Tâit,*un petit armement pour pro'té^èr ce hom-'
merce devenu très-confidérable., & impofe à cet
feffet 4 ‘ chêfins par chalder. 435. Convoi de
neuf Vaîueafiàr d| gueïféi -11 v Chambre „de
Çommèrce ~a Rouen* Voyez ' Chambre. Voyez G on-
'fomfndtiqn.
Commis. An. Coaffajt®î>: T:;, -
'Commis, pour la perception des droits des Mefu-
reurs. Y.oy^^Méfuréurs. ]
.. ' Gotrimis' Bianchéïeurs , Metteurs à Port* 6 j$t
Motnmm. ( Èëéÿr:| j^oyez Fer. _
Communauté 'des Metteurs à Fort , Débacleurs ÿ
’Gardes-bateaux, PLanchéieurs 3 Equipeurs, Boueurs
■ Communauté, ou Corps du métier des Houilleurs
ÿ à Liege, Collegium 'Huïlariorum. Ses ftatuts & ré-
| iglements. 340,341 . Voy. Chartres. *)
'■ Comrrîunaâié des Ndutes. Nautee Parijîaci. An-
■ dennement Communauté des Marchands de Paris;'
p - .*,x . j
I CojjimnnicatJon. (. pajfage 4 e ) Alveus. G» Ber g
WMûit communiquer avec une areine , il eft deux
moyen^au ^noiè des Entrepreneurs des Minés 3
le premier eft de chafler une gallerie dans les
veines &, dafis leïôpier le^hcpnd eft de com-
r\ mufliquer par des Boleux. Cette fecohde fâçon;3’
quoique pratiquée , a l’inconvénient dé-ramener
avec les eaux qui paflent par le boleiix toutes
1 fortWd’immondicés, qui, ën venant, boucher le1
frou ' forcent les eaux de remonter- dâfis'le.
$ bure, oudl faut enfuite les xhorrer. Voyez Bo-
t^-jtîeuaitJggA
Communiquer fiai?. ' -
Communicationdes ouvrages d’une freine à
‘ ' une autre x fuj)éïièure ouInférieure.
fi faüt obfervér qu’à Liege il ejjdéfendu-,rfoiis
“-peine capitale*^ à tout Maître de folTes travaillant
par bénéfices des areines franches”, c’éft-à-dire^ fe
p ■ débarràflant dês eàùx de fa Mine,par ces Areines,
de communiquer Tes- ouvrages à une areiné bâtarde
plus- baffe ou inférieure, à caufe du grand
î■ [ préjudice que cëla fe'foit aux areines qui' fbür-
r-niiTent Vil|e. : •
Il eft également- défendu à ceux qui traVail-
'lent par les bénéfices d’une areine bâtarde .,
Rapprocher les limites de f areine'_franche, fous
fous la même peine ; à cet effet, in fkïi? de»
'lt’Paratilr<-ï. qui font en gard< di loi
pour fai e la.diffinaion & la féparation de toutes
ces areinés. 4 ri. ^hA, ^ . Q
Compagnie formées pour exploiter par con-
ceflion ; comment elles 1 nt dirigées dans les l'„/s
étrangers. 8iy. Compagnies formée, en France
pour ces exploitations par privilège. 816. Compagnie
Roy ale ^ÿ"r)*ûi\,yÂe.V^ ^jïï^®ibuXc'es
;C ;'ip^ ie font cQmp s éT pour ^Spmc.11 e vi(S
823. Abandonnées à elles - mêmes dans le choix
des moyens à employer pour pourfuivre leurs en-
treprife 8 i 5 , 817. Le plus grand nombrt ce
celles qui fe font formées j n’ont pas répondu à ce
S^K 5le^mir^êra»en'|attasdoititmMiiffle-»|.ir'..1I
-tion utile , & pour fournir abondamment à
Sommation. 8 16. Voyez Actionnaires. Ce Compagnies
n’agiilent point par elles-mêmes, elles
fcüt.obligees d’avoir des Directeurs', des Caifliers
•dés Commiflionnaires, des Commis & autres Employés
pour faire l’exploitation 6. la vente du Charbon
de terre , ce |q i.augmëffîa^m^Ktmlcn. u-
,lt jd-pcufc'Ç. f eippêctle Je èK ^ pM e u r s de
pouvoir aifément ratrapper les intérêts de leurs
mifes, 8c faire fut celte efpece de marchand 1 le
pixrfi t - qu’eÙî^pnt on v^ç^ sd^pùui'elljmùs K . iê-
pour les Propriétaires igifint vàloirçjp^, car.
