i 4 <)8 T A B WÊm
provenants des Mines ne pouvoient être vendus
fans la marque du Grand-Maître. '
■ Recherche des Mines de- Charbon de terre, 74,1 ,
à faide de renfeignements tirés 'dies phehöfhehes
de la
l’ihîéfieùr dù'terrèin. 743. Reehexck'e^avec 'la tar-
riere , ou par le bures. 883. Recherche
dansées endroits où on 'pdint de ■
Ââëkon de te r r ^ -p ^M e •."fÜ- M. ,
M-
• RecipidiigUï Mefure^Ahglé , Faïtjfe-Êqûérrè. Ifâ^
tram e n t 1 de Géomitfie fèmerfaine , ' fêrvant à
prendre l e s ^ ^ ^ ^ ^ â e s travaux
îouterrains. O n l’emploie fur-tout pour vérifier
le s ''o p ^ r iö ^ p faites avec 'la boulfole , à laquelle. il
peut fuppléer j lf;fàüt feulement obferver;que ,
p Ô ü r ^ ^ f ^ f f ^ /'O T ^ Q o iîf ^ ^ o ir ' fom de marquer
, les Éatlôïïs :qu’on ■ ;4~J8ifek avec ï ë , afin
d e placer- le , récipiangle aux mêmes endroits.
• Récipient , dans une machine à vapeur ; la
‘gran ^ u l ‘de cette partie doit être proportionnée
à lag ro fféü r du cylindre, -afin' d’avoir -une qûànv'
tire dé vapeur fûffifantë^p'but’? lè jeu d é là mach
iné'; dans là machine à vapeur de S a v e r y , le
récipient eft u n e efpece■ de cylindre fans foifton.
H | 1 1 . 8 ® f> f *ï^â«
' Récipient à air dans la machiné* d’AgticOlàJ
'§'6 h.. Voyez Machine 4 air.
i Record. ( Jurifprudence, ) tiédit 3^ted^Fgna^,T
atteftàâon "d’ürr fëît' Le. Déclarations ,«atteftstiôns
de Juftice. 323 | 324» , 327, 329, 34S.
Des Jurés du Charbonnage font obligés d’en
donner toutes les fois quils' en font requiSi 316.
Leurs droits 'dans ces cas; Idem. Record de M M.
les RcHévms^'én explication:, 'de' la Paix de S.
Jacques concernant le cas où entre deux endroits
les Maîtres Ont droit de prifes f il 5 a une ^lace
ou^ U^n^dnt’ppi6int^'te'ßädit-.i / ; *' ~ 3 2 1.
Recoupure. PierÇûre. L e . ; ' 2 4 8 .
Recoujfe. Réméré. Dans quelques CôutUÉiès f On
ap p e lle , âinfi .le. re tra it lig n ag e r, &r_les refîtes ra -
ch e tâb lës.'‘Voÿëz Réméré.' -
Recouvrement duÂjroït âiïDixieme p o ù r J è R o i,
p a r d ît av o ir été îe p rîn c ip a l &“u n iq ù e :b b jç t de la
JéÙillatfôn .Françoife fur le fa it des Mines ; à en
Juger p a r les Articles V I , V I I , V I I I , IX , X ,
X I d e l’E d it de 1 6 0 1 . V o y . Maître des très-
fonds.
Récou0 emeiïî dé" cfe t|ôi : eft d û aux- FoiJrhîfe
leurs d’une 'Société d e Maîtres à Liege a "ùr! te rm e
p re fcrit. 7*
" Rtâra Vend. G. Stehender Gärig. V ëiùe qtj$
continue fo u te fa marche Ou fon a llu re ,* fians'fe
d étourner , fans faire aucune tortu©ftte , telle que
lk Veiné é tt platteure, Rè&’a dèfcendejis Vena: Veine
qui defcend ou qui ràônte d ebout l ou "(Fè-plomb.
