
LE
forgé, xoyp ; *q£o. Dans ïa m|ckbé,|e Walhèf
il y en à quatre,. dont une » de reMs. J|?id. For me •
conftruétion de ces quatre chaudières. 1061. Lorf-
quon fait les cylindres très-grands , une chaudière
■ de relais eft nécefTaire. Ibicl. Ce fond dé ll’a'lainbic
x jS ô T A B
1 une longueur considérable * pour faire des- gai- -
leries ou des boyaùx .de Mines, de maniéré que
ce terme pourroit dans^e^tajnstcSs (êàe|Mon^' r.
jne à gallerie* Une Chaffe.' d'ouvrages exprime
j uneliiite 4® travaux en ayant dans la Mine. • -
: CHaffer,. éloigner les Mines. Chaffeé tes outrages.
iïàHèei>r\ i-v-t:..:*.v-v ?.i fiïù
' Chsgmr au bure. L e. , .> •- ;/ 212.
Chaffis. Dans les Machines hydrauliques. Tringles
de fer qui font le long du|tûÉ|u /montant
d’mfè .pompe ^;r,p.ojif$|^
pifton, & qui font attachées aux foit
impies , foit à tiers point.-1014. Voyez. Dormant.
. ~ ^ \0u^sàMs>im^i-..
; Chaffis d’une poulie. Mouffle. Voyez Moùffle.
| Chat* Winday. L e. Tour 1 châpe.l2&%tyVoyez
t ee que les ;;Kqp0 eqrs Liégeois entendent par
ees mots , Chat, Winday. 278. La charpente
àppellée* Chat , fixée folidemente à la tête
de la V^lée * où ^ n& fep ied ‘du bure, dans
la mahire.d’Athier , & répondant à peü-près
■ au hernaz de jour ,-fetrouve dans une pofîrion,
jtéÉe; que le ^chief , qui tombe dans le bqxf
après avoir embraffé, en deffous , le grand rollf
par la gorge oppofée; à çeUe -,qi^^grde le petit
rolle , le ramené vers ce dernier, afin de jouer
fur fa gorge dans la partie d’en Haut , & d’attirer
le ray ou le Ghyot lu fond de la vallée. 303,
308.
Cfiat.de Vàlléë. 3 dp.C/wf.'C. CatZe^Steint^b^^
Çajtine. Fer dechat.^Voyez Mica ferrugineux.
Ckâtaignes blanches. Caftaghoux , Auruoles ,
Aurioles , fe fechent dans les Cevermes ■ au feu
de Charbon de terre. yqy. Maniéré' ufitée dans
le Rouergue |:ipôur fécKër de même de grandes
& de petites provifionsde Châtaignes.
. Châtelaines[(Montagne de) au quartierde’Môht-
cenis en Bourgogne, &• qui fournit' du-CharBon
de terfé.'yy^. '
Chaude. Degré de chaleur que dbit éprouver le
fer pour être forgé. 845. Chaude portée. 8y2.V.Fer.
Chaudière. Cucurbitè. Fond de Valembic de fa machine
à vapeurs, pour fournir la vapeur hééëffaif er
au cylindre ; ordinairement cette bouilloire
eft en fer. Dans la machine de YjprL 'Binldihgs,.
elle eft en cuivrei'lojfd. Forme d’une chaudière
de machine à vapeurs. iè>:88. Diamètre de celle de
la machine de Freines, félon M. le Chevalier ; de
Buat. / i o ^ Il ne ' fe trouve - rien dans Belidor-&
!dans Defiiguliërs fur la maniéré de donner *à - la
chaudière une dimenfion telle que toutes fes par-
dès aient entre elles un - rapport déterminé^ M.
Cambray dèvDigny s’eft attaché à ‘cet objet. M.
d’Auxîron fe propofoit de donner à l’alambic de
là machine qu’il vouloir exécuter 9 pieds de diamètre
, qui eft-Ia proportion obfervée dans les
machines d’Angleterre , àc qui » félon lui, produit1
une vapeur fiïffifante au corps de pompe qu’il vqu-;
loit employer. 1088. Proportions de la chaudière.