-mêmes, /S ImoinaiU frais,, leu ruer«& ., Æéc inç
tentant d’un proJit^nioaiqnep^ius--yn'lnriricrv qUe
ne font des Comp^agnies qui n’agiflènt point par
g.*'TwW,raneemi»m.t^WùitMnj.
.gfn'ilfgpp. .
jwijltime..ComBagnic nulâazcbti fé former afePavs
“rdj* Liege flnr^^lîanuSptle" l’cTeiiaSg, an
xU..rcA4Puûqu'clIu^.cur.exrl_ji^5^!jJjV7!^^rK>a la
. q, \^ ccd ^a éit.tioq?ÎKrc(3icrj^inj.'p ■ )"ri,^.lacl^-, 0
’ n.iir-Ja\LC' les d-i puétairçs la-’voT^B^m^npe
T 9 >
c ’ 3 2 'f 1 ;
riiiHttmrfft.g./r. wC nno flm-es |jd.m n-yg- ^ 1 êg
IW^WnyvtmTO^|WBk ddnsSs|MȎs fin
: ™éespour®^^mOT^^^^®s4'Kss>-li'M8r8^
. Les Compagnies de Mines Si pougmuavuT>è 1c |* lé
£SEr^îffqu®3 çtic.nijiécajl-toi^cM C ^Kules,
jB ^ u Jçn^Mg!Bpn]^Æl‘ ns l’eildjpuLqiueFff e ira
au-;
. des
' Puvrieja, il lit-airc^dc'lentn cue<^ E ( j o ' ja-.
. ’ unies îfe* nuifenT:^?^iprbcjinnneii‘r*ifl^|^|n des
■ ;do'iveiie ètÆ, iepoiyés-fuis l^..jjriv>ti'g5 h'iro, 1,
fflmfé^eitLc^j.ljflieurs , 6. lcspdépenfes
étaht
alrience m pTOaé.
-; ,C0mp ig" ie~ ( de C) u-
,-boilde^rr'eA-dans 1 a’vi i 1 ëccilfPa~ i- i 6c.
rcial&^^^raentant ls
Çméarçhonnierf, ( ^^^esÆs^^Ê^Æiers. Paris
. chons. L e. Dérivé probabfement Si|feoi|B^wierr)
èn nfage dans pluMffêsi^ ^ ,SMèÊ':&.‘p8rtiçulie-i
ment en Botirgpgne, où les Mains-înortés on» lieu,
& lignifie affocié avec un autre , pour1 tenir un
ménage en commun 5 ces Coutumes font que ceux
. d’üne même famille tiennent'.tout- .en, commun », &
chacun ,de ceuxqü^jl^hipjfent ‘s’appelle P&jfon?
■miprs, ou Compe/fonniers. Compérfonniers, j%20»
Çompajfc (Berg, ) G. der zulege ( das zuleqh
2tgïken ), BouflTole de Mine?. Voyez BouJbJii
Êi Çqipptù
D E S M A T I E R E S .
■ fompaide proportion, 8i«il^^pi!r,çe^inftrument
commode»- 8.O-1 »,
Complots, mutineries, cabdfo des Ouvriers, Prévus,
• V?* P l de- l'ai'Hipuil'lerie à ■ Liege,,
^ÊConw&^mBki Chefna. Voyez Chejkür
Compagnons du métier de Houilleur, à Liege. 343 * B
Comporte, Baille.Mefure. J33 , ƒ 3 y3p. Ufitée
Ûans l’Abigeois. 724. Du poids^’ehyij^iï^É^^^qs^
oet , à Bordeaux.