* ReRartglef Parallélogramme dont les angles
font droits, & par cônfëquènrégaux, comifre l’eft,
ordinairement l’ôuVërturë dés bures. ' • ' 2,Sot
[ Rëâadffle f ( Angle) dont les deux côtés font
id’équeffés Le'Sfcôüqes bu courbures que forme une
Veini métallique, .‘en fe détournant de l’heure de
fa direftion, V . FilorÙ, font quelquefois tels, qu’elle
ç’écarte dé fôn heure prêfqüé 1 tout k mît bu éh eri-
tier 1 en angle teétafiglë', ce qui s’exprime en difänt
que la Veine à fait un brochet. ,
KeRangle, (triangle) qui a ün angle droit-ou égal
a pp degrési' Dans cette efpecë de triangler,.le coté
pppoféà f angledroit eft no'mmré Hypothénufe. Ce font
dés fortes de triangîes'que l^gâde plus communément
^cé fo u arê dans^fa ^Géométrie fp u f e rr à in e% " c o d é
nôïlfant l’hypothénufe & un des angles 4aigus
parvient aifément à cette ifbldiÉlon au moyen
tune Table clés Sinus. M. de GënlTane en a" inféré une
dans fa Géométrie foùterraine. V. TæIjZc. On y p arv
ien t encore par ■' iuïè^ m gthdae11 Me^chéhique p ra -
trquéë par les ■Minèuis
& plus ‘ ailée mais qüi n’eft pas |Ée ’!¥ dernierë
.préçifiion ^Pl'|!le s’exécute avec une règle fervant
d’échelle',' divifée en deux on ’trois cents p a rtie s
parfaitement égales. V. Réglé.
Rectiligne, (Triangle ),'foBm,^ M des lignes droites
; leurs angles femelurentpar des portiôns d’arc
eonnues , par ieùrs; fêniu®# ipar desjÇpraes q u ^ ^ Ë
moitié d,e leurs côtés. .]/,
ReElor Machina. G. Hengfiker. Gouverneur de la
Machine.
V' Reclus ( FUfêux. 'f ' Puits profonde en i: lagne
pé^p|nmJ^àKh.r ’ ( Sinus. ) Catàetus.
'Sin u s,.. ‘ '
{ Recuits. Greßllons. Lugd. braifons de 'Charbon
- â;e terre. - ‘f*
• * ’ Redevance . ordinaire $eŸ['Maîireï ' & Poffeßeurs
des HerifÆgej dans la Coutume de Liège ; cas où
ils fo ùt 'ôbli|i‘sf;de s’én ^contenter, ^^^-Ridè-
vance dè VÂ'rnier'. ' v■ -;• 531^
Rédiguer. Lè.
' Reddition de Frifes. Voyez Prifis.
' : -Redifcombrér, râteler ' un ‘ vieux bure. Le. 3 3 1 ,
Ü ^ g H WÊBlÊÊk
RéiuRion. i^j^ifftietyde f Y. ridüÛioiï.
B J ,
^ • 1 ' îaem^
~ Refendement, Le; pourïê; palTage de’I ’dif^^dés
'"jRefdiîte^de" là. liihâfge fiïaîèke.éïïoye^Litharg^. .
Réformateur gériéraïï^iGwnd^Mpître, Surintendant
âesrMijies' & Mînïeïet de FrâncéfdpÉhàrge .©u
-_çdis- de la Rocque , Chevalier^eig-b
berval' e Ä 4 8 ^ pöuyöir
perfonnes qu^^on lui ^lècôbleîoit i etrangers ou
Uon7; & ^dè 'toùte ^
'- y Eâfùite^ lè C l à ü d e ;
E c tiy e r, Seigneur de jSaîrit-Jijlien , d ’abord^^To-i
c ié d u ’ Sieur “de R o b erv â l ,. en v e rtu de
d e pérmifliqri dû “R o i', d û' dernier A v r il V
Confirmées p a r 'ü rié ' D e S a ^ fid n f abnln éê à
piegne' e fi pofleflion d e fin il^ e ^ p lr
L e ttre s ' d û 4^ Ju ille t -Æéjfg,^vérîfiéës' en ' P arlem
ent. '7 ..;
L e S ie p i/^ n fom e ^V id a l ,. 'S m g n 0 u r‘d e Belle-
faignes , précédemment R eceveur général dès' F'L
n an ces à R o u e n , p ar L ettre s du 2 8 Septembre
i£<58', après la réfîgnation du Sieur de Saint-Julien
'çôrifirmées" p a r L e ttre s du 4 ^;:I.O'î5fqbre
^ . 1 ,c V"-
U n Sieur dé B eringhen #^jx>üj: les M îhês .dii
P u c h ë d e G u y e n n e , - antérieurement &. dans le
même temps tjue l’E d it d e réglement général du
mois de ^ Juin ' i é o l .
, ' Antoine de'Riizé, Marquis d’Effiat, Chevalier
des Ordres ’dé- S. M. Maréchal t de France, par
Lettres dû'qernier Pècemb^è i6:à6 f règiftrées
i'ànnée fuîvghte dans les Parlements de: Tou-
loiiïe, de Bordeaux, de 'Provence.
Charles de Ia P o fte^ Marqüis de la Meillcraye »
D E s. :- M A
Chevalier des Ordres.-, dé Sp M. LieutenantWMi^j,
fai au Gouvernement 'de Bretagne ^ Capitaine
-J||nêral • Ôt | ^rand^Ma^wéÿ^e'j I?^ ato îe^ ^® iflÿ '
. Grand-Maître, & SuriméndanE général des Mines.
