
.... ■- T. A B
chêne, jaa'Çg’ou' de-hêtre, litm, 'Bois dè Rolle. I
371 Rolle-i o'« Bure. Le. 2 3 4 , 237. Rolle i'4 I
chat ae Vallée. Le. t, . ftog*. I
Roly en Boulonnois, avoifinant les Mines de I
Charbon de terre concédées par Arrêt du Con- I
| 1 feil au J) dlHumieres, le 6 Juin 173,1 par
un autre Arrêt du Ç jnfeil du 28 Septembre , de I
de 11 même année , défenfe au Sieur Bucamps I
d’ouvrir dansl fes, terres de Roly. & Aulnay , des I
Mines de Charbon de te rre , à la diftance de
deux cents ; jJerc-hès de celles du Duc d’Hu- I
[ ..:.;|niefesi.^v»4R
Rombaitm. G. gueula. Mêëll?.rùque.lüaairaai\, |
)'Rlpmme (Bureau de la.) à Rouen & au Havre, I
où les Maîtres de Navires, en vertu de l’Arrêt I
du Coukil^du illi^L^EenfbiuLiyrq., font ïbur I
déclar (ion, & repr fente it leurs connoiffements
& chartes -parties. Cette Douane eft appellee *0- I
«laine , de ce que cette -forte de balance y e£t
particuliérement en ulàge.
> Rond. ( Nombre.)
Rondelle. Virolle. (Hydraulique.) .Voyez Bridé: I
Voyez Virolle.
■ Rondelok (Jtouilk on) Rondelot. ‘.Gros. Char-
ion. Gaillette 4 8 4 , 4 d jrS e vend à Arras à la
même, mefure que le menu Charbon, cinquante- I
quatre fols';- 8t neuf dëtùeisaux /lîefureurs. ... .
Rofitte ( Ruivre de) de Suede , entre dans la
CompoGtion de plufieurs agrès de Mine. \
Rotijfage. Grillage. UJlulatio. G. Rofung.
Roue.[Bois de) Dalem. 271. Voy.Clige. ;
'Rotten Stone. An. Pierre pourrie. 386.
Rottices, ouroutes de l’Areine. l e . 273, Fourches I
de l’Areine. 1 - • ; jfcziKj,%s4[S f 280.
Rouage, Rouet. Machine compofée , dont l’effet
tres-confidérable. 928 ; les rouages ne font
autre chôfe que des Treuils , dans lefquels la
puilTance agit fur la grande’roue, à l’aide, de res’ I
propres dents ; ce qui tient alors lieu du çylin-1
dre, eft une roüe dentée, beaucoup plus petite,
adaptée fur l’axe ou tige de la grande roue, de
maniéré qu’elle ne peut tourner que la grande I
roue ne tourne auflï. Pour diftinguer l’une de l’autre
, on. nomme la petite ,. un pignon ; fes dents*I
sappellent des ailes.'92$. Voyez Leviers.Soyez
Ailes. Voyez Pignon. Sous ce nom de.rouage:, on
comprend dans une machine toutes les parties I
qui regardent les roues , les lanternes , les fu-
feaux, les pignons. Herna\ ou Machine à Rouage
pour l’enlevement des denrées de quelques bürès ;
mu à bras , 236 , par des chevaux. 237, 6ÿg.
V. Machines d'extraBion. Machines à Moulettes.
Roue. ( Méchanique. ) Machine Jîmple confifi'
tant en une piece ronde de. bois , de métal, * ou
d’autre matière , & qui- tourne autour d’un
aiflïeu ou axe. Voyez Axe. Le même nom de
roue eft Couvent donné aux poulies ou moulettes.
.Voyez. Mollettes.
Roue dans fin aiffieu. Machine compofe'e d’une
roue attachée par les rayons à un Cylindre ou
Rouleau , que l’on nomme Treuil, & qui eft appuyée
par les extrémités. La puilTance eft ordinairement
appliquée à la - circonférence de cette
roue, quelle fait tourner par le moyen dé plufieurs
chevilles perpendiculaires à fon plan ; le
poids eft attaché a une corde- quijtourne autour
au treuil. Tel eft l’effet ou la propriété de cette
machine. Voyez Rouleau.
La R°ué eft une des principales puiffances
employées dans la Méchanique , & eft d’ufage
dans la plupart des machines ; on. lui donne différentes
formes: Luivant les mouvements-Wètf vêtit
I faire donner , : & Vivant l’ufage qM’on veut en
faire. Les roues font diftinguées en Roues fimples-
La Roue fimple ou..proprèmerit dite, èffi celle
dont la circohfeéencé’ eft uniforme?, ainli que
celle de: .fon .ailfieu ou arbre, & qui n’eft point
I dominée avec d’autres roues. Telles 1 font les
roues de voitures. Roues des Voitures pour tranf-
I porter les Charbons dè la Mine aux Magafïns. 6ÿS.
