
; ; ' T A B L E
plus grande hauteur. Ibid. Dans/quel temps la'
machine agit entièrement par elle-mcme , & n’a pas
befoin de la vigilance dafce/a^Mur. 10 yy. Exemple
:kf'$ëë machine arrêtée pat un cheveu qui le
' feroit gliffe au-deffus du- b$ut fupérieur d'U'iir-l'e-
vier^;&5iqM.ëh le pouffant êmpêeh.oît iinjèâiôn» J^. • •
Parmi les pièces qjiïeon^ûîeat'au jeu de celles dites
principales ^OT'd^iî^an^<èMè|^b'uvertÙTes^ï'E^-
îindres, Tuyaux, ( appelléiés'quèlquëfbis iîâmcÆur ,
Robinets ) , dépendants d’une machine à vapeur,
•& à l’âi'de-X^luels fe produit' la régularité 'dmmop.^
vement. 1093. Tuyaux'de communication. 1073.
Twj)»4'ii^qiii amene ae l’eau b'afe fùpetîpürë
du grand':^ifffen i‘y'MÉ^(4ef' c^n£^^t ies euirs en
état d’humidité | 5c de Tèfmer entrée 'à "’l’air ex-
térieur dans la partie inférieure' du cylindre où
pafle -la vapeur. 109 5; Pimenfion d§ xe'tuyiàü.'xdv-
Sa communication. Id. Son .diamètre dans la machiné
de w atkins. Id. Tuyaü' lénifiant. Cliquet.
xTiiyttutfyfouaîlon^éô 'j ÿi: 2 , i&yf. Deux
tuyaux garnis de Robinets pour remplir & vuider
là chaudière quandoti veut; l’un fert à faire entrer
l’eau, l’àutrêà évacuer la chaudière quand la vapeur
entre dans le cylindré e il : eft nommé par -
cette raifon Tuyau d'évacuation, iopy. Son diamètre.'
Ibid. Tiîyàu ' rtoürriciér. 4 1 1 , 473 , 474.
Tüÿaux pour éprouver la hauteur dë l’eau danl
l’alambic. 41O , 472. Tuyau afpirant. idjj‘3^ xop/j-..
Tuyau d’afpiratiop de la Machine d’York - Buil-
Tuyau dinjeBhnf^^-âmetié- de l’ëàù
froide dans le cylindre ; il eft ën plomb, & fo^
robinet s’appelle Robinet d'injection. Voyez Robinet.
Fortifié à îôn: extrémité par un ajutage.
Tampon de ce robinet. Ibid. Tuyau injeSteur dé la
machine d’York-Buildings, ôif tiïyàü 'ff’injeéfiph.
10 y 7. Dans là machine établie à fîx' ùiillëS^dë
Newcaftle, il y a trois tuyaux inyëcfoûfs:
De même quà Wal.kef ,L/ppîüîq^)^^)éi. Tuyau
dinjeBion. Ajutage en dedans'du cylindre. 1065).
Tuyau qui conduit au cliquet reniflant. iéyjf.