JSc Minières de France , vers 1 année 16^34.
L o u is -H e n ry , D u c de Bo u rb o n , P rince du
Sang, par Lettres du 30 Août 1717.
Louis , Prince de Condé > Jon fils. Voyez :
Grand-Maître. Gouverneur.
Rembourfement.
Refufer le travail. Le» Faire fitëa^p\^^i^er une
'fàjfê. 34&1M u tin e rie des Ouvriers. 7Üe/72% V.
Régalé ( Jus ) Metallorurrix Étroits particulier fia®.
. les Mines d’or ,, levés t‘ par les Souverains , qu’ris
nommoienti 'xf>^d/y,fxo)ç , mis au nombre des
^|.ojj^ iqi^îl§ri,^ppëiloi?énL'ïIfe3ya«*'. Les Ordonnances
de' Charles IX êc de. i y ï f ne
font'mention que du Dixième y .
queftion du Charbon de' terre ; par l’Art. IL de
l’Edit ,ce droit; eft reftraint fur l’or Sc
fur l ’argent.
Régalien j (, Droit) Par ce terme qui-eft le plus
mfîtjê ’’de^ tous^ lpoqté çeVqüi^ èft d ^ d i o i t \de-Sdüii;|
yeraineté en feit 'dè Minés , on entend les droits:
d u Seigneur d’um paÿs ^ ’fuCr IesVbbjçtsf qui'1 n’ont"
p u dè leur nature être mis en la pofièfilon de fes
fujets ; ils- .ontCété) par eêtm raifon attribues au
bien public.^ ■ fpumis| à l’adminiftration du Seigneur
, .comme lui tenant lieu de propres pour
en faire ufagé fuivant l’exigence des cas, par
des difpofitions relatives au bien public. Telle
eft la- définition' que M. Deliüs:1 donne de ce
Mpfo -
1 Sur. ce fondement les • exploitations d e Mines
Cvoyez VeShigale) , .fo n t d e d ro it R ég alien , parcé
qu,e la ré partition d e la -propriétéj. n’a p u .fe faire
q u e jréladvement à- l’agriculture & aux befoins
d e la vie ,8c .c e . qui eft rêftér ènfbÉ | fous te rré
ifa y â n t dû faire p artie de • cette- même répartition i '
o n y a attaché d es foins particuliers ' réfervés au
b ien commun , -ou à celui qui |l è ' dirige , coràme-
Àdmmiftratéuc^de l® tq t’, poùLen, fa ire ,u n ufagé
q u i tournât à l’avantage public.
Il réfulte de là q ^ l ^ â p ÿ a r t i è n t qü^au Souve-
râm -d^ni Pays^d?èxptpitèr' lès- MirièS d’o r & d’argent
, de faire monnoyer leur produit, p o u r lé
gendre p ro p re à la circulation dans l’Etat, & de
faire extraire des 'emraiilîes de la te rre les métaux
de moindre qualité pour le bien public.
. I l parole q u e tous les Etats -policés % 'fo n t en*
tendus (u r la néfeeffité d e ne pas laiffer les Mines
àü p o u v o ir des fujets., d o n t le droif a'été reftraint
ù la fu p e rficie, & dè réferver l’autre propriété a
l'au to rité fouverainç ; chez la p lu p art des peuples
tes loix fônt-^ pofitives à ce t ég a rd ; en Hongrie'
Çq^droit Régalien exprimé d’pné maniéré, précifê
&: expreffe, dans l’A rticle I de ^O rdonnance dès
Mines p a r l’Empereur Maximilien , s'étend bien
plus loin l car le Seigneur du pay s eft en dro it
d s s’approprier les te rre s d e là Nobleflè 'dahs'
lefquëllës. if fe; trouverpitr; minerai ; il eft vrai
q u ’alors le Seigneut déd om m ag e & d o n n e ^ a u tre s
te rre s.
; ti; D e là J e d ro it d u Souverain ou d’exploiter
par lui-mem,e., o u d e donner attitré de F ie f &
dè ' B # ces Mines, moyennant une Certaine re devance
;. c e qui comporte- fe dro it de ' donner
la permiffion d’exploiter & de fe réferver quelque
p ortion , comme la chbfe'* fé pratique , mais
fij^niquénient po u r s’affurer cette redevance de Sou-
TI ER E S. , -, I4P9
. verafrtetéy eft d îtf ë r p ïb |è.îô û leS pays i eft;.’
