
4 7 ? T A B L E
■cuir,, dans] les cas _où. lesttrous donnent beaucoup
&eau'.' | f p l f p ,. ■ >3 ■>
, tfRaule. Louchefc '-'dé;
fer.,. , |
fPauvres. .(Mines.) -Voyez Mines.■>;*■;■ ■
; Pamng Stone. Frée Stone. A n. 385'. Voyez
jPierre àetaïlk,$
,Pnifard, vQu^ëCerv^ir;^ 4.-271,273 , 1
475*.; Communication' des pahages dans le bou-
gnou. 274. Attention pour bien faire les pahages.
Idem. Çoniment ilsyfont- féparés. Id .,Serres pour
fjpménir les eaux des pahages, 2y 9 , appelles dans
certains , tk ’ xi-t ra 27*^
Paxhijfes L e. Vuidesinfériéuis fervant de repos ou
de réfer-voks. 274., a96^C^ünrrîen.t on vuide leurs ‘
eaux..R £ ^ | | f ï i e la ’ j ^ g l
• kgnej. Pieux.
-Eéage. Dr.oit Domanial qui fe paie aiuR'oi|f'J|||l
par fa permifikm y- perfonne ff
pour paffage fur un p o ^ ^ |
une rivière , ou à l’entrée d^qujîl'qiue ville ; &
,<ftÆ dans l’origine Wa^pq^mp/if & pour,• objetb
1 l’entrenen ajs^onÉs ^yportSi^ paflTages. & ëh,e?r
-nains. Voyez EcLufes. .
J .Pemtuie àfrefqué, . " , 1 1 3 7 .
Eel-don. Fire Stone. An. *-ÿ 381.
,. Pelés. Treque grife..Dans lès Mines de Charbon,
•dejRolduc ? panier remontant ;aù - jour , chargé./
f e ^ ^ ^ ^ e jpha^Qp » ^ , •. ' 37^*.%
... Pdlè.!%M.
Pelle à féB fqfztm PfOur, rarnaflèr;< les-
cendre|^ 3 66* Garçons de la» peWe.^^o{n?merce^dfe
Charbon., à Paris ) ppur- mefurer-Ues-. -Charbons
devant les Officiers-Mefureurs. «• 660.
Pelotes , Boulets., BfiguesHochets de Charbon»
de terre*,, em|a&aVê,G des. argiUesi&.
me ^^©Iote/^^if. p o u iÉ ^ ^ ^ ^ ^ ^m rd a matière
/pie®ieri , 3 £4 , f°it p^^lgdjmiRuer & corriger
.t o . ï i a É ' ;■ f1 Je .terre. Idem• Propofées
par M. yenel pour le fécond objet! ,1268. Propofées
.par M. de Morveau pour remplir un autre;
pbjeU,.
Le mélange, du <Charbon1 vde^ terçe ^aveo-de
l’argille dans la .Mine.de-jBo,-,
ferup en Suedë.<pnrfépare au moyen du farclage
les gros mprçeaux" de Charb.£n~id’aÿeG les petits f,~
èn^fre5.;par -le lavage/tepi^Mlr
argilleux de la. Mine * on tire par..cëfmoyen parti
de^oütxe/Chârbdri ,-e'n )fembul0ant | avec de l’qr-
! gille , & en le mettant en pelotes quon -fait
fécher ; on s’en fert^Tousaeçette forme dans/les~
Saipêtriefes., de pelot^^n-;g^^d, à
Liege. 3}6 , 1343'
■ Quantité de hochets À j-éfultants à Liege de p 2
livrés de Charbon tpprêté dan: les moules ,mîi-
naires. i ^jo . I^eur poids quand ils font frais.
Idem.
Poids, àimmfions des pelotes ou boulets, tels
qu’on les fabrique d;ms le pays Montois. 1283.
Combien. elles s’y 'vendeur. Idem. Peuvent.être
employées fraîches. 1343. Fo/Hmede pelotes mifes
en vente dans l’entreprife formée à Paris içrt
"Æ îS îp 1 ^VAsfe^Pvbitc. .leçhç^nêfoii: deux livres
trois onces & demie. ,
Cette fabrication peut être • faite ou à pieds
K J p r r n e r ..1.1 main . ou du , ,ae . moules. 3 jy.