,862. Remarques générales fut la grandeur avanl
tageufe de ces Roues. Idem. Sfij. Motifs de pré-
férence pour les grandes roues. 8Ê4, C’eft pour
I les roues de voitures la même regie que pour
I la machine appellée Tour ou Treuil , Axis in
peritrochio ; en effet, la roue fimple n’eft autre
I chofe qu’une efpece de treuil, dont Taiffiéu ou
I axe eft repréfenté par l’aiflîeu même de la roue,
I dont le tambour ou peritrochium eft repréfenté
| par la circonférence de la roue ; les grandes roués
( il faut entendre p r là celle qui ont cinq où
fix pieds de diamètre 3 ,8 6 4 , ont l’avantage d’avoir
leur centre- à peu-prés à la hauteur d’un trait de
cheval, ce qui met fon effort dans uni direfiion
■la'on^iOAfW^s 'sétiictlï'rÆm
F fur le terrein , c’eft-à-dire , dans la direétion la
plus favorable , au moins * dans les cas les plus
ordinaires ; c’eft une remarque, faite par M. l’Abbé
■ Nollet, dans fes Leçons de RRyfîquV.
' •^duiésy:ers*epurlon^e:', Roues plattes 8c de champ.
Roues, dont le pkiiv eft péépSîdisulâirë.'i àîr,lq
partie regardée ’cotmne la ■- ‘^ffladïufe:
W f F P I i
Ç ' Rwss .dearest../©ïir-naM!i^^n'fiiytl^»''^ri8P. fa
circonférrn^osouvles eiffieux.'fükt ,^¥fagés enfdeîffd
: qÿ-ç4 gt«tfisst ■da®md^^^pi|^r«ïdan'i^a^ffe9
puiflent agir les unes fur les autres , '
p ^ ^ ^H d a u sséS s^ ^ ^ fe !, %e-fe m ïnWneô^t e ^
^orme une machine compofée' très-propre à élever
de grands fardeaux. 5124. -
E l .The'^e ^ r ;?3ueÿ âentées •4>efit'%èré,1r$ 9
L fermée dans la regie fuivante r: la raifon de la
puilTance au poids , pour - qu’il y ait équilibre ,
doit.etre compofée de la raifon du diamètre du
pjgnon de la derniere roue air diamètre de la
premiere roue , & de la raifon d u ‘nombre de
revolutions de la derniere roue aû nombre des
révolutions de la premiere , -faites'-dans 'le même
temps; ou plus {implement, le rapport delà fu ip
fame eft- comme le proiuit .des rayons des pignons'
ou produit des rayons des roues : en effet, dans
chaque roue & fon pignori-lâ puiffance èft’au poids”
comme le rayqn-de:la. premiere roue'eft au rayon
du pignon." Voyez; Roue dans fon Aiffieu-, Aififi;'
chaque roue donnant ce produit, le ‘ rapport dé
la puilTance fera au poids comme, le produit des
rayons des_roues. t)2d..gà yoit.'par là combien une
machine de rouès dentées 'pçùc augmçnter f eifôrü
d’une puifiàncé, M ^ ;; : 1
Les Roues multipliées font fouvent d’-’anc grande
utilité, ou pour aider , ou'; ,pour: accélérer7 l'e
mouvement ; néanmoins l’inconvénient qui err
réfulte d'un, autre coté-par Ane plus grande quàn-
tîté de frottements, peut quelquefois être tel,
qu’alors cet inconvénient égale où furpaflê mêmeî
l’avantagé qu’on pourroit roeirèr de la multipli-
cation des roues. 5 :4 . Les dents de ces roues font,
de hêtre pour l’ordinaire. M. Dëlïus préféré le bois1
de chêne rrès-dtir.
Machines compàfées de roues dentées. ■ La' \ •.?'
grande perfeiftion de ces machines eft, en géne-
D E i | MA 1 I E R E S ,
n H un point ttès^dllHcullueux ; on ne peut dans
CBS machines compter fur u ne/ -prét-Hion- bien
exacte ; il faut, pour ainfï dire , que \ le pignon
. & la roue ne faflent fîmplement • que fe toucher»
, $>25. Voyez- Roues, dentées.