S aXe, l’Elëétëu® tire lè d ix ie tn e ^ u ^ o u t le métal
que produifent les Mines ; les' àeüf autres dixièmes
font partagés entre les Adlionnaires, leS
frais d e l’exploitation' prélevés ; voye2
nete, où nous entrerons dans de n^lvéaü^ dé*
ïails fur Kc^'&’oblet.',' comme pouvant être envifagé
fous différents points de vue-.
9 CRlan de) intimement Jfj avec le îype^;'
"de ftfïêift difficile : 1 fi;. lvoft
n’a pa4 d’abord'prié la. pré%uëbn ide;.iè’ÿftl^üij^ë- dâ'
férenîe^ où principales; parties quiic0^^(^ÿ6?cettô^
ddpii EÛftrauon' -, j ^l'Èelatiyemént^aù» fifeix c'âes jôuW
nées.,. - ; . | '
, rjRegie,( NdjirfeUp ^idgs, droits àtyénè$^q$%> Com*‘
^tànâûtési^|^^fffipiét^r fur deS^ Ports » > fo S ^ ^
ordres. du Roi. ‘
.. Régions vers lefquelles les Charbons fe répan-
d en t,4.80 ; doivent êtreobfer
.ài^^fidaiion.-,Kh règil|féméntvdès ' Sèntencês^eiË „
forme à Liege , 3. ■ taxèi. .v
^ comma^^^^Mlf0|t"-, rerunt
gejlarum tabula , deferiptio t Tout dè qui - fet/^pra-
tiquojt autrefois, relativement | çetté .partie do
l ’adminiftration des 'Mines , fe ,, trouvé décrit
dans le -Livre IV du Traité d’Agftcpla j de Re
metÆiofy .cet Auteur y détaille ce-que compbr-
toient les différents regiftres de Mines , dont
voici les ^principaux. .
R e ^ r s Mines , -lequef'^è-
Prépofé çpïègjftrpit /chaque Mine ; il , ayoifc utt
rëgiftfè' .des- nouvelles I U iin ^regiftre àti-
CiennesJ,, dphîiW1 reprenqit fes. travaux^
Regijlrç du Greffier ,àe$ Intéreffiés , fut lequel
ëtoient infqritsv les Maîtres de
lui - ont été ^indiqués par celui qui a le, premier
découvert .la. Mine remet les nouveaux Aéliori-
naires à fe ‘ place vde ceux qui a voient' vendu
leur-âMoh. >:^ r. .
Regiftre du Préfet fies Mines»
' , Regijlre du- Regeypil^ ,dii Dixième*.
Règiflrès % Mines -dans T ancienne'' Tègiflàtib'p,
F r a n ç o i f e . 1'
Regfjlre du Contrôleur général des Mines-. Pà®
l’Art. XIX dé l’Edit de R^lementvgénérlJ d^i
mois de Juin l é o i ; cet ptantL
, Maître ou fes Commis , pour prévenir tous abus ^
étoient obligés de tenir bon & fidele regxftre des
noms, lieux & pays , de la ^ ’mnëë'V demeurjb
dé chaque Employé, quel qu’il fût, des gages ,
journées & arrivée., des 'Ouvriers des jours &;
^J‘ôurné>e‘& j qu’ils trayailferpht. | de paiements :àm
leur feront fartsVIemûèls doivent ^tfe^eXaétement
aèç jôqr'/èn’ jourV.^e-\fèrpaine jén.f^riàiné j'de mq®
en rhpis , d faû, en4 lés nlarchës&v
achats' à1 |[éqmftÉiq^f dû^^ ^'femlî.^que de
tout'ce. qiii prpyieht de la Mine; Q'n.ÿ enre^ftïd^
aûfii l’Avion’de chaque ïntéreffé dans l'affaire. Voyà
àû mot ihtétêt de Mine. Modelé d’Àctiôn; Î $ 3 M
Regiftte du Greffe'dCès Mines. Par l’Arrêt du I f
Mai 1(^04, tous Cpn^'^àptsf avec: M* & travaillants
ahkl 'Minei^.LdM; Ip^ys/d'y ,déclater&
faire regiftrer les noms dëleu^^ÀffÛcjës^ j '& i^bü]?
^ùelie part ‘diacun eft; entré , fàns que lesVuns'
ni les - autres puiffèrit vendre ni cKapgéf ieCdireg
parts , fans erî avoir préalablement averti Ifi
Grand-IMaîtfe - ou fes Lieutenants , & ‘fait enirèr*
giftrerMèurt^ventés du échanges'au Greffé à afin
d'y avôfe .recours aufEefoin. •
: Regifire des A&ionnakts t dévpït êtfë. ténu pa<