Tuyau dé Vapeur. Ibid. Tuyau de “^pèhrsyl^lF
machine d’York-Buildings, l b f j . Tuyaux pour
régler la hauteur de l’eau dans la chaudière, au
nombre de deux , dans tôüfes lés machines, à va^
peur. 1060. Différence dans lamacfiihe établie^à
fix fiÉÛéé de Newcaftîé. Iâem._ Àjütagey. AjutpirsWe
tuyaux. io<5p , 1 0 8 3 io$'6. Robinet ou Fontaine
d’inje&ion, qui, dès que le régulateur eft fermé ,
s'ouvre pour produire, le Viiide, & fe ferme immédiatement
après .que f e pifton jâ commencé à
defcfefidre 5 ce. vuide fe fait en une fécondé de
temps! 469 , 10%), Yopft.Clèf du robinet d’in-
jéétion. 499 , ro6q , io7Qi3 fpô. Exfijication
dû mouvement qui Mit agi! le robit^^BjémôS'f
4.75*.' Robinet nourricier. 410. Robinets de là
machine d’York - Buildin gs. 1 o yy , ioxy6 ; robinets
d’épréûvë dâiïs cette machine. '•-
Soupapes'. Ventoûfe's.' Cliquets, 1097. Soupapes
de la machine à feu de Freinés; ipopîSdupape de
sûreté, 'ôûJdérÆil'ànbê ^oü Cliqutt dè Marionnette;
10 7 7 , ïopy. Soup apefévacuation. L'expérience a
Bit rèc'onnoîrre à M. Èeighton qu’ iffort à chaque
fcçfûp uh gallon d’eau de la foupape d’évacuation
d’un cylindre de 32-pouces. 1078'; Cliquet-zf'j
Cliquet.reniflant. 4312, 4.70, TOfy.WentôûJefSou-
paipe particulière, placée, au-deftus du chapiteau dé
f al'am’bic, pbu'r lâi'ffer échapper la vapeur loff-
qu’eïle' eft trop forte. 4 7 2 î©py. Soupapes ôü
Valvules de la machine d’York;-Buffdiïigs. ■ -itôyfL
Voyez 'Cliquet. Soupape âjpirante 1 poufqüoi 'aittu
nommée ? i'oc,6. Soupape afpirante de l’arbre afpït&
rit.{Spupdpe Reniflante' jOÙ d’infeSlion | cfiargée’
fufpëndue à % fer -gft là
mainiient toujours dans la meme direétion. iopy,
Pourquoi on l’appelle rem/knre. Sou-
jfâpê' dq^Sü^ûû^quH^ldngè" dàris làf
joùfs baignee: ^aie l’eau5|^ > ^»hjlch e r' ïe'iâée
de l’air dans le tuyau. Ibid;' Jeude^cétce foupape.
Id.Dépendance des tuyaux, robinets, godets, ou cou-
pé^dçmètal^différenfs réfervoirs. 1Ô93. Afpiration
■ qui; attife d’e à ®
le pifton & fuflé^^apier!'
Détail des ?'pa^içhï^i^sf;' les^pMs^r^é0 ffan^
fùf ' W%o^^Mom;''':l^qéù , M
calcul 8c l’ëffët^d’uné wàchine à vapeur.
Lés pârties qul compofeWflyma^^^^Meur.
paroiflent^èxtraorqih^remën^multipliées^&yc^^pli-
qùées, cependantëJlèspe'fOqt
pour l’utilitédéfàîjuftéffe^ de fes opéràtiopsi
^Æ^^^a^Guvettés j'y'-ÜB^înF,
terne. ^yÈ^BdfcheM^ï^^^afêhës^^ÆÈ^terne.
Ibid. Cuvette | jee
mérst.
jféMowffhVyvDe'quêll^manrMM^Up^mfp^^^rette
s’iritrodmtdans'lëbylihdfeyÿyÔf d'injeSHon dé
la machiné à vapeur deSHiemnitÿJiHongHe^ïpp/7.
Coupes. 474,470!
Réfervoir d’eau ou ' Grenier dans la màdhine de
115)7. ^orl ufage. P°ùr' fournir de l’eau à l’alam-
’f t 473. L’aïaîiabic & le cylindre, vus de face ,
dé.
JÊJervoirt^ÆcStioriC$ 7° » 4 7 2 ,4 76.. Sa Pompe
nourricière. 1072 , Réfervoir, poui?'l'a!.vapëuf ;
petit cyliMpefadàpîe^aps' la madhine de Walker,
où fëÿrend-îà vapeur de trois'chaudderës. j'çi'Éi-
- Révifion générale de la Machine àif|MgreQ>r fur
les
Matériaux d’une machine à vapeur de plu-
fîeurs efpeces. Les principàiësen bois. 108 $.En fer.
