
1 .4 0 2 . . T A S
àxi & à réfoudre pour trouver ces dimgnfîons 8,01.
. Bimenfîons que doit avoir un Xho'rre. 71. Dimen- |
{ions des principales-pièces le la Machine à ^a-
1 peur. \
; j pïmtfjiàns des bàtèaux àa Qmû desBriare.^ S$&M
JDioptra. Nom générique de tout inÉrament fermant
à regarder , & donné en particulier par
3Pline, ' au quartdecefcfey - " r-fy' ’v l . 7$4*
Dioptres. Petits trous dans les Inftruments diop- ( '
triques, par lefquels paffent les rayons vifuels, qui
.viennent des objets .aÿcêi’l; v *
iiiiueuj^p.qûr -détourner '
ide
Directeurs. Maîtres , InfpeBeurs des Mines», %•..
; '£ê?gmlz^èr;l^e|dll(t ces Prépofés de Mines doivent
^ê&inftrm^*au préalable^' 817.- ^yfez Entrepreneurs.
‘^^^^M$'^incfpedis.J G, Haupt StreicKen.
Direkion dés Couphës^di^Veines de 0 mépn. L e.
'rÀllurè. On entend' par ;é¥s expreffions la fituation
des Veines , relativement aux quatre Points 'Gaiv
dinaux du monde. 87%. Dans le .pâ^s de'Liège,
autour de la Capitale , trayerfée par la Meufe y-le
commencement des Couches fe fait.voir depuis une
•lieue environ^ au-devant de la Ville , & elles'-s’é-
' tendent, jufqu’à deux lieues au-delà du Couchant.
Là fuite des Veines ^^du côt^dhtC^iÿnàïïf,^fs’ëtënd ^
elle né va-pas à
plus d-up'^uaft de lieue. Aü Midi, de l’autre côté
de la Meufé, ^elles fe^prolqpgent aji plus àj'deihî-f
\Iieüè^mais toujours de'" PÉflf à l’Oueft; & il eft
probable que ce font toutes les mêmes Couches,
duoique leur, inclinaifon éharî£e de diftance' en dit- _
tance.^ tàntât-àuMidi, tantôt au Nord. 64, 83 ,
S4. Il ell irnp^rtaui pour leffu'cbès des travaux de
Mines de fe former une idée jufte de la nature &
de la direction des Couches. ' 874. M. Lehmann
indique une maniéré très-fimpjé pôùreela. Prenez,
dit ce ^ÿâht .^^Wôliime in-folio, l’ayant couché
devant vous, fur hne’ tableyélèvez-le ün'péud’ü'n
côté 5 il n importe que l’autre bout du livre ;rêpofe
par uü Mté entier , ou fîmplement pàr^ufc ydbîîi
fur la table, ni que fon inclinaifon foitdéi^y-,'
iio , $ 0 , jufqua 90 degrés, il repréfentera toujours.
la HireOEiô'n & là. chuté de'dàfëbuche*JEn
regardant la table comme la ligne horifontale^ &
tirant fur le livré une* ligne qui lui foit parallèle ,
•elle marquera la direction de là'coùche ; une autre
perpendiculaire, à celle-ci, éft appellée fa cliûTéTj.<a
«ouverture d’en-bas du livre repréfente, le Couchant,
& 'celui d’en-haut le pendant de là couche.vVoyez
inclinaifon, Pendage.
La/iré^pb des Veines de Charbon s’exprime
différemment en termes de Mineurs. 875.
Dire&iqn capitale, occidentale des Veines. 900.
3Elle peut fe juger par la .dirèétion des "couches ter-
T.eufes & pierreufes, dont eft comjiôÿe la montagne
quf renfefmë les lits de Charbon dè terre. Les
Minéralôgîftes regardent comme les plus ayanta^ *
geux les 'fildhs .qùi ont la même direâion que les
bancs de pierre dont ils font environnés. Comme
néanmoins l’indudion à tirer de la direéfcion dès
Veines par celle des couches dont elles font accompagnées
, peut quelquefois être fautive ; le
moyen lé plus fffr pour déterminer la diredion d’un
filon métalliqüèy.ou d’une veine de Charbon ÿ
ç’eft d'avoir recours a la Bouflble. 8^6 y ‘Voÿéjj £
Roujfole. Perquifition des couches par la tarriere
<ou fonde. . |
\ '.Çtuâgavjxnt;^ êtotâim des Veinés,' 8 ^ ; D'aiis
les Mines ,d’An joui < • 5*48*
. Dh-eMion d'une galerie de Miné., Bçatt % Cette
direction. Voyez Gakrze. Dérermin-er Za dire#zora
Ane gaierzè B ne peut /«ire u/age ie
f e Vaïguïlte tianfftpüblée^^^
Mine de fer. Problêmede Weidler. 1 fg-oy.
intendance de,
confiée au Prévôt ; des Marchands & aux
fg | .. .j . ^ ^ 2 .
