
t o I g D U C H A R B O N U E T E R R E
s’élève fuccqffisyem^t dans b tuyap monter | | g t e |
„ q i^ fv g i^ la ltire r dans cpfte,bacb.e Upg n n M a B H B & j i Q R E E y p =M i l ie » mêmemouvementquifaic agir les deux Piftons liés par une tringle au-deffus 1 un
» de i’antre, de maniéré qu’un Pifton afpire, pendant que l’autre refoule leau».
°fi difeï|s la ,P$mge d^ir^ntp & .foul^te,. de mamicre^ue le
^ ^ J(^ ,% u ^ ’alpirerfen,^qntantt& 4 ev^ùl4£!ftcri .defn^dant, a^>ire en
j^fr^nj^rxr }J& foule eçi montait ; na^s fa force motrice, 4 ans ^es de$? f ?s 9
pe fe calcule point autrement que dans les cas ordinaires en ayant;, Jg^rd
^ifc^iabbiijenf ..amg^kk -dj} PÜjtan.
^ p S l e cggps 4e,^omp.e7sbmbqltent des tuyaux <fo ■pijvre aprâpçéBffâjir-
' c h L f f ) -y gijÆ maintiennent _ayec.-des ,£r^&(>jh IgWSgs,Bfff
- cuivre & des rondelles (3) de plomb
Il .è^natmeL q u e& e s ^ y p ^ .^ i e f td e njême.34 i^n^?râ -fine Lg.-Çorp^de
S .ïqm p i ^.ajnfi que le t u p s montait. ;
De l’Equipage d’une Pomperai général.
||P ën'H ^ èaiât^ûe7 on'^ccmptnd’Jfbus feîp'rêffictt Ü Ftjin'jag* dë
^ 0 Ê $ n li^ e l^ o ü > &
îne|nèjdes qiffties èn\hàtpênte, tell es les
# É ^ p ?iGn/attg'cH'ëés à 'M f8^ J ^ f c o i â t p& j-J k c|ûr' peUyé'nt ^ ^ | ^ ^ ^ n s
les fâiîinres <Jes dormants ou bâtis de cKâTpente'ïcülcs danVles
ou l’on conftruit des Pompes. _
•LêfS^s-çtriplqyées'-dâfss É ^ ïéS h a riic ^ ’;4^ ^
ou ' ^ ;à n i ê n i jB B P f p ^dfyéfféinénf cJqtfSgUffp,~|§? % r |te s ’ H H E t
fM l qn n<fef dffinéftf, çpmme celles appëllées' ,
&c. * , . , ’
La iaue'dê T f è f j r c i f ^ ÿ m m é e e f t ' àfhfi nommée^; pâtée^ g |He
r à ^ à ^ ^ ^ ^ ^ ^ tÇ l a n t é s dire&êment fur la' CifcMMffefee du
ffiS^&ttediTgue d’une lairjerne dans'la^uelléms
(1) On appelle encore Fourche une broche ou
;IUyau qui fe fonde far un autre, dans la con-
duite des. eaux. . ,. , .
(2) Bride, toute piece qui fett a retenir ou a
Soutenir : - en particulier, on donne ce nom aux
extrémités'des tuyaux de fer faites en platine,
.avec quatre écrous dans les angles pour les joindre
& les brider, en y mettant des rondelles de
■ cuivre ou de plomb entre deux , avec du maftie
, ' , "1 ! ï|
^ X3)f-cs Rondelles, autrement nommées l irdht,
font des morceaux de plomb coupés en rond,
pour mettre entre les brides d’un tuyau de fer.
(4) Dans les Arts méchaniques, on appelle
Moifis, des liens de bois, embraffant les arbres
' & les autres pieces d’un affemblage de charpente
qui montent droit dans les Machines,. cela fert à
les entretenir. Ces moifes font accollées "àyeç
des tenons, des mbrtaifes. & desbeheyalfets ou
des boulons de fer qui les traver'fent, & qui
étant clavetés, peuvent s’ôter facilement. Il y
en a de droites & de circulaires.
