
D J ê a n p Galabîn' , Steur ck f e ï c ^ ê r .
^oyez Compagnie*. V-oyez Ajfocijatiott.-
‘ 1 Société , coUple de Maîtres de fÿJfe'S.-au pays'de Liege
, -peut être citée par un Marchand qui a livré des
^parchandifes à la Sociétés -348. Dette générale'
de laiSoc|éte.T. ‘ • y h" . . m
:. '&o0Mt. - ÂN. Bat tendre. , 3,81.
Sohle.' G. Ligne. Softle Unie,
Galerie-Maître. i-;:- :
Sohûg.% .Gi‘' Sokligf Bben. ;SoMig. ^;Li^;e5^de
iiaiyeau, ■’
cÿg^J>j?ir , ( -FÏZ072 du ) ou . du .Coiichant , dont la
Sireétibn -eft entre fix & neuf heures.
de yingt^^s , ; attribuée autrefois
aux Officiers Mefureurs à Paris;, ,& qui
aie■. mVfifté 'p i® 1 . . - b. • : > , «ixC
| Sol, rouge. Superficie première.. d'une Mine de
.Sommertshire. \ > Mâr’.fej?. 3 8 7 .
- Soi. Lit. 'Chevet d’unjy&duçhê* en égard à la
'digne’ hbrifontale.* V ^ e x Gçÿtcke,:
| Sol pour livre , (Droit de')- auquel plusieurs
autres droits ^ n t été afiujettis pendant |pffedon-
gue fuite d’années, comme droits de péage, paf-
fage , de travers, Barrage, pontenSge. ^ vautres.
;Voyez M e f u r e u r s bn'. é|0i|
par Arrêt du- Copfeil du 22 Décembre^iyyi ;
mais fur la remarque faite par le Gouvernement,
.que ces droit-s étoient difficiles à être perçus avec
•juffice à paufe de îleur;^nofficit^M^ t9mB_ant, en
■grande ’partie .-Tu* Je peuple j que leu* recouvrement
donnoit :fouVent4 ieti à des perceptions iiréÿi
,gulieres„, ils ont été affranchis par un Arrêt du
i.Confeil du 1 ^ Septembre '•1774.
ûaitt. ( Cadran.) -P ro je â io n utile-. pqu'r?~lës
-travaux de-Mifies^-yd^,- qui fe\ dirigent en fup-
p lé a n t fur le,: lever & fur le ie;duihtr du SoléH y. &
dans ^léfqüél^fbn^aç-Defofi^ d e fuppléer à toute
Wfpéce r d’h o rlo 'g ês/ 7 6 y . Méthodes fiçnpiés poüf^
A e n ^ ^ ^ ^ u ïr,g i^ ^ * ^ ê r c ^ p ^ tic u lîe rem e n rd ^ u fa g e
dans la Gnomoffiquê f : pôùLf d oD n e ^ d e faffi^|te,
aux Cadrans folaires. 7S7-
fg^ÊpltyXïMme de la ÿ:Trpifîeme membre des Mines
d e C harbon d’A u v e rg n e , ainfi.nommé parce-qu’il
.eft l a .bafe inférieure, de la mafTe d u C h a rb o n s 585)*
.. . Soleil. ( Chemin duygVL^Ecliptiqjie. 760.- Cercle.
| ‘Afimuth du Soleil , j j g | , ou d’une J e |o i l e ; ,,o ÿ
l’arc de l’h orifon compris* en tre le Méridien d'un
lie u & un v ertic al quelconque d o n n é , dans lequel:
4éT ^^^%-Spî^il--."pii'.l!éÉoilc^ Voyez Méridien.
»Voyez Vertical. Voyez A^imuth. Cercle afimuthal
.du Soleil. | ' • - - mBn;
• Solemnité po u r deflaifir une, couple de-Maîtres.
t&mÆm Solidaires. Les Maîtres de f o ü e , dans la. Coutum
e -de lie g e , font_folidaires pour les domma-
. ges
& ~ Spüdaire.^ Obligation ) Cas où dans la|||ou-*
tume de Liege .un Marchand n’eft pas réputé y
. ,.;ü n Marchand de fe r & lés Intérefles des Mines
d e C h arb o n - de te rre de F im s , condamnés folV;
daîrement à payer au x Officiers dé C h a r b o n de-
te rre , à Paris , les droits^attrib ués fur vingt-cinq
voies de Charbon palïees en palfe-d'ebout. • 6 7 4 .
| Soliveau. Chevron. Limande. Tigillum.. -
.
Somberho.n e n .B o u rg o g n e . M. B ég u ille t, dans
fon .Hiftoire d e 'B o u rg o g n e , indique cet endroit
comme y ayant du Charbon de te rre d o n t M .