?Iô88tiMoyens de réduire lès proportions dé la
chaudière à une théorie générale qui puiffe fërVir
dans tous les cas eû-l’on voudroit conftruire de
grandes & de petites machines. Ijid, ; Circulation
delà flamme autour dès parois de la chaudière de
la machiné -de Fremes. 1087. La chaudière porte
fer la maçonnerie du fourneau ». par la circdhfé*
rence de Fqn fond, 8c le plat-Bord eft foutenu dé
même. Ibid. Cheminée dé* la cfôitdîèrëi Ibid. QpeL'
uefois il y a dans une machine pljufîçurs èhaur?
ierès , comme dans la machine établie M milles
de Nevcaftle | bft il y en a deux qui font en fer
dë ;ll ébullition’' con|mü^lle4'e
l’eau , a s’encraffer plus ou moins , quelquefois mê-
me à. s’incruftétvdè.' couchés très-épaiffes &' très-
oompâéfces'de vafe ou de limon' Vdelbn la nature du
terrein dahs^Iequeî ces "ë&ùxfe font mltrées. La
même cKofe :s^|b|ôrye - dans . üne‘ ,'m^mhe,. de la
Guifînë des Invalidés •: d%ps ce ças ^on jugeÿacile-
ment'que le métal dont eft formé la cucuébite , ne
touchant plus immédiatement à l’eau *n’eâ plus
défendu contré l’a'ftién. du feu , & fe'; brûlé pius
ou-’molns/vfie^' otf eft méiitre % I
tëms en ’ tems^des» pièces neuves , ’ 'quelquefois même
de rènouveller entièrement tout ce fond', ce qui
oblige, alors de fufpendre le ’travail pendant cetîe
réparation'. 1088. Lorfqu’ori; rè^èhn^trçèfie dif-
pofition ^par la natûrë de l?èaü, voyez pagel87^.
il faut avoir foin de nétoyer là cnâhdi^™®i.dû
moins fouvent pour enlever ce dépôt de vafe.
qui* s’attache aux parois, & y ?fofta'é ^une'^M^tè
pierreuféî^' ^
Dans' la' machine à vapeur de
i de Liege , on a vu un fond- entièrement.'prieuf,
' a l’alambic , brûler- en trois-jours de tems 5 ce
qu’on attribuoit »-à ce que la machine ne tirqit
que de vieilles' eàu^ .chargées de. fédiments de
viëuM^bois", de1décomlifès , 7dcc. & à
gerice“ de /nétqyer^ l à cHâ^ië^. Dèpuis .que la
machine ne vtkc qgf1 des ^ çMres,
la chaldiere7
aécuellement fubfifte depuis l’année 1708. L’incruf-
' tation qui fe forme dans îe fond de la chaudière
de La hiaèhine d'ingrande en Bretagne , eft pier-
reufè * ■ trll-dirè: p très-éf # è .
* Chaudières pour* cfiff^enfl^^l^^Me p^hu-
faéturësV^Voyéz \ Fournedux '*à'x chaudières, ^oyez
- 'FoUhneaux^f^
■ : CËaj0àg0 An*- Fewe^Impori-aï^q^^^^Mibori
de terre
•tives faites par MrF
“ Ufage' aà''Collëgé^4 ll '^ 9^l^4er ^ » en
Mém. à i cé'bhauffâge' avec
celui ^dë bois , & /ç%lui^|é jcj|arBon fdë'’b’ols^ dans
fa confommation, dans fa chaleur & dans fa du-
rée. 'Sâ®^érioritélfpr û'e fëu deblis^ pour
la commodité-^ 13 J7.
Maniere^^^llfCbamon le^ tërre brût%^ippfêté,
s’arrange dans 'uner^heminée , lâles
conftruites par tout pays j il j^eût.y'
uniment à plat. Remarque .de M. Venèl è t cetf|
manière.
lottes. Difpofîtibii ou arrangement des pelôttes dans
le grillage. 1274. Attention à avoir dansjjtet. arrangement
en général’. 1275. Si Ton ne veut avoir
qu’un petit feu bourgeois. Ibid. Les Charbons
communément dits Charbons éès Forgèfpps, ^conviennent
pas' fi bien à cet ufage ^parçé qu|]sfpnt
communément ceux qui ont le plus Brodeur&
^ qui donnent le plus: de fumée. Mêm. 24. phèno-,
/ mie particulière que l’on peut fe jpïocurer dans fe
. chauffage de ' Charbon de terre, avec les hraifes
& les cendres. 12<56, 126 f . VoyeZBraifes.’Voyez
Cendres, Ce qui refte de braifés d’un feu de Char-
boh de terre àpprêté. I28tf. La quantité de cendres
que donne ce chauffage , exige qu on s en
débaxraflè dans la journée i différentes r|prîfes.
D B S MA
t âÿi i Ufages dé pes cendres. Economie
pour le feu. (jMèmi 3. ) Vo^^^mjéles^ééononüqués.
^^Réclàôiâÿ^péantre J ^ -feux à
i1. Londres, quand on commença à en faire TrCafè
dans cette viflèV'422'. • p.éfenîe 'de s?en fervir, -faUsi;
peine ^ 423.^ Contravention
heur eu fe à cette défenfe. -Mèm\ 22. Avei>-
fion ' ' d u Ro i G ui 11 au m e. 111. p o ur ce chauffage.