latéraiemeh.^ 3- & - eft toujoiirs porté dans les
tuyaux. Lorfque 'feettë 'cailfe fert d’afpirateur , S
W: adaptéi''. qésfImêpiés à
> afpiroit - dans fe premier cas , , à' la> fup'èïficie j
air •afyiiiêï
•i) renoe fur toutes* les autres ; p a r c e elle pépC^tre
f? .pl^'é^^p^^^man^^tands dhepnvJepiencsy?^^ue]
^fort> mdüvënaéif^ derqande u peu deforce & 4u’oqv
M. Camus s’eft, attache , dans efo^rf^ull, &e-
Mathématiques», _ à déterminer ■ lar me^lle(ire' figure
•'/, qu’on puifTedonSnei' aux dents de ces ro'aes- ;ainfique
'! le diamètre que deux rouesqui engrènent enfém1-1
blé doivent avoir- relativement- au nombre;'Me/Ieurs
dents , • & à la quantité de ' leur 'éngféilhgéi
\I1i3. ■ HH
■ | -Rodé;, i d à n è ^ ^ d r a u l i q [ u e § . '1 G*. 'Künft
3Raa. De di^rehtës1 Roues à aubes. 1034*
Roues à pots l,4\i-àaugets. 104.8. La roue’co’ÏÏifid^reé"
idhns la^mé'chani^tïé^'cqOTm^^^é^lér feontiiî^l^pTas
elle eâ 'grandeÿJpTas Ton .demi-diametre ou rayon
/ eft éloigne -du point de Ta'lçharge, ^c;eft-à-dire, de
l’anfe de la manivelle,; car-pl.usfte'Bras de la manivelle
©iMeoniénU’'dans le MyohJK la| rôtie, [ou^
, dans les diftances instantanées de l’éloignement-idè!&
godets, plus-’Ia':puifta'nee- de la roue deviènf'coh- •
fidérable, ou ?qui eft la'tmêmë chofe, plus la '
. charge adaptée - au tirant’■-dilminile^ & comme une
grande charge contient beaucoup plus d’eau, que
le ’poids- de l’eaü—■ Séj/fon éloignement de la
charge ., compofent toute' la force de la-roue ; il
eft évident quun'é*^grande - roue 'a 1 beaucoup'
, plus de foree qu’une pVti|e-, toutefois lbrîque les'
■ mànivëtles fcinDd'uné- même prcfpo¥tî(5p||f|.ar cettè
„ Même :ràifôh ifS"iro:ués des- maéhteé^ hydrauliqu es 1
dans les Mines ;|gppp.ëfqué toutes dé
fîx toi fes d'e hauteur. '■ ’ '
Roue à chute fupér-ieure , 1 & 'Roué à chute in-
flrkure ; ne different les unes les - autres 3 qü’én'
ce que les premières reçoivent' leur -mouvement
'de l’eau qui tombe dans les godets fupérieurs,
^'®fïÿ'reftè*Ij^fqü^ëï *q'Ü,èlle' le déchargé inférieurement.
L’agent des roues à'' chute anfériëure^
eft i l’eau venant - à r choquer : obliqùemfenÈ'1 contre
les l^iffes^ ’ cas ii/fëuc'hin
pîus^raBd^tv^lume^dfMUX ^Ise qui- eft rare à avoir
auprès' 'des Mines', les' roues a chute fupérieure;
font-"'les pi'ias'' ordinaires'. ■ L’établHTement de ces
demande dçn^pÉ; préalÿlMê-^ppivelle- ’
ment exadfc de la pente de l’eau , pour’vdétermi-
ner à quelle hauteur onTpeut s’'en procurer pour
d^tëcmîiieF fnë^choè^de^îfteau vÉfûtrë' ’ aîles,
eonnoître la quantité d’eau qui. arrive dans un '
temps donné, afin de 'c'ôftftuuifè' l’éclufe en 'eon-
féquenee. Les différentes conftcuébions des roues à
chute inférieure, font' décrites dans M. Delius ;
elles' différent prihcîpalement ‘dé ia;;%onftrü<ftïort
•des roues à- clïâtë’ fiapérieure en ce| ^iïe 'iéiiirs '
aîles’1 fonf*‘dre{fëës ën ligne -dioité | & correfpon-
dent aux rayons,
• ùRoue ..à jàuffiet. Roue c&ntrlfu^e du "Doâeup
Etienne Halés. Voyèiz?diS'oiifflet. '
Qoiie à vents G. Rocher. TainfrouPà- Vent,. Ma-
cKitië ufitée depuisjf^|-temps en^ Al-lêmagne pour .
porter de 1 àir: ■ ;dâns%l:es Mines , & reprélentée
dans toutes /fes parties paiM^ites' Pladè¥es'de M.
iDeliùS s .compoféè1 aune »cage - ou d’une 'thailïè
senfeumant déiis^ fon .intérietft un'e rou©/l'àîlès,
.adaptée a ur - .c^litrèBi^.)* ^àn-S lequel il y -
a.'due ^ ’Ig niëut a. bras
d hommes. L ait ' éft ■ ihlS ' ëh^maii^èment hirculaî-
re <%ven s’élbigrlànt' vers la périphérie, s’introV
duit dans de§^ tuyaux adaptés àvîlaiS Cage ; ' l’air
s'Contcnu dans le 'milieu étant exténué , l’air exté-
fieuf entre fans celle p'ar dës Ouvertures placées
fè^piôcufer^i.de' fair • fraisv|aha1
interruption.