V F D E S E S Mi n e s , i l p àrîv îô î?
ïayans s'engagent. Ce que l’on appelle Eàmerm dans les Machines hydrauliq
u e , •eft.une piece à jour faite en lanterne, avec des fufeauxqÛi s’engrenenc
dans les dents d’une roue pour faire agir le pifton dans le corps de Pompe,
Quand les Machines font .mues par i’jinpulfion de l’eau, les roues font
appellees Roues a aubes-, les aubes font .des planches fixées à la circonférence
de la roue , fur lefquelles s’exerce immédiatement l’impulfion du fluide qui;
les^affe JeS tu^iuprès'fes autres ,nd© qui fait tournei-la f>de. Ces.pfa'&phesC
font, p a r ^ W r p â & ^ i f ’ns a?e^aff'&;aû^;foïês--que leap fait moa-
■voir | ce que font les allés du moulin à vent.
Il y iid’aiutnes e%eqes deirtM^s^Sjffoat-gWSé^ieir c ir e f e ^ n f e jde Pou
pw VMugets, & qiui font InuQs.par.le poidsüde l’eau ; qucllesi-îQçbivent par ën
hautVonlttf appelle Riùs y. k fors fop f f i à j w r . t ’
s La pie.ee fa plus ieflèntielle d’une Machine hydraulique, Sc fur-tout des Ma-
chines qui font agir des Pompes afpirantes ou refoulantes , cleft la manivelle.t
défignée , dans quelques cas, par le nom de EsémjîM fâ ) •|\éj|»eà:,dé- feyi er de
fo » qui isîaiufte.-différemmenc iffl^lan' iês ciieohftânces, .q n eh ^ iy oubfè même"
dans certaines occasions, 8c auquel on imprime un mouvement de rotation.:
La manivaile .a.1 2 l’inconvénient de ne pouffer, .le pifton dniav le cylindre , que
tantôt d’un cô té , .& tantôt d’un a u t r e c e qui ruine ablblument le pifton & le
cylindre, ,& nuit en même temps à la puiffance par le. frottement réfaltant
de .cette elpcce de vibration.
'■ Pour changer la direétion du mouvement, ii arrive fouvent qu’au lieu dëm-
un levier droit, on di/pofe les 'deux hr as de manière qu’ils font uo
angle au p.oint>d’app.ui.
‘ Ces leviers angulaires., nommés Manivelles .coudées, font très es t i ï a ^ püj«
les P o m p e s , W jv ja jp î
*re. épi P psi die sosies - indiuéâæs. .
é p i t i.dÔk'fè rappeiler oe.qui a:l t é i d i t ^ ff ÿ i j , quipn^mànisvèlfe, .fob;
droite , foit courbe, a toujours la même puiftànce, 3c que celle qui eft çqnrbe
eft toujours confidérée.comme droite ; en effet, dans cette efpece de Machine
ftmple, la quaritit^’.de la'ffaoece «dépend de fi idilfance 'au Centreÿ queüe
foit là figure, ê ,
tâfeM n c e augmen^ïd^lfÈa^ pfos,, â: en mêmepropoftion, quelfiîgij&t
sfe^ffée .dp centre p||®Eiidiculairement fur McdinedHpa du fesidsi »tlWilffui®
mie daAs’le'rftoufe^nt; de la manivelle,, fÿfituaffonla plpïiW^tîtageufe eft l’h a S
postale , parçe xju’pl&s cette ligne eft plôis longue qffca'tôü'te aufrè‘fttu,itiôt|fË
Ap reflie là ^ c e ^ s it êtie appliquée três-Mi%alement .en Faifont éôï|ttM,Ig
WMppM..f|y W ejle n’a ^ t que pendant la moitié del1i%ïaÉiôn^ cè^ui fai^oulf
(1) En Hydraulique, le Tourillon eft piopre- 1 flèches des bafcules d’un pont-levis & autres
raeM .,u^ !' Srfi|ïéi:éheville o.ii;!boùlde;de fer fer- I pieces de bois dans les Machines.
Vaut d effieu ou de pivot . fuf lequel tournent les | .