B au b e n to n à fait , l’épreuve- &, l’anâlÿfç,^M^JDau -
benton n’en à aucune connpilTance. _ ‘
Somme. C’eft l’alTéjnbJage de pluüeuxs nombres,
de plufieuis quantités exprimées par un nombre £
une ^ ù ^ t it é ; qui. e f t1 é g a le ^ a u m ^ tr è sm ^ P ^ ^ ^
femble : exemple 1 4 , eft la fomme de 6 5 $
y , & cette' fomme n’eft ^aut&e phofe que l’addition
de 6 & y,Làiùft on., peut .d ^ fiir
l’invention d’une fomme. Somme der îno-hientr. *
Voyez 'Moïnentl. ■ 1
.pointe a^uoeanglje» qute|^
. : :.$pinjnier. (:Charpentegie.^i^Æfle^pie^ël|d^boî«-
de moyenne, groffeur entre la- & la.poaïre , &
fouvent fÿnonyme ,de ppdtre : dans pkifieurs ma-
iffilfiés' lë^nom d‘§ ^So/çmier
pièces de bois qui fervent à foutenir un poids,
.uiv effort. .233. Sonïnj'zer' de Bougnon. LÈ||p§|f«
Quelle 'forte de bois \eft préférable. ! Iden^.
®èrr:e> Oùtïl; ■ de;l|iËSj^! )p:énéfeer;, prë^.
. fondément ; d'ans._'les|yéntfe^^^i|^ p ^ ^ f r e ^ t (^ ^ ^ P
: 6ÔiUpôféfflf|^£
pour tmuver des eaux. Dans ces cas ce fod-t des
petites fondes qui ont rarement plus d^Mj,l;pieds
de lo n g , pefant environ trente liv re s , & qu^ufi
feu! homme peut manoeuvrer facilement, de maniéré
à pouvoir en une heure fonder J'-u^u à 1^
pieds de. profondeur.0
Sonde , T arriéré pour les Mines de -{Ghkhbé&d&
terre. Le. TWÿ H l j f ^?rgeT ^ 'S ^ c;
G enflane, dans fou Difcours préliminaire du premier
Volume de l’Hiftoire Naj.ureïfe* de.l%i^pr
vince. de Languedoc ,v- a donné une deferiptioh
fort J détaillée d’une de. ces fondes , ’eompofée d’une
cuiller ou ttarriere , - d 1 a i ^ 0 ^ g u |y d ê ^ ^ Q V . ^ T t -
gue de Foe«/; d’une queue d’aronde,V. Queue d’^rozz-
de ; d’un-b o n n e t de P rê tre " j ^ ^ ^ ^ ^ d ^ u ip a g é ^ jl e
^ ^ ^ àppéné^e, moutom.
-:.„r Sowd'ëj. A c^arnierer Êr d 4 2 . 'Gfapà
.5fleuret de fonde dans la Mine d’Ingrande. îdtïrâ;;
,d_.tTatnelétr^g/w^^BërfcBik.er.', 385) ,'|â||5L8‘84.
. .D’un uifigf jifp en dieux, mais utile- dans quelques
y Si8v Faite .à0râi^çbmmuhs^'y.^i
Bonnet de fonde. 394. Pièces dont eft compoïe cet
j p ulil.’ Noùvêa'U ‘ détail fur
Premier- Æ||^r:ezl de la fonde. 88é.-Second
. rMPàrçiï* 1 MÛj*--Maffceu.vre, qui s’exécute • a’véc la
"fonde. '8^îgEUe Te .trouve'.^dé'^fel dan?^Wy
vrage de-M.
T ro u s dé, .-fdpder avec J a „ tari;iéfé)tADglMTèviSDr.’
Naf. Warehol; difpofitif. 3 ^ 2 , 2 8 2 , 8 9 7 .
ÿ Trous de rarré. ( Houillerie Liégeoife. ) 2 8 5,
D ’une veiné T ^ erieu i'çà^ d n e veine in fé rié u f^ /'H o it
pitter L o fs dgJàv.mahigeM û |bMrff.-BMteÆ
^;Sbp/e£e.Xt. ( Charpenterfél) îi e e e d k bois^tra'-
verfante dans le Hernaz. -
Sortie. (Pw/rde) Puits 'dV|tf.a '« â ^."S iT r^
'Sdhacht.'*-*'
*; Sortie des cinqtgpojfei Eermes. ÇDjoitde ^ 62^, V.
Droit'. Par un Arrêt du [^Ipeifedu 23 Juin
les Charbons de terre provenants desyMirièsVde
Fims en Bourbonnois, ont été exempts de,ce,drbit.