Avantage de ces dernieres , particulièrement lorf-
qu’elles doivent .être tranfportées. lÿqy.
■ Supériorité des Briques volumineufes fur celles
a ir1' f°nt moins en particiiUei lorfqu’elles doirienfes
d un beau & b ) 1 feu y emploiên des hochets
;plus petits q,ue çe ui qui ont én. Ü M
daçs^./èntativa.’feiteêaîP 1 sÔç’Vth.ujû n .5 ^ *
malsylL y,‘-afglas^diéconôffl% le^fal
neux. I j /4<Sa'^qcgfî’^nién&gl&®»^)f/Ç'S'{jf1‘ï
ConCdérations f îr le' iranjjii rt de cés pelotes
par charrois. 13J4: Sïïr le parti que l’on petit tirer
■dn ipouflîèr: qui en réfulte. " 1 j j y,
iPindtyeSfou-rdî! n» on d"! i't.tf' J g? ô.
: Maniérés dont il fe défigne par les degrés de la
bouffole S77; Voyez fiion. Extrémités oppbfées
des pend âges 63 , 63 , 295 , ^SorPendage de
Èlatieure. Planaire, uoy , 877. Tiers, quart, demi-
platteure. 3,06. Oblique duns Us-Mines’ d'Anjou, yyd.
A'fli pendage. aod. £)e Boi/yê. 2ÓSjïi877. Très-
rare dans les Mines, fiiem D’Anjou. yy<).-Den i : ,
■ tiers , quart de. Roijji. 206. Maniéré d’exploiter
avec
(D ’ /m n y Afa/iire , j 1 » i A her asp/. D’Ai'c '
(Mal.ire allée , de deßenie 11 d ßendante.
■ 247. Fojfe ~d?.amôntïpendage. 300 , 248. D'àval.
Idem. Ouvrages.id’amonc-fendage , d’a :ü - endat v
sV.üyeü „O.iBqagar.vul.l
Pend ms. ( Vena G . tangendeljiiiege ide Sm^ïc
bend gang. Pendons [pars Venarum. ) Cajpar. Toit.
■ . PeiUE. 1 enne rel itîf .à la fituàtion' horifent 11 ,
rout ce qui s’ën.éeaile' ..enforce: qa;ii'ne des parties
du plan refte dans la ligne horifontaie, & l’autre
defeende au. delfous , eût. eni- pence/ Pente' des
montagnes, de^m^lp^^^Hest;va!K)ns.^kS7^^n{-
truétion influe fur les mêmes circonftances pour
les lits dont elles font compofées. 73.3 , 3 me'
Idu Per d îs d'êsb. ;alêr:ies.' debM es ■ dbic et
^[i^pfé^favor-ablement pour le charriage-'én' mon-'
tant & en defeendant., doit îuffi pàracnlièreméi :
être bien déterminée par rapport aux eaux auxquel •
les elles fervent de çondtiicè. 273. Pente à donner
air ïhüa az. < f ■
pour la circulation de l’air S t 3-
1 Perceme Perforaùo. Aper.üo. . Terme d’Archi
teâure qui fe dit de to it e ouï ertui e &ité apri .
coup pour la baye d’une porte ou d’une croifée ;
ou pour quel qu’atitre fujet ; dansrlès.om rages de
.Mine, le même nom .percement'dt jour fe donne à
- une fouille entamée & continuée dans le coeur
d’une montagne , par le flanc'dé la .montagne , au-
delfous dn niveau de l’endroit où l’on- travaille :
ce. qui-.s’appelle dans quelques endroit ( , l ‘ 'e
pied,-Fouille couverte-, c’eft un des ouvrages fou-
téi rains le plus propre à fe. débarraflêf'. d’une
grande quantité d’eaux , &à renôôvëller l’air dès
r. Mines ; mais cette galerie n’eftfpas toujours'pra-
tiqnable, foitrpâcce. que la veiné'.,3n'idé7& n ' font
trop éloignes du flanc de la montagne , Tôitap'ar
çe qu?ils font au-delfous du niveau de la Vallée.
