
D jM Q W D $ T E R R E S
»»IçjgiggBg î MBIis f e pactfes dé la, barre font-égafes; mais, i l P en eft’.pas.. de
* rngtne 4 e l ’agit); id’AUemagne ; il eft aftez rare de trouver ftx.'bat-res.lîir douze
q^glfes aient- le défaut .dlêere cendreujesou Jïlandreufes -w ifir r è ^ s -9 .
p epfgrt-e chaque,' barre que 4’on’-veut employémiferfqu’on
u û ’en awii pas de meilleur que celui d’Allemagne, Ü^JBbè^on-’feubsmétit
» f ifiyfÿ chaque batre unbarril ,-mais ifefalloit encore eflàyer
» chaqyfe- barre dans toute là longueur» .•
» d’Allemagne ^du'^TiroI t,
-a, dé Dantzick & de Sty-rie ; maïs on ne peut Pallier avec^füceès.à^ceux de
«Hongrie , du Dauphiné , &c. & ne pouvant Jêailàer Æv^ei.'dt.'trop gros acier r
» à plus forte railbn on le peut encore moinsaveè.du £efUin
Méthode â’Jhcém k s dOéûlsï ■ />
» I ^ y ÿ ^ ^ nte.nn.sA!/7/:«Big*^d&i^pife^d%n-,màrfean'l|^|6'»de»iJa>
« tête;9ft.deJ^-panae ( a ) , on.corpme,nce par GèïfS>ysr-'Un ^d£§8?W&drôejer,
^.dela largeur & de ia.fgrmed.e, fe têjq du marteauj.. .|iuisHQJ3irfe feude, à un
» morceau de fer mince, de la n^me forme fegi^fe,tondit chauffe© la tête du
» marteau & cçtte acérure, & ottffcude le to tlt^en fq n ^ g ;^ïÿ ^ g 4 ta de la
»panne, pn peut employer la même façon j .0 3 fend le
»côté de la panne du marteau, 8c *on fy jnfgrg/ûn motfqegiiÿdj^qietjj amqrcé
» e)a fçïnje de coiij ces deux différentes manières;S*ànPellen ÿ ig éÉ iÉgfeS^g
r>.portée ; elle s’apnonce d’une maniere>,qpi ji’efl:'^ia%éqi|s50q,ue-îl lafHalîè'ion
», fer dégoutte comme à la' chaude JytpgfâS&S
» Mais il vaut mieux le fervirde" la^feoïft’eme'-fàeqnautant q ty l‘^ffepp>®blqjSï
%ESIÉ® que Jbi g^udg>p?rçer-eft/lu'jèttè<pqùèlqu^!iiéc3utiqni^^^pnjp,rgnne,
» à renfermer dés craflès entre les deux furfaces appliquées, &■ à fedeifou-
» der.
1 De, „la trempe, de MAcier.
G n- idoie : entendre ici par cette expreflion ÿi'pâéFtQnjçfe dur:eir:, l’afe|er, ;,gc;<
qui s’exécutéenfaifant chauffer la pièce au>feu &.la;plsnge^nt teuterougedans
l’eau fraîche^ afin de la faire, refroidir précipitamment. M. dp. Jufti, làvant Cby-
mille Allemand , a: publié dans le premier volumede.fes Ouvrages, en 1760 ,
en Mémoire très-raifonné fer l’Acier mais nous croyons devoir nous borner à
continuer (i’extraire de l’Art-du. Goütelietles. génér-alités'içs- plus remarquables»
» Le temps influe beaucoup fur la trempe ; il eft certain que l’acier eft plus
» dur dans le froid & dans la gelée , que quand le temps eft chaud ;;mais dans
Ci) Acier qui njeft ni cendreux, ni filandreux,-1> au. laminoir .panîe de 'l’eau,
ni, à grains ferreux, nommé ainfï de ce qu’on || t (2) Partie de la mafie du marteau, qui eft op*
afiùre qu’il eft réellement fondu, &paffé enfuite-1 pofée à la tête , de qui ya eja diminuaût.
