
0 D ü CHARBON DE TERRE
Nicolas Voigtél-', Receveur des deniers' à E ifle b .(i), p u b l i a d è
Géômémè fètscerfaime , qui paffe pour"êtt&' -fepérteur à celui dç,Rèhhold;>
mais q u ifo n prétend être très-confus & diffieile|lentendr.e,.
Celui de M. Weidlêr publié en 17 2 ; , eft le feul q u ^ k - i t é h même de
«©gptte-ï p k& u # points deTOuyiage-de VoigSè^y,fent c om m e n t pd^en^
fermé tout'ce qui tient à cette matière $ comme on J® ■!)«*»■ par laitr$duéüdftj
dont- jè projette de-feireejouir le Public
Il efl cependant à propos ‘de faire obfei ver r q||iMrppofe dans le Leéteuf
les CBfipdiffaftbes fondamentales de Géométrie & de Trigonométriebiiafequs
les nertions y les'définitions' les plds générales fur-la nature,';du langage ou des
chofesy dont déperident immédiatement les p ro fitio n s , foit problèmes, foie
théorèmes ,• qtii y .font expofês »-ou de tous- autres qui pouroient être établies
dans une fuite. continue.'
H féra en conféquencè indifpenfable, pour- avqjfti la clef du Traité de
Weidlet, de fe procurer quelque Ouvrage élémentaire de Mathématiques »
tels que'ceux de
A a moyeft'^^SiHcburs ^ p iffé 'ffît d’indiquer aux I{1géftfeUt|Houilleurs
jaloux de Te tendre il nous-devientftbùtià^fait fPgrifo ;de- ‘p ^ le ï
Mathématique & Trigonométrie ; toute la partie ffatjji^M^ la' Géornétpi
fbuterïakie eft renfermée dans umpètitr nombre de ’prôjàlemes -, leur
tient l Aa& premiers p^incÿes/;des;dével0ppcr i | ù c ^ f g e f durfe
iâëhe qui neft pôint dè'ridtrè1 çompétendtej, & qui eftrinriti:éremenr.du r’éfforï
des Gébrrtetfés. Il fé préfente'eependâpt'naturellement à r | | | e upe réflexion’;
FOuVràge de Weidlcr, que nous an n o n ço n sm . d > p i u u. 41 !*i fure
â une autre traduélion 5 on ne peut favoik quand -ëgttéfderni#|r"(|xaifgite J
peut-être ferons-nous affez heureux ( en attendant; q u |p £ s deux Ouvrages
f0ietlt publics , ) pour infpirer à quelques Ttagéifieurs Habilleurs b àjnofitfé
d acquérir les connoiflànces' dtSSTnous femmes tè ^ ^q u em é h ttd e 4 eH £ faire
îfentir la néceftîté ; Cette cottfidéiradon- iious aautorifé à croire qu’iL-ûbü’s.fejoy:
c e rn ^ d e mettre fur lès» voies ceur., qâ#Hfentiràient eégéidifpofitiôn,, &de
fu p p lé er en quelque chofe àu fêtard de l’îtflpreffion d’un Ouvrage que jefleur
fais délirer.
Dans cette-vue, je terminerai ce premier article en préferitant l'énoncé de
'(1) Art dëMêfiirërlèS MirïéS I ^ î - , féiiMbti-
mein 1 713 >ên vingt-quatre Chapitrés ,àEifleb.
eft prt^W^e&OTîüri’ieWpas cité
«'ât Miftéri. ■ ! . ’
ta) L#'F%ma igfSpe ragpoftéùt; aux problèmes
réfolus dans Weidlér , font Cartié dés
PlanchesjàlïEilçyclopédieVI^!. V9jfL.cs di£Fé-:
rentés propofuions^uxquelles ces figBFes fervent
âe démonftiltion J fe trouvent feulement annoncées
dans cet Ouvlage, Tome VU >t“S*6$9 i
au mot Géométrie fouKrrmt, , ,
Nnrir Éléments de Géométrie, avéc un abrégé
d’Atitshmétique & d’Al#éllfé-j par ,ÎM.. Rivarï,
Profefleur de Philôfopniè en l’Univerfîté,de Pa-'
Iris , chez tffi/iint.;* SàÜlAntïin-q0. 1739. Ces
éléments fe trouvent fuccinâeraent dans un autre
Traité dïâé en l'Univerfité, par feu M, le Mon-
nier, 3t publié depuis étiez Saillant, 1773. —
(4) Leçons Elémentaires de Mathématiques , j
ou Eléments d’Algebre & dé Géométrie, par M,
l’Abbé de la Caillé, chez la veuve Dcfiim,
ÆfiiMJE: p j | | g j a | | ygt
8# :diS|4ents paobteiftè% î®ifesi éîglairgjsat é,à .doaoai^ poiif
chacun- l'es Étiey ans lés phast fimples; dfe les réfoudre.