423. Sectèt p'buF?brûfeMë-'GHaÉl^otè'aeterr%,\
fans, ique l’odeur du feu de ce Charbon1 -foie
incommode., .fous le régné de Charles I , Rofd’An-
gletëxre Mém. 13 . Les Nations raffurées''ephtrei les
, préjugés défavorables à ce feu. 1
données ;de ‘ceV’’<hau-ffage | par* pLufieurs Auteurs.
Manque d’exa«9:itude fur la connoiffance de- cette
fdbftâpce^fôf@|e^ dans
commune fur les effets prétendus de ce icharifage^;.
imputàdtofn^rëbattues lâSsI les |[ft^,ou .dans'^lè^
Sai|tr^ ,'^»ï%)'étéès ■ -pat »tous (les Auteurs: .dfe
D^^hââifëS'. *'(< Mém. ^j;, 1 Examen/ ■ pak-
^ mettre-’ ^ ‘^bÿtéey.dh^&ilèf'
£ ce chauffage dont • 'quantité de pays s’acco'mmo-
dent fi bien ,>m‘é r i r e d a n s
quelques * autres. ( Mém.^8^) *;®ülpHüreufes ( exha-
îaifons appellées) dans fe gombuftion dû Chafblh
de terre eihalaifons ful1-
phureufes, loin d’être en général contraires à la 1
fenté , eonviènnenhdàris.plüfiéurs Casi {Mém. 13 ,
1 4 , 1 8 )^PP'^*^'Ahâîogi4^^^éffet#àpeur avec
lès fumées réfineufes. ( Mé?n. 18. 19 ). L’ufage que.
l’on fait de ce feu dansqjlufieurs hôpitaux bourgeois
& militaires juftifie fa falubrité. [ Mêm. 14. ) Conful-
tatiOà poür -le Princë" tFhé'odo'rëMfe Bavière, Cardinal
i Evêque-8c Prince deil,Ëiè^',t ^qùi^sjétoff-^fe)-
tM P leMàMc8^^^^pigenéralé 'du danger de ■
refpirer i’air chargé des fumées deî’^ÿoüilïé'i & qui I
ÊM^nMt^ffâbffà^ôh^ {Mém. 1 ^LFumée,
examen des incôhVéniencè. (Mem. 22.) Va * dit-on,
^f^yWongp>les ^piërres dés1 ôiaifons à Londrel.
4 Mém.: Odeur ' taxée' / pèâiiciëufè.' ( Mém. *
0 o. 2^^i^Inc|nkfedé'. \( Mém. 23^)^
^Oufliërërde cendres1 .qui s’écm’tent. loin des* ché-
sninées , dans ;’les rues. (Mém. 24.) Portraits des rues ’
,. dë lSF> Étiënne^èn-FÔfêZ^
pat <-|)llL^ff^|Éqriyams ( M érh \ ^
^p|HB)A^dfôlefur' fe^Bârdii^’Bblnitz. ( Mém.
Î50* 3 ïî '^ ^ ^ {Pdftrai# d^s|El4ujljra|Sïi^MénE 27.)
;^eSî opnions | ces tabfeàùx rédüats à leur jufte Valeur.
( Afém. 2^. Êifët de, l^ tt^ ^ ^rÉp pë au^ 1
®loh M.' B'ômarè^ ‘{Mém. 27.) odéürqui
en réfulte dans les appartements. Peut être propre
ât%lfcifier d’aifï^ Mem. 21.)
j^e/c/.Chauffe fuantê, / } 1 843.
Chaufferie. en générai eft un creufet deftiné à recevoir
les pièces pour les chauffer à mefure qu’on
achevé de les battre. 843
ferie & perfeétionnemënt de, l’acier au feu de
.Charbon de terre, en Suède 8c, en
Chaufourniers. ( Charbon de) ChauJJîne. Voyez
ChauJJine.
yMhauffretfes : fe châuffeht^à: Liege avec toute ef-
Pèce de Charbon la plus, foible , empâtée avec de
lègilè. 8^, 3:é.2;» ,6945 avantage ignoré de,M.