‘ Difcombrer. Le . Nétoyer un vieux bure. 3 1^,
R e tire ) Le. H | \_28y,
. JOHJîentions des Veines*. Conteftations qui peu-
vent naître fur ce fujet. 73 0o
Dijlillatîon d,u;{Ghap^àlu^f^e%r^qâh’tité d’air
qui fe dégage de cette fubftance dans cetlé; opéra-
tion. Wi 1 1
Difhllatiqii 'du 'CKarbon de terre pour en iher
le bitume per defcenfmn. 11^ g4 .
• Diftiüation de la r liqueur ou fuie du-Charbon 4e
terre, pour en retirer àyejfedonomie(^e ltalfeli
volatil. .Eri<Vpiêî ùnyprocédé imaginé par Jï, de
SàivéyN^btréâife ;à Liège. * •.
B. Quatre- livres de Suie, de Houille P grahez-les
peu ferrée ,. tënd^irigf p® :
1 chaffis^ verfez delfus huit ou dix pintes d’eau
■ i/' bpüillante'j : prenez: f eau' ;qui; aura été filtrée, 6c
T faitÆs4àyéya^Msq.a^^ M chaudtbh de fer, juf-
qu’à ce que la liqueur foit réduite à la
‘ * • - tance d’un fyrop clair. Procédjz enfuite avec
' : cette li^Jux Se la maniéré fuivante.
Dans le cas oufihs’agit d’obtenir de l’alkali mïlatiî
- Venez ffayoitya de. .la^KaijUc^éteinte.euf e an-
' > t'itë ïuffifantl •pbw-tfp'^er^^^^^^.ejd^buuiU
. dè .verre -ôâ^âei^Is , ’én y adàpt^^miflî^toc
û^'chapîfeau dé vertéracornitvdutfueJ|mf;'iu^
tera un^eeipien^^^Sn dé recevoir ll^^ ^ purs
| ;î:.|pi ^eléVerpnt fcra
■ traitée à un feu modéré, & on continuera là
' ■". diftlu^olf^üfMfàr ctë^hu’it|mfedâlTé^ v ironi un
• quart dfe la lidaeur Qui àurMet^emblpvée. L’cP.
^^^^mn^àché^ée^^^llôuv&Mlari’skl^ ë b ipient
' d^l*àl#ali^^^il^:'flifiide très-pi^^u^^^^pfe
différé de l’alkaliJyblàtil1. durfel' mîmcTOac que
- par- urvi.,^^WQdeu ^ ^ mlfe ri
f lant ünè fécondé fois fur uii peüf de pierre de
’ chauxd^^^ezf i J q d e
terre.
Diffihatibhde l’eau-de-vie & de^l’eÿMfde-vin ;
_ au feu de Charbon de terre. -1 253.
•- Difthlafion“des_:elprits acides -, au fèu de|6har-
bon de terre. ïayq.
’■i '^almort^h^rcÊMHd Snhere.
P'ivijion des Montagnes oyez Mont aptes.
74f
- Pmjtoris dés^fnfjures courantes;ëmplôyées par les
Arpenteurs de Mines. 182, Maniéré dje ' lefepdi-,
qûer.
Dixième Royal. Droit pour le Roi-, irês-ancien
en Angleterre. Voyez Royalty.^Êtabliim france
dès l’an 1413 , pour le Roi, fur toutes, !e.s€ub-
ftances terrestres. 6b$., Afrahdhi dq'jiridâifië ®n
férents temps, felon leç circoriffances. 610;
Dixième. ( Jeu dû- )- .Commeree "tilaririme y f ^ “
lité accordée par un-Arrêt- du j5) Avril i
mettre les Capitaines de navires à couvert des failles
qu’ils pourroient encourir .par erreur dans 1$
jaugé dè leurs bâtiment. 73 !•»
DodrariSè'JPàlmus major. jSpitharriq. Voy. Empall»
Doigts» Parties de faune des Mefureur? de Mines.
D E S M A T I E R E S ) Ï 4 0 3
leurs Dû
Domaine \'1St * r(.tmn.îs' dis Don me i t o y t î l
Croits.
