
1484 T A B L E
g a rd e r comme trè s-d o u te u x , lorfque Ton envifage
là grande identité avec la ’ gomme copale.
Poix. X Charbon de ) -AN.^Pitcfi
r® in fî,n o .m ^M 'V o y e z Charbon de forge* Cktwboiï
de Maréchal, ^
Pofier. Pire' Fork. ’A n ., F o u r g o n •’
Polarité", Pro p riété partïculiei-e à l’aimant ou à
lin e aiguille'aim antée de fe diriger ver§ les pôles
t iu monde.
P ôles de P aimant. Voy ez Aimant,
v Pôles, <de l*Ecliptique, Deux■. points fur le plan
«îpbilgÿûe la iphere du monde, ^auqûél^ tpus les
po in ts de l’écliptique font éloignés de <?°'°* L ’un,
■eft appelle .Pôle feptentriônal ou boréal, parce-qu’il
eft ' dans la partie feptentrionale du^ondè; :
■tre pôle , méridional ou aufiral, parce qu|® pft
dans la -p a r tié l^ e n ^m jS Ces jpÿe^ 'fom^®-
gnes de Jf|§^-'des pôles du mafidè£ ^
Pôles du monde ou du globe, De
^^^j0^^^^^^^môi’ér:tdi'ëh.'iv’ ' $ ^ 7S7"
V Police de Vexercice du métier de /Houilleur à
^ ^ ^ Vl.àft^ffüréë^dans - toutes les parties qui en
d é p e n d e n t, p a r dés ^égiêmértts très-rcirconftan-
ciés. 31ÿ , 3yô> Voyez Statuts. Fauffe idée que
quelques Voyageurs mal inftruits ont donné de
la police générale du*’pays de Liège. 3 iy.
' Police entre le? Maîtres de |foffes, leurs Four-v
niÇéurs Ôê les Ôuvriers Hpuilleurs à Lîejgé. 34-/•
. Police pour contenir les Ouvriers dans-leurs
dëpblrsi: r 1 346".
Police en faveur des différents Fournîffeurs, 34,8.
Poîtcei de .Vente o’u de Commerce àL iè g e !' 3 4 9 ,
' y uj (1 II i 18 1 1 l i S 3 .I | f i 3j ^
' '^ o Z ic e J^W s ’obfervë^ relativement aux Ifoiail-
îieres abandonnées, pour que les - bures ou puits
n occasionnent aucune forte.de .malheurs. , 241.
’ . Policédes Mines en’F ran c é , fixée p ar les anciennes
^© rC p n p a tf^ ^ d u Royaümé , changée ou inconnue
depuis la fuppreffion de l’Office du Grand-Ma ître .
<Ti©* Attribuée^ dans 'quelques •o ee d ip n ^ à des
Oommifiions, & aujourd’h u i /p o u rH a ^ p lu p 'â rP d u
temps , aux Intendants &i GommMaires départis
p o u r l’exécution yles-. ordres du Roi dans l é s
T ro v in c è s . & Généralités du R oyaum e, 61-ï. L e
iTome II du Diétionnaire d e sA rts. $ç Métiers
re n fe rm e , p ^ ë M o S Ç u n ^ p ^ p t d e R ég lém en t de3
p p lic e , dans lequel plufieurs Articles méritéroient
confidération.
'Par Edit du 14 M a i |^ |||n,^roùtes pèrfdhnêsl
ayant contracté & pris réglement du Grânfe
Maître & Général Surintendant, pour/tiüvrir &
travailler ' une ou plufieurs' Mines, font d’abord
tenues, un mois après leur Contrat, d’ouvrir, &.
-travailler: ces Mines, avec le nombre compétent
^ ’Ouvriers.
^ ^ le-te rm e d’un ^ o i g expiré;,‘fan à avpifc.ëtità’mé.
Fouvrage-, ces perfonnes étoient déchues de leur
o b ten tio n ., & le Gran d -M a ître pouvoit la faire
p alier à d’au tre s , aux Conditions utiles à la con-
fervàtion des: droits du Roi & au bien public, 5
moins que les E ntrepreneurs n’ufTent quelqu’ex-
cufe râifonnable & fuffifante p o u r les décharger
d u retardement de leur, entfeprife ; & fi 9 après
la -p rem iè re o uverture , le trav a il difcbfftirfubit
p lu s ,d e quinzeqours la première, fois,'huit jours
la fécondé ,. & quatre p o u r la troifieme, avec le
nombre com pe tent d’O uvriers f i l é to it pourÿu p ar
le Grand-Maître au x places â ^ ; ëe|jbf;qui;,CtQit.éh
faute pour., la p a rt qtfijf ay o ït dans ladite Mine.-’
Dans le cas Ou <iji a rriv é quelquacciden t-;qui
empêche la continuation d e l’ex p lo ita tio n ', le
Fa&eur général eft obligé d’en avertir. Voyez
Facteur.