£$84. En' cuir. ;L©.8y. En plomb. 1084, Eh huilés,
grâiflés', enduits-, vernis: Yàl
^ Etat'fommaire des principales piece’s, qui" com-
pofent une machine à vapebr. ' Aiffiiu,
ÿëftical. îd.
de la chaudière, iop^. Boulon traversant un - etrier.
Éd. RmM qui raccorde la
traverfé* le fo^rÉef du chapiteau de
C^dre du pifton de pompé refoulante. 1 op8/CfeÆ2ne
à cdultffe , fervant à ouvrir & à fermer le robinet
- dimeéfipn;»' & à mo'uvoir le régulateur ; BBo'y.
Yoyez CoMZÿè. Cfeevi'^c’honïbnta’le qiui arrête une
extrémités aë^^fôufchéttéïàu' bas de l’étrier.
l&tMitbhxs 'Cfrèvronsïi1$&g , 474 .i^^ÊS.!^$fvou.
coin oâgoup'iUe par !ëqûi%’é® pouffe pfùs':.;hl|| ou
plus basV«Tëfon 'quil convient, le- poids -quîfdolé
entrer dans la partie fupérieure de la piece nommée
F. 1067. Autre clef. 1095). Différents collets.
%jp ; 4 7 1,4 7 3 . Codifié. Poutre •jerpèndiculairè
fervant a ouvrir & à fermer lè robinet d’înjë<ftion,
-& à mouvoir le régql$t,çur .0®'dMphragmè.%é81
477. Vue en entier avec toutes fes; dépendances
relatives à. f Ouverture & à la fermeture- du régulateur,
ainfi que du robifiet ld?injéâ:i6h. %o6v‘. Ce
méchanifme v u plus efi grand# Ibid. Fente'fiâè: là
coullffe faite de maniéré que fes cheviffes" agifTenç
en .ayante ammiliéh & en arriéréàfin’^d’élëver &
dabbaiffer lés leviers qui meuvent l’aiflïèu .autour
de fon centre autant qu’il le faut. 10^7. Le jeu
du régulateur & celui dû robinet d’inj;ë6Hon font
plus ou moins prompts , felon' la w.hftfûélibh des.
D F S M A
chevilles qui accompagnent la [cbû'h^\47(5,! Lorf- I
que la couhffe monte, é^l’l'e;'éleve un ' bias par lè,l
moy en d’une poulie qui roule-dans fon milieu,., cé
qui fait tourner l’aflSeu autant qu’il le faut pour I
-pouffer tY avec f©n poids. 10O7, to68, 1074. I
Voyez F. Voyez Poidr. .R^'préfencation de la ma-r I
villes les différentes pièces qui en dépendent. 10O9.
Marques ftwla couliflfe', auxquelles le Conducteur I
plus grande hauteur. 1074. V w | | rottrnant I
. ïe i{égw/«teMr. Defclit. 477 , |^ ^ i'!'i^ 8 . Etrier. I
c/e/r , c/zei^i/Zf?J , écrïjiw cZ^ve^er. 471. Griffes ; I
Voyez Clefs. Jantes. I
4 7 4 , WaAfkts-, Id. Mâûche.'âùjëgûra- I
teur. 10pp. mobile fur’^^Pj||a-rnièreï
iop8. Voyez dVcrcv^ê. Patte.-d deux griffes 1
qui font mouvoir l’étrier. 1099. Rate d'écreviffe. Id. I
PzVozr murillons. 1084, TOpp. Plaques 'différen-, I
fer. 4 7 0 , 472^1'b'^MI '.Fïatyfiè ' dû; : grand-- pifton I
^ipcylindfe/îÿ'WÆ^ Flatîhe's,:dkplotrib -circulaires, I
fervant à la platine du grand piftomdu^çÿlîladre. Id. I
Woulie, piece de .là couliffe. ^ ^Æ f^§ezCduîiffe'. |
poit- I
mrelles ; madriers. 4O8 , 469 , 1098. Poutre ^ per- -1
ÿ çndictflaire , ' Voyez I
m f iÊ èk 0W i 1 ' ûûfpiir, duquel la piece
gommée Y I
.ipàmêre.. 471 ■ ^^^^QwSOOdiametre dans la ma- I
chine de Frefnes. Idem. SuppoV( du régulateur. Id.