Soufflets. L'une des plus anciennes machines
dont on ait faityùfage dan.s les Mines gopr1'améliorer
l’aîr Touterrain y 'fpit-'éïï ^'pbqfllrït,: i’àif^par
„des tuyaux jufcju’à.l’endroit d’où pnVodfoit’cbaireE
le mauvais air, alors les fôuïnetsf’étoient de cuir
ou de bois ,;.. tels. que ^çsToufflets^ë fJ^'èriesÆti
de martinets ,■ foit. en.'aroirànt le mauvais air':-1 éc
dans ce .cas on adaptoit a ces machines deux fou-
papes | telles, que d’une étoit afpirante, & l’autre
expirante. _ * ‘ \ i '
Les foufflets , dont le principe moteur étoit
D>E M A
b’û ïes pîeds.j b® les bras d’fin hommè1, ou des
<roues hydrauliques , ou dés animaux -, demandent
■ ’ ■ ÿ , fûi^
trouve dans l’Ouvrage de M. Delius des détaifs
intéreflants. Plufieurs des machines employées à
Laitage ne font autre chofe que des, fouffiets aux-j
quels on a donné une perfection relative à l’objet.
Soufflets Jimples pour conduire Ifair dans
xlMines-, pw ; ■ # ? ou des chevfditx, r m par
•un sQounaptlfâeau. pdy. Employés dans les Mines
de cuivre de
Eirayésî^fc^là^'Miné^^Château-Lâmb^t^fiéd’
Franche-Comté , par M. de Genflane. 5 6y, Remarque
de M. de Genflane. , Idem.
- Efpece de Soufflet imaginé par M. de Genffane ,
.qui, au lieu de 'rèfq^^§M^^affc|t|l’éf% d’une
pompe, afpi^ | ^ w<^MyDécrit -depuis dans l’Art.
X-LIV^ 1 # fiaé R^ltepleniÉ ;û^truéEfi R emarques';
’ftir les inconvénients des fouffiets pour * l’airage
des Mines. Z^éM: ^ v. $66.
Soufflets corrigés, appelles Ventilateurs. Voyez
Ventilateur. V:
ie /otfrnetfM# de Forge , que M. Blacltey
lô propofoit d’employer aux forges & foufcnëânx
dans lefquels il devoit exécuter à Liege le feeret '
de fondre la mine de fer au feu de Houille. 1217.
Cet Artifte dans une Lettre imprimée, & datée' •
d’Amfterdam le 20 ^Oélobre 1777, a P » f l S
qui m’avoit été écrit , 'touchant la force■ de ces*
foufflets comme ils étoient annoncés. devant être
•d’Bniey.vtonte: autre. ;Tdî®ê;': ijûè; yleur
e£féf^rbdigié;üx.iÿ;qi?ëlM|.^
• ne pouvoir fournir aucune réflexion ni critique,
ni autre ; je m’étois .contenté de rapporter lîm-
plement la chofe' telle qu elle m’étoit mandée dé
Liege. ,
l^^wMeM^Bftt'nbe^fohde^i lm a ^ ^ .^g^anmoinstrès
inflammable , qui eft ou native ou tirée par
différents procédés de différentes matières foffiles
qui en 'font chargées if||ûlellement'i n’eft autre 1
chofe qu’une fubftance combinée -^g.4 union in- .
time défl^cid||vi|rfQj-mUe’, avec1 l^pfinc^b*plifd^<
giftique ou inflammable. Ce que les anciens Chy-
miftes entenddient'par ce mot Sotlfré. I I47«
Le fo’ufre ne fe trouve point dans les Mines ■ '
.deffèr.* ? ^,-yy -fdl^ . 117-04
' d è y S o ne^difteM
t^ùè ^pamolu^de^t^uité & de légéreté. M. de
Fleurieu’ asaiihfi' que M. de RougeMux, on(t reco~nnn.à
la fuperficie des fehiftes de la Mine de Charbon
de terre,-de S. Genîs , terre noire iJr: dans le Forezf •
<lès),fleiusideTdufre én:ddis^fiÿs,}^pz:;épaiCes.. y o i . ’
- Foye de Soufrei Hepar. Soufre; Tondu avec un
alkafi fixe 5 il eft ,dr@;k QUge!u6t^ ^attire I l’hhnu-
dké & eft âcre ^ fon* odeur fe fait ' rem'âjrqjùer
dans 3a combuftion & dans ^ ffily feâ e quelques
^ ^ b p i ^ ^ i 2(%3 Da|iss les Charbons de terre
d’Aubaign^y^ce fpye de foufre eft ammoniacal. M. T
Sage juge que c’eft l e - d e ifôuÉê pxiftànt ' '
dans tous les Charbons de terre 3 qui peut nuire
dans Tufagé écondmiçj^e tcdu Charbon de S S rÿ ^
comme 'eombuftibie , & qui produit l’altération
des métaux qu’on chauffe, avec ce bitume.
jj£; ÿo«^<; dans le Charbon, de terre. ( Odeur de )
| u J4* C Mém. M. de éenfane.
i i y 4* M. Zimmermann- &- de M. Kureila.