Voy ez i/|eine:
Quand lin percement demande uneiveertâiné
étendue & une certaine profondeur s. a éprendre
depuis la furface jufques dans .fintéfiëuf?lâ;iine
montagne , ée qui varie dans les différents, pays
.qui forment l'Allemagne.bCettc étendue I f dé
■ 9 1 verges à donc I,, d 1 v‘.,v! ,
de Treves, 4^.,Ip verggs & un empan en Saxe.
Le Propriétaire d’un tel '^eécement'j'‘%^ndi8Kéfl:
parvenu à l’endroit.:dù';commêfiçe lefteri euj^Êne
appatEenaôte.''à-'ïrn'e::aui/|i,'|0|'_
■lorlquil rencontré: un filon y 'quand" même Ma
- .. atmart/endroit
z ? p f m a t i e -r e s .
a^artiendroît à la Miné, affignée à une autre Compagnie
, ce Propriétaire a^ là liberté de faire détac
h e r
• étendue de nfJ
u -.dpSt ea^x 'jufqu’à-la voûte ,
fe ifeaélqMn^Jg^
l’intérieur d’u-Hs^^faget à l’autre , fort par des entailles
en montant & eu defeendant, & qui com-
■ (eçien.t a l’autre , pa;.r i’e moyen de paflâ'gesMî^i^l
fontraux , fe nomment Perçemerctr ' de commupica-d
établk é,èsJ percements^ Je.,,
(fes^^ince’sk clteéndj
de i deux embouchures fuperficiell'es ; car à ce
défaut les percem'ehts , ordinairemenc trcs-difpen-
dieux & très-longs à établir, ont; peu d’avantage.
• |!Ç 'pfe&S: Retend
Perception des droits attribués aux Officiers-
Mefureurs. 666. Jugement qui confirme ces Officiers
dans cette perception. 667.
^m^erària^ico Le. Donner dans une baigne. 2<?o.!
Perc/ze des Arpen-t,eurs' .de Mines. G. Lachter.
'Brafle'.' 782. Æfe/wrer à Zæ perc/ze. 808.
■ Perçoir de mo/zt^g/ie. Su. Jord Booren.’ Grande,
fonde très-utile dans * les montagn es à couches. I
888. Sa defeription publiée en Allemand.
^ ^ ^ ^ ^ emjhMMffl&Manëhè,.»XXxIV. Idem &* I
P H H H n Perdre Zæ Feisê ; 'c’.efli "ué ■àf.pèrçev©k -l'a I
veine £zfeopj7ee ou entièrement difcondnuée & amin-1
cie au point q’elle eft confondue avec la couche qui
1 Qj
PerdKer , ( Pïerr'er ) détachées des montagnes |
^jçîmkives'.:;. .'. . ■ ^ T'iP* !
férzgord, (ifor) ou noir province de France. I
Efpe.ce de Charbon de.terre. y 3:^-.I
. Pentrochium. :
les feviers. I
ou barres. Voyez Trewi/.
Permijfion du Juge-, ( à Liege ) 'nécefîâire pour
travailler ,tp^ar 'Permifïîons, déclarations ,
317.
, 4f' J8rQPJtétau:é| du
'f^qP^^Sie^q | pour'* |Mp@iter; .^oyezTerra-
-g-eu-r. Ufa'gq1 établi fur cec objet. 3 23 3 f
Perm^o« de trÆi/er/er Jer/ondr. \ '
Permiffion des'' 'Seigneurs ,• À-rniers néceflaire. I
Dans quels cas ? • . 350.
Permiflions différentes pour s’immifeer dans le
métier de Houilleur à Liege. ^ ^ B B 342.
«|P î l^ SM ^ |de,Touiller en Anjoüv^^hpée/;ânçi§fe'J
nement par tout Propriétaire à un Ouvrier, pour
Jterrein ^ e ^ fti^ ÿ d e ïl
■’Çlia'Ebp'nt', au mdyenm jj^ e bfifiç.ql d’un.çii^quieme I
fur.le prix de ce qu’il fe -vendoit. * j
. ■" ,'La demande de permiflî©n"j de fouiller une
Mine qui eft ordonnée dans les. pins' âncièn’mes'j
■ à laq^uélTe top t ’ Propriétaire de
Mmes d'e ChaYi^il îfétoit point tenu. , en con-i
féquence ', d’un Arrêt du Confeil d’Etat du. 13
Mai',i^p'85 ne paroît,:à la conhdérèr dans^tàute'
l'on étendue , q^uô de pure police pour %i
,eonler»bn dies; iÉdiiti partie dé 'adniaîriè I
maliénable de-la Couronne , q^e qùelquès^’P-ropriét'J
taires pouvoient éluder, : elle n’em>porte point du
toat un pouvoir réel de permettre, ou d’empêcher ■
Bà fouille ;.ce & |e pro-
Reétion par lequel le Souverain permet ■ authenti- L
k Ch a r b o n d e T e r r e . II. Part.