Dôme. Couvercle, chapiteau de l’alambic. Voy.
Domina cï Don i seVcenicmiSjF.iiÆ^jiffAraMiüiv I
. . . . 328.
Dominé Vie i f i ni ï^ger.nu”
ij&Qp^irxze. I
oiifitSa^luicV, I
$2ÿ > 73®ÏJÎ)ufand. ’Jiÿ.Dommage particulier,^^, I
rtpér. içt. ( ï l i ^ g w é .
mPD onizl*:..!*1 , ‘i” p: l'&tfifiJîi'ç,. j.
Jihm ju. ( Charpe C T } I
• iC'iZJ j 'a1 Jiiin J- iHô au Lfpcce di. ,Vji 1. 1
Dr Ramures , ou filcines poli ttiu-|
-Êbnner.
Double Barre Stx Gt-ftaUge:
Doub c thrna? Fo fc du grand Athour L e. ]
Doublepannee, dotale t r , JubilTujit. 3-4. ]
Douce. ( Mine ) Voyez Mine, Douce terroule ,
ifinpl r\ oc a L js ulnuTicttt.^. 81 . I
WZV^aiJ^fd ; mëiMjjafflfe^dùnatiul^B ruufe'lois* |
"pour I» C'"aehSn,rdLjoflu aid IrUmL r ? 8.724.
*'?' ÿ 11“ -1' 0,1 dùrme^clrionr à
^QütcyUndre:;^ann'eau rpSftiSvautdè metanf^'^
*Wl)s ix, [b 1.0 y V n t i,/ Per':
Dlrebb'eh ÇoincilA Inyuntion ducoP.^lm , pour |
fco îdm eug \ o11u iu àja rame fous l eajn Ce Va®]
Jua 1 ■ qui in oit été couftto't'polir luRoi Jacijue-. i , |
'fconren jn''dou7C'',Rameurs’', fàns’ôoîpptèr îes'Paf- |
pajjtrs"; l’cxprrdjnce en lut laite, dans’ la Tamdt & ']
lin de ceux qui étoient de ecte navigation loüs |
P‘t ^, vu on’ unl irtVloi I ju )M Jioylu t i lien t U |
relation tnre ju l’oû ait ci n fiu ti di'cirîj |
navigation finguliere : la liqueur, félon M. Boyle, |
|8^g^^^^M^ ^ iM%ld!M K ^ B m ilS :eén‘dre* ‘de |
Drebbel, qui débouchant la bautcilli, ent.iifoirufu- |
%?. m^inps'.en 7tèiiip<'quïhd1 l’air du ^aSleiiu ,
Échauffé par 1 haleine ae n u \ q II ÿ étoient, n’étôit' |
^lusfefpi^Blis®:«^. •. . i ' ÿ j . . ]
foVjwgçiüVeûores'. Hta-h ur.’ J:';;
5ii jurplmi 'e, qu va par
"les. ttoisi heures'. Voyez ittip", 87 <î. Voyez Sur-
plombé. r
slîDreii, dft.jîoc. Lb. Ln
Iment de l!ouvrage,j .’commèiôn.’dit', en Avant- ,
|nain._ ■ I
•sU" Drift. Vifu An. -3 &8gManége. Allure des Veines. |
i Bm I K
' i Droit. ÇFilon) SAx.>Soheure Gange.- 1 8.77.
•f1 Dcir. i Jurilpi idençi j Lo)., conftitution, rerie |
obligatoire, differente dans f t| maximes chez cha- |
que nation, utile à cpnnoîtrei 827, 8aj). Jàtude |
Droit uéceifaire à un Ingénieur dé Mines.. 740.