Par l’ Article X X I I I de |||v
le fait des Mines & Minières- du Royaume, p^P
tant en même temps création -de grands Officiers
il «Ë. ;pfirfà^;àux Maîtres ^Entrepreneurs & Gu*
vriers de. travailler fans aucune interruption , excepté
les)©im^c^^f|fes^quajre, grandes Fêtes de
, les quatre
Notre -Dame Apôtres, les quatre
Evangéliftes,, ‘les Fêtes de P a r o m ^ o ^ îl y ^ d e s
Mines 5 & défenfes exprefles à tous Jnfticiers,
Prélats, ou autres .Officiers & fùjets de les| trou- *
bief les autre s'jours d é fêté’. :
, Nul ne peut quitter la Mine commencée 'à tra-
' y ailler, qu’il n’en ait averti 'le' Gr-and^Maiitre ou
fon Lieutenant particulier fur le^lieupfa^ n ^
pourvoye à la confervation des ,drpits,}de S. M.
& du Public ; ^ &, en ce cas, celui qui quittera
l’ouvrage d’une Mine commencée ne pourraufrànf-
p or ter • t ,
non attachés à clous ni fcel'lés,^ _
Si les Créanciers de quelqu’Aflocié ou Maître
' Entrepreneur faifoit arrêt, fur. unefÆinepour.dettes,
Marchands^; Charpentiers qu'i
la tra v a illè ro n t, . f ^ o n l p ^ pfé'rés & lesi-prèïniers
^ payés; les' ^ j v ^ c h m d s B q ^ ^ ^ ^ n t
fo u rn i du bois , du . travaux ;
le tout après que lé droit de Sa .Majefte," au ra
é té pré alablem ent’ 8g avant toutes chofes payé éc
fatisfâit entre les mains du Receveur. général.
V o y e z ^Receveur -générdk . .
Toute,, la ."Police.; a n ç i e n h é m é n t j î ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ i -
d^Arejne;' e f § B j -
amplement détaillée,--dans le quatrième ^-piyre
Ô39. D e Commerce fur ce C a n a l, ou Jurifdiclion
d e ’ 'c é '^ a r i ^ . o L ç ■
Pinte? pournütfâret?des bateaux de~Charîon\&
autres dans de
Moret, Du Canal
m'ept dû, B ureau d e |^ m ÿ i é , Ï 4^ p u P 2^ ^ ^ ^ ^ e n -
'•^m|p^p^.',jané.ii Pojice^|^p t^^[l-e
d e P aris .CI ”
^Ordonnapcè du Prév ô t^d es M a rçh an s’' & vÿphe-
, Police'éi^^^^^^^^^Meùfsf , ^
Police Me’ffèmje; poiirjdés JÇhàrbohs. de terré) dans
' ParfsïlV ^ ë z ^ Venté.
P oly. L ime ;
Polgpafiüs. Mouffle. t , W$^
Pomme en forme | $ équerre d’Arpenteur, 7 8 p .
U ^ e d e cef infiruniênt.; - " ] ..éod.
Poramierr , Village au-delfous de Voreppe en,
D auphiné. Mine de C h â rb o n ^ p r ^ n d if ë , ! ^ P f |v î .
Sage , dé l’Académie des ' SçienGes^' m |à |j ^ p u r é
u n morceau de- Gharbon pro v en an t dè^Pomerays
en Dauphiné , & qui n’ eft j ab fo lum e n f^ ^ fü n e
écorce de H o ltz kohlen , femée dé portions de c o i,
quilles d e 'r iv iè re ; je prëfume que cet échantillon
v ien t dë P omm iers, dont le nom efi altéré.
P ‘ojnpesfjdiés ) eh général. C & fü i b bm -.
pofe une pompe. Idem. V o y e z Piflon. Corps de
Pompe. Id. P roportions .des ; porripês? ,10290 '^
i o t i2 . Dimenfions, d’une pompe., D oivent, être
combinées avec la vîtefle & le jéii a u pmppÿ^io22*
T h é o rie fondamentale fu r l’aétjion des pompes.