Eaifon,).vVdve^- Raifon. >
CompreJJîon ( Phyf, ) Aélion de réduire l’air dans
un moindre volume : les loix principales de la
.Comprelïîoji,Jx^Eftént^én ce.fqu’elle eftnÆi;aifog>,
que, ••
grande eft fon élafticité. P3y. ,
f i m ç*
5} • *r\PWifÏ*l
l Compt^^P^nier du ) 'D r 6 i t ^ x ^ ,
Compte , vingtaine. A ,
„ ^Marqueur, v
lem , Notulant & Propriétaire. A Liege ,, fon '
dîftri'飄'-fcoHfîfie à tenir uplé/mote exade de toutes
ïes marehapdifes 9, & la note des journées de tous -
les Ouvriers employés au fervice de la Société;
'jîb®v©®^i^lè^©it :êtpé ‘arrêté. jiQurs :
îl eft aufli obligé à chaque quinzaine de d!iftcibuer:
à tous les Aflociés > un billet contenant ce qu’ils
^mjyent^paker&^ffî^léur part^LeRfoitdu|Ép^|5^*J
fe font. 326, 32 7, 3J0*
; privilèges ac-(
®OJ|désj pardeS'Souvèràins , de^foüiller jr d’exploiter '
fur- ou^.fur^ celui ^lautfh^Sôè,
-&vori(er la découverte;, ou
ï’extr:a^fon ■ des mâtieres. utiles. 503 , 615. Les
uîages font .différents en différents pays , & félon t •
les minéraux. Dans le Hartz ? il’ eft; permis à tout '
Mineur d’entreprendre une.'Mine^de fer; les Officiers
du Eoi, c’eft-à-dire, le Confeil des Mines
koüia Cdnceffion i mais fous»
i’âbondânce du .Mine-
| B fixe Une fomm^queîoela-?\'
que iptiur chaqiue foudre de Minerai ( quarante-huit f 1
quintaux le foudre ) , de façon .qu/ils puiffent ga- '
v i e ' , eu Bien travaillant.
On diminue ou fon augmente cette fomme , fui-.
t, ’c ^ Maniérétae' trw^r^éÆconféffipnsi '814* Con-s
cellîon en Angleterre. 398 , 3^9. Voyez Royal-.
. . lie*, Privilège Royal* Contraire au privilège des
Hoaftmen. VoyezHoaji Man. Les Bourgeois de
, Ne^caftle fur le -Tyne , obtiennent l’abfolüaf
xoncefiion de leur Caftle Mo or, pour» la fouillé.
Adu Charbon de terre,. x 422,'
'Concevions de Mines ,de Charbon en France. Hit
toire des Cbncefiions qui ont lieu fur les Mines
de il'a; Prpvincq^Çl Anjou* Concejfion de la
-Duchehe,d\Uzè|{ij*34» Des Mines de Rouergue,
par Arrêt du ConfQilqdu,1 j*\Février 17^3. Dés
| Mines de.iVor£. Voyez Non. A Montrélais* 55*2. •
Au tSeigneiir de ’Montjean. J'y3. Dans le Lyonr J
nois.'yp 3. Reproches contre les Concefîionnaires 4
..dans cette Tl? rq y in ® y ii ,1^07. Concefiion dû ï
L Baron de Vau3ç, dans lé Forez, fous prétexte de be-
fl^oindê grarideqpaptité deCharbon de te r ré ï^&
.Manufaâuîè fRo^e^ d’armes, .révoquée fur;-1|
les: repréfentationsms Propriétaires des Mines du,
Forez,, &;des Marchands de Charbon de terre à
.Paris, pf]|| SoUicitèurs'ÿffl^^ïçelïions. \Con- S
, peifionnaires. ,503. Lettres, dé Concefiion ,«-doi-
L Ch a r b o n d e T e r r e . I L P a rt.