I >Droits relatifs à l’exploitation des Mines. IhPits |
jM Proprf*«»*» ide terrehf ,'&fiXplorter entiére-
®?nt ^ iel» Drojt||ûsrjteftable de remet
ieuls leproàuAæJeur tetrein , A lt.^&uit.cfcsi'i
‘Bépenfes qu’ils pêùvènÇaire poù cela j.nhîlemfeatS,]
fhfirmé par robligatitfiïi^fempofe le Réglement
s». Janvier 1774, ( pour l’exploitation des
Mil d Houille oa di Charbon de t ne) de |
pémander la perùtUEoü. Voyez ;'Prôpnéré, Propriétaire,
Permijfton,,
Droit [Acquifition du ) d?exploiter ufïê Miiiè dé
Charbon, félon les ufages & coutumes de Liege. iï
eft plufieurs maniérés de s’affurer de ce .droit vis-
a-vis des Propriétaires de la furface , nommés aü
•Pays de Liege ff«mer j & vis-à-vis des Propriëta:i-
> res f f lW M M f e M t a r y Terrageur. Voyez
fondeur r Terrageur , Huniers. La première forme
d’acquilîtion eft défignée fous les expreffions Con-
5 Permijfions. Voyez C o n v '^ X f
Rendage, Perm^o/z. La fécondé maniéré eft dite
swie ou de çorcçugre, parce qu’au refus’ du
Frbp#étaÎFè ië, la perffiifff^n?lpa4^réndÿgev^
î^emio/zr , la faculté d’exploiter la Mine eft oébroÿé'e'
^ Jugé ^ en vertu d’un Mandement du
de Bavière , du 22 Décembïe
15*81, publié félon les formes, au Péron de Liege,
le 20 Janvier 1 yBa. Cette, loi eft.fondée fur l’intérêr
•public qui exigequedesfubftancesutilesneref-
tent point enfouies, & que l’Entrepreneur qui fe
'm^plfe^MÆ|’r i^ e sk.^ puérils! ôBfortuhë h d‘en fafÈb
PoJJeJJîons, Formalités. H
d|a^z?2è.v)^Ë.^E^pabîànÉ-^^W6
s<Aq uèq'üM^p-kl" ^iftjpgue iM^üxiïbftCesM^^QW >
celui de percer <8c de conduire 'un Aqueduc dans
|||s^Èr4i^d’autcm4|,eipfm^i^^^mélk^
, Latihs..’> ^e^c^Mydiroî^ eft
, la redevance de celui qui fait pouffer à fes frais
■une galerie directement15 & qui eft due avec le
droit dfe Terrage,: ce droit d’Areine eft appelle
dans là " Coutume de Liege £e Cen^ , ou le Ce?i£ ’ v
d’^reinéy^WGe^qUel.^Qan^^iifôlquellD^
paie ordinairement 4e centième rrazr Dans d’autres ;
ffanc &; libre, à moins que
f Entrepreneur n’ait fait la dé’penfe de l’Aqueduc 3 %
& qu’il ne foit lui-même Arnier. 3.0» -
ySôyêZ Arnier. ■ Ce |â|mi^â'elCèrij; :/d? A reine : eft ;qâ
^^bfl^^^pweai^^ll^galerlé. encore i poüï
qui •Ton^a^^^^^^fgqpéralemen
tout liés
eaux dans l’Areme
®e^^nÈy,VUph n S t t j '*P^°R ^
^déqqiwr^ une Æ ^ ® C h a r p d | i m é t - ' ;:.!
tallique (; ^il eft tout fimple que .fouvent on n en
0jm^Mîfe
de/cj|tte éfpëce: "alors la CputumèÇen Àfîenlagn'e
'^ft-^que
avantages^d^ceypefcèmÿhtljp^e^ en
eft le Pi-opriétaire lè <dÉ0itf dè: përGémént ; 'c'eft lig
dix-huitieme ouytlê neuvième , ou' le’ qu’atriemè, I
denier, félon les cirëonftances , félon les convenu
tions ^ qui ont été .iip|u)lèës: 5i feldn; H dr3o J®S
nances & Loix de Mines de chaque Fâys. Vbyëis :;.,
Percprnejip. sVôÿ. Entrepreneur
Dr<?if qü Çéhï^S Terrage. L e. DM f nui^appar-' j
^ieiitla^d^fférentesperfohn^y'A^'Oiy^^ J
PÙMes. Maîtres dé ffo'fles Ifont déchargés de ce droit.1
3 2 y. Comment ce droit doit être réglé. Ibid. Voyez
3fâit''4è!Terrdget y ; " 1'-'1 ' Ibid“
Droit de Verfage. Le. Droit qui eft le mêmé.:.|ue^ ;
le cent d’Areine, & qui eft dff.au'Propriétaire du
fonds pur: îbs •È^fèprenèuts, dans \les ^asyOffit'^i,
lieu’.de xhorrer les eaux par une Areine 3 ils les ' -
xhorrent par des machines gui fies enlevent ‘ah
|;o§iy.'; ( 322 .y 3 2^& ? I?i*
| ' T f if lW r ^ V oyez Triple. ' ' '<
Çi. Droit < des AJfaciês. ÿ , 3 2%
> Dm ti Tefiri/ës par les Fropriétàhes.