E - i^É&arqüë^duÿâ^^cèjfelr.è, qufçlîéj
||fé>i^ia.eée^ d^jns' d^sf ehdrbits»<b|^4elle„’ p^iffe, afoiiferi
Sç air fEais^^ IcarWft ièllé i>Æ
pirôtf|ifn^^: ‘mauvais^- eUeliau'gj^énferpifc^ ceidî’
h e^atrb^de^îla^pfe^eà îiorfqu&
.V cblftrâirë«.^ ^eës/maëihinës /dcS^|nt' ‘vêtreyalp^'ap&esh1'
%il^éft eftônciel de^testplaeer- d'eabaniete; qupijl’âjf,
■" afèiré-' 'ppiffê^^^'èqîm^iûiii^ uèr,, toten^
1 r eèlui xdër la ' hapeifeficie
de nouveau éa^s^la Mine ÿ eÇjrcÿi^deliefirihFmt#,
| ^Ûâiît-^aùx frrâeHndb'flfeh^ .‘.âfn^i
J’en droit l’air de la fuperfieie entre dans la'
. Mine , & les machines afpirantes dans V1 endroit
p a rplelÉSl^fiit1 d'e» la Mine. }&/>;'
, Province de France.3 abondante'érir
Charbon de terre, y3 1. En 1763 , il y en‘'avo.it urie
'. qhârarttàinë »dé Mines ouvertes ,h*dp'nt la fouille
• dâtoit pour la^-plupart ; dre v5j©';fans^::
Hë? ^ ^ . b b m s ’yïmaitïtQnaft <alors pr^x plus,
1 modiquë que dans aucunes Mines .cannues^; elles
-, font■ travaillées par1 pe'rGement de jour. Les Coiv
" c:êlftôni#irfeà aüx ftermesJ ( dë^K^rrêt du ■./!
• Février-1763
dans un an, à compter de cette date , de
ferviee J , fe i féW^i^dùvi& ^eip^yaictei^
par fpj-oçè^ve^jaïiffaitvenl '^ëï&i ,^ u k , Asrat ^lu
Parlement de‘ Tou-Ioufe1, rnavoir extraitdix-huit
m ois- après l’obtention de leur Goncefîion , que,
778 Comportes ftpqGhëifeOtn feule?
m en r ;étoierft'4dfàflè2^)bQrme qualité , m a ig r e ^ .,
tray à ïf de foixan të-G homines; p a r »t- \dep uâs; : le
mois de Février 1774 ^ jufqu’au 4, Septembre ;
voyez la difFérenc’etde 'ce que les habitants faifoient
- ëh^-ger anheé? cPrnmuhèîï 'f\
1 Rouet. Rouage. Voyez Roubt^.'^si
. .Roue,t. Gharpentèriè , affemblage de ^ma^ri'èrs.^
fur tequel on aüeoit la maçonnerie des ‘ puits s
que 'f on affiedfcbië^ uë pmes»
l’on appioforidit & fur lequel '.’on }éfâbl|cf!a ma -
?çd'rlhèri'e -dans la ëpw-ruéHon indiquée par M.
de Genffane' „ Article XXI dü Réglement qu’il
p'ropofe. Les madriers dont ^lipft .compofé pnë
quatre^poOCë^r depai&ur- für ^uhe »largeur^ peû^ “
près égale à Gellè :'du mur -que -l’on conft'i^uiffi
dans1 lè puits, & dhütf ’diamètre par^iaù-;diâmêtrë
de cëttë' foffe, felOn qiié- lë puits dojcb.ltKe;* pro^;|
fondé' ën dragans ; ce rouet doit être doubje & *
affublé aVec ’dë;^ ' ft au. conti^tçg
on veut faire le puits par un travail enfoùs^'oeuîvrqg ^
le rotfét ^dôît" êtFe - fimple ; & poor un'’ p.uitsidq 'Xj
-ftx^rèds ' dë1 diàmëtre, il doitinéceffaro^éetetelSB
ëetoipfofé^ âë^kftx madriers de ^t-|oilibons ipieds dq
longueur ' èn-dédâtis^‘ d? ■ de la largeur du mur 3
&‘ces pieces ne doivent pasl êtrë, aljembléçs.- ^ î
. .hottèt, à fufil des Hohjlleurs/ Anglo,is. Flint M
' ’ ■ *' • « -r , ' • 4Q£:*d?f>!
1 Rouge ,, ( Craie ) fariguineo Hématite 9 |êiè iéiW^
Voyez Têtè yitréè)
"''Rouge Jîrt d^nglètérth. Braad. Voyez Misa/«r*f
rügirieuXa