MiieŸopt ,dë ;la ?u.çrfnpe refoulante. 468,. Traverjiér I
/i0,#2zaî. 10 7 1. Vis & ^crpt^iviprayez,RcrotisX I
Y j piece nommée co;mme cette lettre , qui appar,- I
Sp^^I^aiflieu,, pp#l^^^|p^f;é^l^eur■ •toûshë. S
. dans un bout de l’aiffieu du I
régulateur., ioéyi, 1075. Yoyez.Æffeu^du. Régulai
teur.'Voyez JJmliJfê.^Poids de^la pièce nommGe^Y1,1
QÛwàfmfe%lu régulateur , l
- 4 1 1 , 'J
De quelques, 'Cpnfim&ions. ' ibX ^. yArticles ;de
conftruCHon de l’équipage d’une machine à vapeur, j
cëlmà^ I
éhînes. ; y.;!;:;- ;§4ôv 1
| Révifion des principales parties dè ces- machines , I
•pour en rappeMr^ùne idée générale. 1 Qua^
lites façons , $roportions , dimênfions des parties
de l’équipage d’une machine à vapeur. T. • , Id.
>,ïJJ&vjs ^^Katàbrégé ven forme de ) ou Mémoire
'-géherai des pàftîes & articles ' I
M^quiipàge ; yapeùr expliques I
en .detail; & par renvoi, foit -aux deferiptions , I
foit aux planches , avec les qualités , façons, pro-1
^dimeafflQsi^P« v iô’8;é..
V' Tableau de dëcompofîtion des machines à vapeur,, I
pour renfermer une' indication deydeûrs dévelop- I
pements ; de la précifion des dimênfions de la? plii^
part d’entr’elles; q’ûûyétat des Frais v& de dépeûfe I
totale ; pour pourYoff à; l’entretien de la ma- I
Ipmf^^ûpeller la - qupité * î’qrdrè.» diîppfî- I
tion , la jjuàûtiî^|$es "différents matériaux .qui en-r I
^trèftt,dans la conftrüflatûVÛe^ësvmac^ïhes: ioéé.
Etabliffement dune Machine âivapiuf. Eêafuesfrais
M de ; dépenfe, totale. 1 16©. Cette dépenfe varie |
félon la profondeur de laquelle \©,n;'„yeut élever
’les eaux, à raifon ^ë'ia nature du terrein, & du
prix des.. màfétîauX'^ànsy^g^ u ©é^ëSfiè. I
pour la, Mine dé Walker. Hem. Dépenfè' to-|
taie de l'entrepnfe julqm|^m’f!®tqu^cM’ en al
îvcommencé à tirer du Charbon* Id. Frais auxquels,
T l E R ^ Mr 1 4 5 5 ,
félon Pd. Cambray de Di'gnygpoiirroit1 monter là
.cônftfûélidn v d’unéi1 machine pareille à qelle de
fd ’, f F q û f. là
F011^ ies pompes. J i., Pour les
la an-
^Sâl^i/y^flA.Machiniftepu Gbnmc^^M,deUà ma,-
chine. Id. Trois IVIaLt^es^au' foûrn^h||^ÛEv^^P%i
tpendant fix mois. Id. Tiois Manoeuvres pour le.
Teu. Id.
T r a i ^ ^ p ^ ; j p , - . ' | î t p a i ! r a i h F r i x
d unéj/maoh'i|0.‘^ à vapeur ordinaire en rAllemagné.