^ G'ee abrégéadd Géométrie pratique à, 1-üfege des ingénleufS' Houilleurs ^
méritei,umaTcsueiliâlautantf<plusdfa^ ^ » '^ M l » '^ p f o i aérffliye!i»». produit-dé
la eomplaifenee dra mêma -Aeadémic qjie;‘}’3i eu-. 0QGaii<Mi de citer pour la
latitude de-fer ville de:; Liége ^l^. : - ; .
Nou^,avons0 juiifj-éy,,oiç le faire ;pr'éqéflefrd>utïe rtotice feccioéte de queiquèl
inftroments; particuliers dont nous avons parlé » ctormme pouvant être ajoutée
h. ceux auxquels.la pratique ordinaire des Ouvriers çfl. reftraiijte $ & dons
Vufige éft d’atilenrs trèsravant-ageuiX y pour abréger les Calculs relatifs, à la
^dation de. plufiéurs qaeftioiisi
;; .iÇe.t.te notice, fera éclaircie préÜminaireménÊ par des généralités fer les
iileferes Mathématiques^. ■
Dts : Mejiiritj,* Mathématiques*. \ <.
, O ri, peut & on, doit fe repréfenter ^ q i t les veines de Cfearbdr£,;!'foît les
boyaut ou .galeries qui téfeltent des ,^i%s^fai,tes; dans, la, pjaife de çe,s
ifjes;, CommC; un , conapofé de lignes fequ.-^orarne; fer-matî^ ,'des lignes dç.nt otî
cherche à connoître l’qteriduej la direéliqn, , .
12 -En GéométrieV les Jignes fe meferent-par. d’autres lignés pfes pêtitéà
quon appelle mefures, courantes f lefquelles, fenî, proportionnées aux lignes
qu’M^meferent. Ces mefures , pour les longueurs &, les diflances » vont être
tÆerites.. %
Lè QetcLe; fert aufli de‘.mefere en -Géoméfrie,, parce^que„{à cirdonférénêà
efl |Uriifeime^; quj’il.efeferriblable à un autre daq*^®ices ,-fes parties. En con-“
féquende il eUdiverfement adapté à plufiéurs inftfumqqts employés pour mefii-1
rer les angles d un triangle rectiligne : les avantages de eettç mefeip font bieq
dune autre(importance dansla prarique.de ^^qpr^gtig feutçrrainç' ; nous fe
ferons connoîtrepj.us pMtjGuliéremeniVencommehiçant la defeription des inft
truments auxquels ell)e,^fti relative» ,
, , Des Mejures eaurefnemployées à la mensuration^ des Mines.
La Perche des Arpenteufs de Mines, efl: ufie Perché courte, nommée par les
j (f) Onjtlgeia fénS peiné qùé ppüf di|Férentes
tlhatieres qüEà(||^^Br celle queAje'feàitè, j d
tç’ai .&i :
.que je n’ai eu rien defnuiïux àtfaire , q&^d’em-
<vpnînter les lumiéiè^Rè^ différents gàfre^’f'Je(
dois avertir qu’il -en efl de même pour î’cxpli- ’
cation dqs,.différents-termes de Êhyfique .& de
Mathématiques qui fe trouvehétemployés dansl
m« domptions , qu .que /a i pôîtés à la Table
des Marferes 1 j’ai penfé qu’il pouvoir être avau*'
tagéux poprplùiiçursdé mesLeaeurs, d’êdaif?
err tout ce qui étoic capablé de les arrêter -Un eft
1 prelqu’aucun de ces termes, dont ]e n’aie, cher*
ché à faciliter l’intelligence ; le irictionnaire Encyclopédique,
le D fefonnarr®®)zanam, celui
de M; Saverien, m’o.nt fëryi^’ceé égard à en-
rîchir mon Ouvrage ; on po’urra par là fe difpen-
fer ôu.de.feles procurer, ce qui n’ ell pas tou*
jours facile, ou de l’embarras de lesleohftfltéf^