' D $ S ■ M ' A
*020. Trois chotss pew^^>c^r)oéut>rk
■ miner ceàf fe
■.ïéd'uifenc néanmoins à trois, efpeces qui ont' cbà-
■eano des avantages, particuliers., ou même, à deux
«^éces , la pompe foulante & la p impe afpirante.
1012. V oÿez Eÿaipa^e -dé pompé.'^oyez Appareil
de pc - \ \ r©yez 'Ptjîon. Voyez Tiÿa«.'
ufp irait-ÿ ç!J^iBH |aB aRJ r.Wï io i2 .
f e iP f 1 ;e afpii zhté &; J i nte, coinpofée d'i’ i t
aux 'injcoï^ments^Fqptresftox ’js5ooepes' foulantes.
Il y en. a cependant une établie à Schemnitz ; ne
peut fervir que dans un puits qui' né s’approfondit
plus, & dans lequel il'ne defeend point d'eau
des ouvrages fupérieurs , ou Iorfqùe les eaux font
élevées p 11 d'a res pompe- ou ma. hines en ni me
temps, i o in 3 1021, Voyez ù tnt crjf liante.
peut de Gri'fF en jingleterre; «J 1071.
l ’entpeV fïd ante r, n’ont p6intde tuj au afpii rnt,
& confiftenc uniqiieînetii eh un feul, cylindre & u 1
itùjau fupérieur -adjacent.; la .différence entre eux
ed: que le piSou garni de cuir & fansi clapet, eft
praiit-,- dans-le tuyau afpirant, il y a une.foupape
à fon orifi è , où l’et 1f ifpiré iu-delTous de 1 u J
& eft refoulée par la defeente du pifton jufqu’au-
deffou du clapet ÿildftns ■ :lès: tuyaux fuperieùrs
dans lefquels elle monte par la répétition des levées
du pifton jufcjn’à ce qu’elle fe décharge à
leur orifice. Elles, n’ont pas lieu dans toutes les
'-Min.es , à ràifon d’un réfervoir profond, qui efl:
néceflâi u f.î^pS u .p jltt jU|. m§^®lV(iinlurf-*é
■du -rechange-des cuirs, & WÊÊÊÊÊÊÈ S Ê lS Ë
lautl1. rig ifilfù i V . .1 \ 1\ta P^mi
pei foulantes. V
Dan la fécondé machine d M mtrelay.qui’rfa
qu’une^feiile' pompe refoulante , -cette» pompe eût
de 7 ; pouces ;- & il ÿ a de l’avautage à ïi’dm-
-plu.èi^sfq^îpeipfj’iléÿpou'llenl ver fe-ul 'tf’tiièd
grande profondeur. Voyez Èiëvâtion de-Veau. " ' '
i ’ evr,,i^ojtic jmpe oüliinte , 'd’une
pompe afpirante , & d’une pompe aQjirante &
refoulante font les mêmes'; n’y:- ayant de diffé- 1
rence ique -'dans leur1 ,pôfî,tî6n. 1012. Le défaut
commun dans prefque toutes les pompes, efl: le
Manque de proportion entre les corps -de pom-
pes. io jjJ jour les grandes pompes il n’eft r-ieri
de' mieux imaginé: que le pifton percé, tel qu il
eft’ employé' dans la machine de Frefnes. 1 oéq..
, PHTétentes -forcés peuvent être appliquées aux
pompes.
quantité d’eau qu elles enlèvent. ' 1032.
£ . Pomper der Torreu.
: V u v,ea ; d? r fétirlKyé - t .- r 1
1 { Afoniinr' à Pvmpe d la. Holltmdoife. Voyez Machine
a Vent.
Pompe <5 air.. Machine afpirante avec laquelle
on- -pompe 1 a r , 8e la mem 11 piTo que l’on
pompe, l'èau.'dahsslfee®3hines h-,d mliques, au
moyen d'une ventoufe pà-, l.mells’ fair eft conduit
à la fuperficiè.; cette pompe à a r , qui peut
à iyolppté: .devenir une--machine foufflante , fe
■plàce dans un puits où il yûla^uhef-machirie liv- I
dtaulique, a laquelle'.on;;peut en ad ip i-'plu'f'e_j
M. Dél-ius a repréfenté &;d'écrit .une de ces machines,
avec une autre pour y luppléér. ■
Pompe sqù.vMac/ime' à vapeur , dont la forcé
motrice eft'empruntée-dii feu. An. Steam L i f t c ,
en François fy iiïp ii/eu, quiertnremplilTant Tes
sopérations , donne une puilTàhçe-égàle à tel |m nfP
T ! E R E S . •f-Vfr'Ÿ
•que ce 1 lit câr- îî le dîaiïiétïê du cyKfidt«, psÿ
exemple -, de deux pouces & demi, étbiî atig-
” en.ce' de *> ou de 100 lo is , fon m&uvemcnt
lero>t suffi facile 3 "quoique- fa puiflance fut augmentée
3 comme les quartés de ces nombres.