Id. Dans les Provinces où les matériaux font à
bon marché , fel'éri M., d’Auxiron, Id. ' Pfix |[Ëa'’«,
gp|^e||^machine de Bqis-Boflut. Id. Le puits à
pompe & fes dépendances. Id. Machine i de Griff.
dv.Àùxi- '
îon.Id, Dépenfe4e conftiuéhon d’une machineàlyï^f :
peur , évaluée par M. le Viepmtp/ Defandrouini '
mro|r^,.p^ur lëyfëryicp de la machine , un1 Chef ou
Conducteur. Id. Dr^^^efo]^poféxà)ftëntretien' du■
■ foûpheau. - . V>; " f \ î0 ! lêm.
' ■ Mzcty , (De) Cenfeur Royal, de l’Academie ïm-
,périale dés. Curieux de la Nacure, & de l’Acad., des
^'cfèn|gde
Ouvrages & Mémoires de^phymie, 5c ràl |p î 1 \ni
teur eft redevable ,de la ,connoiflànce', par la voie'
de Ja' tra'duâion, de l’ouvrage de M. Eurella fuivles ■
Charbons Hë ^erre , l ainfi' quéedés anal y fes chy-
M. Defyeùx , dans'( lesMm^aciitrê^'^e l’Hôtel
Ro.-yal des Invalides.
1 MacKt. G . Macgtighe^§uiM4^^p^de^eineJ
Maçonnerie Vràvier
, ainG nommée à Lyon .v Maçonner fe de moel-
Ion 8c de mortier po,ur les fours à chaux.
^ ■ Maçonnerie de-la'Chetteur. Voyez Cketteur.
Mapojyièpie f ppui ^ ^ p ui^që' ^Mines. > 477
^478 ,' ;4’8 3 Voyez- Muraillement. Voyez Briques.
Pierres à Çjïaiix. Pierres., .
: Mpflricr.L J ’outre,iFfefo; »làpM grpflè^pl^ûcfite
' épaiffè de cinq à fîx pouces. |
^W % % '^ ^ :''M a icht..G:., Puiflànce dé Veiné.
nlbri.
Mdgalaa. LapisManganenjis, Ceefailp.V. Mangariefè. •
Magajins d’attelieis^ VajfeàMàil àppenris
garàptir les apjDroi)îfionner^n^au cfâpMffèm.eût,
& d’être .dçïo'ûtnés ; différenté fëlbff les màçériaux
qui demandent à êD®^|ms|-Mp<s i ' ' d , q s ,
’ conftr'uits folidement eh
pierr^cra 'en ''bois ^ïfeî^n'. l’afage ^auxqaëls^ïist^iftl'
deftinés ; entretenus foignçp'fement & fans rfetard ^
ï ïm M m r k forteV^dépë^è^^t^v, ^ ’ * ‘8,40.
Magajins d ÿ ÿ g i i ê ^ ^ ^ ^ Paires.
Hat. L’Article 17 des Placards 'du^
Plainauit ,^o#r la'
maux , imprimés à Bruxelles en 1704, veut que '
H il! ceu^ Jltl ^OTbn%;q^®foyde; condùjfe dé telle’
^'elpece ^de-'Charbon qûe vcej ^1|\v ^amé^M \qutau^ ^
magasins qui ; -M^ont aux bords de la riviere ,
foit privilégiés oft autres , ■foieùt'-objhg’és , ,avant
de charger ou;dfe ç h a r g e f - a u x d e prendre'
jdu’yCommis ûn 'bnlèt portant la qualité & |pqttà'nri,;
tiré ^ la ^M ^m l^ a iro n t deffein
•de prendre charge, comme auffî les lieuxf;où;
•pjetèndeût' les^menër | & les mutés'*ûû’8s\ dèVrônt
^ ^ àaga.»,qûe, iefdits; G^^jisjpniffent iq^erer, le
toû t ' .dàr^HlIÙrS'; ^ ^ -. $;
'magajins des, Charbons de ïJÀciife' apvport '^a'e sla
CharbcM'mefëypujets, à prendre feu. 162. Ce qu’ils
GQfi-tendient e'n 17 ; .. 737.’ Êfagâfins;ÊtÈrajfager'