Venel. page 1 2.Ô3. '.Ju. ^
' ^Ùhaujjîne , Charbon de Chauffàufniers. Charbon
pour I cuire la Chaux , eft toujours, comme le ,
Charbon de Maréchal, un' Charbon menu. 1 iy 8 ,
I 34I. Charbon maigre | .légôVvpppeHé par les
Mouilleurs Liégeois del Fôuaye. 8\ï ■ çy j^y.94^
1T l E L L E S . 1387
É | | a 596, ï 243'. Quaiité qu’il doit avoir pour
eoire la*, chaux. .Voyez J?ours à chhusé^Ffix de la
pied des Mines en Auvergne. 39 1*
CA,sk# woire des ‘Chinois j ’ mélange d® Chaux
;blançhe, & d’un mauvais poulfier de Charbon
deTc.ef e- , _ ' " 1242, i-So.
^ L Auteur p^l/raice^de la çôtfi^oîflâncè générale 1
n ^ 1 1 K
dés!,échan-*
^ qûifchfâ§^nt^.Iui
R^MiK^^S.^^eite^igén '^lÂoi^SQI
® fâctiphs, PMofqphiqûes -, q a ®^ ;
^ p a r le ? ?Q e ^ 6 tfe ^ jq ^ u ^ fe ' rrfàtitrè,
yfy^ridé êtH'e^plb^ê'Mr^ îe ; champ^
^pur*yiii qu'elle1 Wen'neifi^e Y0Jff!0er perd cet
’on&ueup ffiou \rpUev emfiruftfyJk
'[’c^fequéâcè
'tire^efeaux^^^ath èn AhglejèfreJ*flMu- »
dit-on „ u ne effervefcenqé cêhfi'dérable avec l’ieau
■ flOilë ; cetteopinion lui a ^d4dâ&*4^u|î^nfëire£
+dans ce même ,endrok'de fôn Ouvrage, T om e I I ,
Part. I * page. une note fut les PierreVafpnàux,
^ Chejrûns lioyauXiÀîl ^n’ëfi^jpqint^permis d’en ap-*
procher les de Mines;. , /'
. ?C]iay.ther. Mefure de Charbon à Londres, pefant
livres, r^yieAtâ.u Prop^étai-
re d’ùp.eiH'^gg;» tops fEais; faitsu à treize chelin^
jfaifaqtï 2.6 deniers êcv>demi *'axgeüt de FranèeSro^
• Chaux àeMws. Voyez Battitures. , ,
V.y iCharkon^ de Chaus^. ^Qy^tùhfirbojP dé fCfaauf~
■ ufè urniêrs, Çhauffine, ... ti
Chaux.. (Fours à) Pierres à Chaux., 1129,
Cheminée £ Appoertmem. , ^ hju. ; 3'd3»
Eiùchapelle. Fornix. Caméra. 3 Ô4:; Dç£uijfne. 0 f .
.En oeil de boeufl^^j A'pltijie^-ujàgeesv, . . 3 ôy.
• „h. Cheminées à la F.rujfîehne ,;hie ;font i^)jn|* fà-
. v vorables aux cheminées, o,u,l’;pn.^euÇ(-Ie lêryir;
de'Ch^bôh^lëfter^o.;1
1 Cût/fc-r ou perits baquets portatifs , pour garder
, près de fa cheminée, ou> 4?n?* f°n antL
- ^chambre , une . perite^pifoi i ^ i /■
3 66 ; pourroient, pour plus grande propreté ,
. être fpaimées d^sj i ^ t m ç u r . , L|diy.ehc.
► '.^être fournies d’un petit marteau, .à pointé, pour ■
gaffer les roulants & les,hochet s. | .
i Cheminée :de VAlpTréic de la machine àyapeurÀ| ;
; en cuiyfé°iâ^à ho^. ^u- .barijiienG^
dans cet endroit eft fermée d’une foupapp
* ■ chargée de plomb;,, nommée Vfintoufe. .iooæ'Iw
I Chemins pour mener le vent. Voyez Air. Voyez
iGaleries d'écoule/i^nt. ^qj^iTuyaux à air.
Chemins d’une Mine à rembarquement, doi-
- {vent x être, confilérés dans| les projets d'encre- ^
prifes de Mines. Df-ok ;de;prajcLque,r qn.,^cheî^ih.’, ,
i '/ Chemin èonftrUlt ^rt les Egtrepreheursdé la
.M Mine de Charbon de Fims. 578. Chemins de
. itfanfport dès Mines 4Auyfrgnëxà;BtaÛ|ger^^g.
V'- * Chtjnin ou Route en planches .pour le ( chariot;
;à levier, depuis l’endroit la
, Mine , -jufqü’à rembarquement: dans la Mine de
1 Workingtpn , en Angleterre. de
r ^ohfcu^lfn.'. ■. L* Ihd?
^Çhèmifiâ&eïne. Bnvëfe:ppé. y 34, yyô. Nature
8c qualité de çette .enveloppe dan^ les Mines d’Afi-',