■ i477i
quement au Erp-priétaife d’exercer l'e ..droit qu’il •
a fur fon propre reiTein ,> & qui ne :peut lui être
^ÇP^fté c’elf fans dobtëi^dhetl^fflg^ i ^^Pnnce'l!
mais qui , 'pour avoir befoin d etre demandée &
ibkte Ä
priétéi; elle eft au contraire ; fo ndéeifur ^ laj u ft i c e
de* fës
^ri1 cès^pqr^!
millions, données à d’autres perfonnes que les Pro-^
^ ^ S ï | | a n j e % ^ > ,
tous Voituriers , Marchands de Charbon de terre ,
leurs Cpmcniflionnaires , pour i faire aborder , fé-
jpurner, & décharger les Charbons de terre def-
dnés à la confommation de Paris & banlieue, &c.
un: bateau pardelfous
les ponts. 075".
^ Per?ni/7îôn aux Officiers-Mefureurs'& Porteurs t
d’établir des Bureaux' & des Commis dans les
attribués à leur Office. 6 6 j .
de l’expioitation de fé rappeller ÿévàluatiôn, reconnue
par l’expérience de la perpendiculaire nui,
, 8 7 7 , 8 7 8.
PerpendicMZ^ire. (Feme) Attention à avoir quatad
on veut reconnoître une veine de cetté; élpe'ee^ave.G^^'
des piquets. Voyez Piquer.
, Perpercdicjdè. Ligne verticale & perpendiculakef
qui mefure la hauteur d’un objet ; on dk ta per-
pendicule de cette Tour eft de yo toifes. On
n.omme encore iPerpentiicule le, kl; qui dans une
équerre eft tendu par le plomb , & qui donne la
perpendiculaire à l’horifon.
Perche. îPm^^Snppeajxÿÿ ^
PeT^onzerj. iGogerfoniers. Comparchons. - Voyez
• Comyarcftonien.
. Pefantpur ’fpécifique du^haëbon de terre. 11 ƒ 1.
Selon M. Veneî^le C-harban Peyrat de Bive-debcpnei^
e%edemûfgiême'^ à?
livres du premier n’.eù \eon>tfent - que 170^’-du '■
dernier.
Pe/ikni ôwrÆ. Vergifce'. • Lufr. Boefe-Wetter.
Mauvais .air. V o y e z y ; , .
. Péta. Sti^ef. L e. Bâton ferré aux.deux».,1
Pétard. iPgLtzpm Ga^t^UG^^^Q^ez-
Foje.
Bougnovu^gæi;£Be%it 'pa^^^iijJp’uî^^HJ
ipénàgéA^^^^^^ldide‘chaq^Jfâ"#étÿ(^;^'r':20;^®
Le/ï6.8-1^s
Petit Tojrer ‘©u jperk Towrrer. Le. 2 4 s , ayy.
Pei'ke L e. Bo.i^ ^ S r
222. Petite Houille. Voyez HouiLLe. Voy. Smegruis,
Petite fraùcglle. Mink.'^du Lyonnois. Voyez Va?,
r/icelle., Petite. Vem^
Mine de Charbon de Fims en Bpdi.bon^|^5'7p.
Pejyr^f. ( C/zArèon ) Voyez; |CA<zr^on
écailles brillantes ,, fe. réduit en cendres après
s’être- 'b;0u||©jnfflt.é'le'Li champignons &, bourgeons.
Voyez pefauteur fpécifique. r .
, P/wrej. Tours élevées fur les bords dej'a met,
& fur lefquelles on allume de. grands Peux » pour
G'17 "