Autres parties-quip edmpofent iine pompe 1 à feu.
.Voyez Alambic. Voyez Chaudière. Voyez Machine
® "PplnB )n de ' 'jn 'æwfâW reMp
1- a'i Y* -pj.,. 'in -Æ
de
:M S ^ » ,'qfar^ i MT
® *<“11 ÿ’t'.'^'iS'i 1 u iraî
,01-. li ,V_rV’Mt"it llu^pit nitre < fZÊKm
.une .i»MT6piLjl'duf#*î„iEé i, n-; hWSPi
??e» i S ^ - ’d*ês IHBWyM WÊKÈ
firli* [ il WÊM §§§ 0 u_
à Shadwel-1, près la Mai-foù à chaux, aVlTft 11
Dn I 77if 5 D p Juin , un jeune éiéirè dé l’École
de Deflîn de la ville de Liege, âge de i ans ^
C.Henr7 Ophoven) , a' prtfente.& dédié a 1 Ma’
,ut it ’. ; plan; Wie 11 chine à ■-vàpê it d rie .dés
Mines de Li s du Confeil de
la Cité , a été joint dan 1 Mf&'Éliotlieque à la
defeription de l’art -dexplbiter les Miries de Char-
bon de terre.
Pompe eu-ufagé fur Iÿs. vaireaiixKôllaridôivpbui''’'
jetter dé l’ea S ip iM h ff Nr d * j , , '!a
^ “ ji1®™^i;,«%hjii>'.-îilj: 1 ù.'.
.'ï ■ t-.‘nP“ e * lù^ts'iiil-p]
Pompi. ( Angin r ' . i art f t. ■. -Le . ^ n jy , 238.
Pompe. (Bure à) Le. Voyez Pui'tiü Pi mpe. ' ';f ;
f tBg'-A JP pu » * W ^ |l'>Sj5 aSr$*
A-eni- es d Angleterre fign-ifie un droit que l’em
paie au Roi.fuiyanr le poids des marchand-ifes. •'
. -, (ƒ“"■£ un ) Expreffion ufitée dans les Mines
“ 4niou- Jé a. Voyez ’P}, JÏ.VÜu'; du Yv 11-
kington.
.. | Pontage. Pontenage. Péage' de riviehé qâïTe paîô
a un Seigneur p o u r le p à f ia g ê '* luW ^ ^ S ^ * ^
le bateau & non par ::lW ||M r ^
Pontagium. Pontonagium. i n
■ Ponte, Eponte. Salband. fmiin. Bu mot Italietî
Fent, parce qué la Salhand’. ell élevée 'a-u-deflus’ de
:là;vèine, çorntpefun. pont, àurdéffus d’une riviere.
Fontr i m : xbnffru î, n'1 p (ticul ere ét luY
dans les angles des chemins du charriot à levier
des Mines de YY^orkington. ' 1 '
Peau. ( Mii 1 s-des Potitr). 'Voy. zHéi n
‘1 P anea .alb Porce/aiiiè Pu rte argilleufa
fol tendre, qui fe dui-cit: au feu, J & pren 1 aù
toui to 1 es les 1 >rn ei que l’on ve i‘. < 1
parmi les parties conftituantes du Charbon d*
terre de h ^ 444H
Sentiment de M. Venel fur plufieurs préparations;
de porcèlaine lu feu de Houille. 1348^
F çion;, à GolTelies dans le H àinaut Autriclrieà
on nomme ain(î le Maître ou Gouverneur-dés O u v
riers.& ’des travàux-de Elo'uiiler-ie. 1 ;,d.
F i ru if V ii i. ( 1 il îch'êi «fq rig.- Va* a f ,a.
fes./ it d h w s su r un Article ( e: Lettrés (V
Heu 1 ... du 10 O. dobre i j j a , permis au t eur
de Eoberval d e même qu’à (ies ÆjêWttiis.'io.u Députés
, ou ayant-caufe.
-i rû^.rb'o, - d’un ;iVi ilfeau *1
* I cÇ tgH a a r ouV'de ve e port où; î;és V ji-
turiers par eau doivent'conduire les mardbandilès