^Mémoire I ^#Mljdée^ ^ E n eft afTez COIMt'
miinément de l'exiftence du foufre dans le plus
grand nombre de Ghamgnsv,de -terre
r- ^-Har été oenDamment remarqué dans les analyfes oiiées
page IIX4! que fallcali volatili,1e:Tel ûHlîft&ftisiS>
F l’acide fulphureux, le foufre uni à 'l’alkali 4 du
avec l'huile dans l’état d’hepar ou de rubis,
font formés dans les vailTeaux qui 'ïièBferment
i ^es Charbons de terre fournis à lavdift>îiufciqo,i il
ne s’enfuit point pour cela que dans la combuftion
du Charbi 1 de
s’en exhalent foient de la même nature ; les phé-*
h Çiimdai/sayj*;.-? q6S^de,^,;ÿikl^fë'iMnsûlès
féaux clos ; fi dans le premier cas il y a una
décompofition prefque tôt: ‘q, u te pu - e d .■ eULa
1 ne d i le 0 ou {
cas ; mais il s’opère des re. ompol on d où pro-
, 1 ° ati , i e 1 ; . ■
foufre , qui 'ne fe trouvent point tous formés dans •
.«-•Vîïr/<, ^ H 1£j'£-1£ 'b-•n"tS>&i ,ijiÿ*i‘
. un d e foufre » «.» r l£
Churl on de terre à Sulcïbach. 113S, n S r .
bxtra&i n dufoujfr'c d j pjri ei* â ec e feu de :
. G aspqii dtt^ei i 5>5^V "T 4,^ ‘5
M1 ’ d ni u%iiffî,îj!Sii,pi j> Ig uLr-
BîS. do-tiei.il.aq^P.jB^fV^Srw, î ■ '< i *'•. 7.
Soufrées, (Arches) néceiTaires parmi les appro-
vifi )niîeme u d u le Mi ie p mr nettre le feu à la !
jr c trcouche lorfquon veut faire fauter le roc avt e !
la poudre à canon : on prend ordinairem nt t. 5i-î’’-‘
de ces meches , onlesamoliiteniespafiantpar-
uy.1 e-iJueÿ-5t up-tcatU' tt\ j [
'Iraqidllés. élnfemblci. uijW,t-; 1 Uîi^bipSïtt
au bout du peti tuvmr qui v;t julqu’à la l ji-
touche, & on allume l’autre bout à la lampe, en
a^ïir,t'asKÛutq u de le rôti, r.picj p IUj tj dVi«
qpplmrgj endroit c . droit e r
Lkiu.iié, oivdtiniMÿpMtld '1 riq 'r^ i'L lSr
afi i qu’on ait la tt mps d e gagner cet endroit ff
avant qu’elles mettent le feu à la poudre. „■ .
Soufreux. (Charbon) Veine puante. Stinking Vein.
An. V. MMfeitir.
(Jitn^radr/tce.) DéElarâtion par la^t.
quelle on s’oblige de payer : tous Voituriers St-
Marchands de ert , fi Hbàurgeois, IgJliar. ins.
font tenus de fa i è' leur foumiflîon de pa e i es si
droits de quato ze jls £ s den rs qp'àr n not de
Charbon de terre deftiné: ;pd.ur Paris ,.8e pour la,
banlieue. , .. J '& m i 6 6J,
‘ Soupape. Clapet. î^alvttl-ej/Parde.dês/.pîus,’ efTeQ.;:
tielles des machines hydrauliques ;
chon, un couyercle. ou- toute, aMFe-ipieçé; terVanc '
1. dans une pompe à laiffer pafler l’eau , mais qui
referme enfuite le paflage quand elle a été une
fois tirée par le moyen du pifton. 1012 , • i oao.1
De Dili re e efpet es. 1022. Çonftruites ou entièrement
de cuit- , ou de cuir & de bois V ;ou de
laiton Sé de cuit, ou de cuivre. 1023. ■ £0 e -da
' Ibid.
La difficulté que l’eau éprouvé...en1 .palTajit par
les. foupapes ., efl: une des principal :s cpn.fi lét trit ns - '
dont ceux qui- entreprennent d’établir des pon pes
doi et t‘ ccuper. 1 0^,.
v Bo 1 te qualité, f oGtio t & go tlti tétion d u ®
llllDlei lllal lpfeefa n’t e'*uvr4 ,,i bd|e-.\ la folidiit é & de l’iép#aif-
feu . , I 02 A
Dn d ame re de leur ouverture, io a y , rond.
Eclairciflement. fur ce point. ... 1 0 2 ^
Fondions d’une Soupape. ' * ton r *. bden?*
Principes fur lef fuels il faut déterminer l’ouverture
' des Soupapes. j 026.
Conftruélion des Soupapes de la machine à va*