xi9i
vent to.ujours être dans les (ormes légales, 6t
|M>.tçoyée5j.par Lettres -Patentes. 6 l 6. Voyez;
Lettra-Pattenta. Voyea Légijlaüon frmçoife rela~
Mtna de Charbon, Conditions i examiner
dans ces privilèges, par les perfonnes q i
veulent y être intéreffees. 8 9 8 2 ^ ,8 2 8 . 'Sen-
y'iftini,cnc,de l’Auteur fur-, les Concefîions en géné-
ral. 558 , yép. Sur l’abus qu&d’on"ifàitJup RA-
glement provifoire de l’année 174^ , cpflcef^
; Çffiï ,fpmoiig*)n des Mines de H’ouillé jfetiulè'
ne valide &: ne favorife en aucune màdiéïê'l^^_
tention de ces privilèges. t)iy, 6 16, 6 17 , 6 18 ,
J b ƒ 1.. Cus.Cloticéflions font dë| ptiÇ1
itWt&k * odieux. 619. Entièrement préjudiciaBSil
! uggffrmiMûMBmj tnWHfedoweiitifebM|t
préférence.
ffit^Jh’clF^nâdites, Bmaraj pour abus do, pfnlle Æ*
o, Abüs. des; Conceffionriâirés, Wr&. ’Vo^yez
t jmj agr..s W Ê S ^ I^ Ê B a x Ê S I^ ^ aSSSMmL ■
\yjjw».(U)Jj tLs ouvrages^des feojiùeffl^nnilTie.s ïos'
Mmes dW.njo,u/ j *» \Wf '* 68,1
,t.ie’ej:érda 1 14.P7 la lî-j du J^itgi., îi.truTot
PaixjÆ&JqcMes s émané d’unjtfjÿiul léi ieux, par
Jurifprudence Liégeoife, iTur, tout-ce quiùcüncétno
la Hüuillejlebj’ ^ .«f' ' t 3
•_’ Concurrentg.UiBiée anciérinemeSt, en\ France aui^
peu. ctrt qudfijuefqisfdacOucufe ViSjffôsTi
c r.urr rc. du Charbon de rtrrc étian^tr pre uAi
tée par rexpIoitàfipi^dtuirAdrutvfüiti b’
ConcuJJior d., Oüjuli Mcf r. ir Sj Pi ru.tS'iî
du Charbon du ^.1 ri à l’a-is, d.n-. la peicipti n do*
Droits.;. 683. Voyez Contraventions, t
Conienfation. ( Phyfique. ) Terme fort en
que l’on condenfe très-aifément. pj y , yiyé. Voyez
CompreJJîon.
«jnlejenj feau du fond desMines. V o y . Brinquebaïle.
Conduire , mener le venc^^/^.Emboucén,RaKage.'
Conduite des Charbons îAuvergne à Paris.' ypÿf
Corlutte des eaux St x 'AuKh igu Wall3 ? ?
Condaitr d’airage. Voyez ^iragé.
, Confifcation de, marchandife, f venant par mer)
excédente,'à raifon de 2000 liv. par tonneau. 63 3;
Confifcation portée fur les Charbons arrivants
j dans Fans. Dans quels cas. (fjO, ,<$63 , (Î6S ,
•Sép > 670, 6 7 1 ,6 7 4 ,6 7 5 ,6 7 7 , 679, 680.'
ù Confrairit des Hoafimen de NewcaJUe. 4 2 Î. ’5 ort
incorporâtion fous.la Keine Eliiabéibeuo*1 4.30.
Confrairit,( Ancienne ) des Marchands fréquent
tant la rivière de Seine. MercatorePaquce. Parifiacii
643V
Congé. Cas où, à Liege, il doit être donné à unr
Quvxier.j ^ , { ?S.L 3 4 6 .'
. Congédiés. ( Ouvriers étrangers dans: la Coutume i
de Hôuilîerio à Liege, ne peuvent être ) pour être
remplacés par les enfants ou domefiiques des Max—
très de foffe. ' ' 745-,
Connoijjement. ( Commerce de mer. ) Aéte ligné
du Capitaine du Vaillèau & de’ l’Ecrivapï, portanft .
reconnoiffance des Marchandifes que fé .Marchand
a fait charger , avec foumïffion de les porter à
leur deffination, moyennant un certain prix : tout
ce qui a rapport à ces elpeces d’aéfes ^fpns^fei|ig
privé) eft fixé partl‘Ordonr;ànce du mois d’Aoùc
Le mot dei.Connqi£Ten\é).t n’eft gucres d’il-:
ûge que fur l’Océan j fur la Méditerranée - otk
E 1 6 '