R T D E S E S M I N E S . II. P art. gj }
»fe premier cas fa mariete' étt1 plus lîijeke \ câftéf., le grafid çjfeht y ’-^ft àuîît'
$»ÆÔÏitraire ;rfe temps le plus favorable'eft'forfque-fe Ci£I Jp%.ëtwleux • le ‘
•'»grand brottïlf^A'èft'^ftcôre eXéelfeM.-'1
. » Le feu & l’eau' fontfb’e ^ffiirt^oFte fe plus^&hf là a«
v premieSr^ 'Comme ifes’àgife
ïfchaufTc p u r la^rernptfj^oblcîinié >_fhplm^^|güde que'le granl^o^r. '
» Le feoenei’-dôit^pas .are Si^^H*jnt'j^dlf[üésjfi,i:tal-fes po”&
tp a la foæge : les deux méiMi^s*ferî^^ll^riaïî^l^^n'ès ‘fen
» atadôptéïune^b^np'fàdt pas la c fe tfle rty ^ ^ p ^ yM tH fte f'q ’Éâbléude l^e
».conn'okre préeffément fe - g/é
npE^'ds'faù^i^l'à forg&'efii^hi^‘ehVïfe' tr'gp fo feu ^ p '^ e ijm f f ll
» animé par fei.fduîBât -, ^ fe défaut- ' d i , b b 1 . 1 è d e ne pai*?rempeE
'gaffez ch 'a u d ,:|^ ,|^ it que Oélfbhél'ês 'deux^tr'éthités dti^ïi' f e ^ ^ t e r ’: M.
» Perre^feffi/l'piâan'ti ‘d’avis q ^ i F « mieux'- jféefiéi-poér,. dIrlÉrf.tin peu
» pfest de rcMèiJï- æ ^ d i é ^ i f e 'd f e n 'd o n n i f ï ^ ^ P ^ P
« Le îfdliaëi^êBre ^ 0pô¥tï6h t i ^ ^ ^ ^ ^ « s veut
sctremper.; il Vaut mieûx 'èh-’ï ïW plus
Tcfl
» H g ^ g oa^wtgbte ; j i V o it pis
r« un-»peî!,éfendiwi W pjcëh eft fujètté à fé^dejeter â e ^ p l® s n # ? é |i^ ïF é 'p lü s
v dans un endroit que dans un autre, parce que le feu.eft toujours plus vif’
a vis-à-'vlsife}fi^CTe?qu^ partout'àïllèiïr#"**:- S fotgés
»'8climés',.eft appllléepar tout,-lémonde ^
» dam pas exaél atejugémenü de < ÏI|M différçhtsf
a f e p r em ia , le lo n c ef-A-mfte, qui d l fe-plds ^ îh l i r .f e f t 'ü ïh b l l^ l l e J é n f e -
” ^ n ^ (ïol?c f ^ î i ^ f o T t -roû, i l e ^ 'v q
, ‘ » IlVfaut;>fai!|é; a t t e O T f ^ Æ q u ï ' ng
>i c o n v ie n t-p o în t.^ to u t^ il f |F f e ; ^
» cette, couleuf eonvierit à quelques
» eÿige un degrérdfe*plus de cbkfeur , Iqdx^cftcl ' r oe l i d p f l ^fu te mÊme
»"couleur ^ ^ ^ l 'é t o f F e 'd e Pontt e nfi qu’à f a t ^ e î Hôngtie, & glné-
» râlement ’à trôustaos laders de FrancV .
»L ’à d d trem|«odfeüc^de cerilelafe^l^gbpmllapte^në ^urcit que tcès-
» peu'; par cette.même raifon plus l’eau eft fraîche , plus la trempe eft dure:
»-ainfiil faut toujours tremper dans un baquet qui contienne deux ou trois!"
»fôaux_d’eatry & memepourpfeu qu’onfe^fe que ffe au perd là fr^îch,âut!» d
»• faut en changer j autrement on trouvera que les pièces trempées les dernieres
» auront un degré de bonté de moins que les premières. .
» L acier trempe trop chaud s’égraine, facilement ; quelques Ouvriers pré-
» tendent qu en augmentant un peu la couleur de recuit, on remédie a une