
i l a d e s
droit quelle' fut percée de plufieur's trous, afin
•.pÿint ^d’ailleurs la^Pàleur" qu’elle
Mnvôiè
C Partie fupérieure du Murray incliné du côté de
' v^^l;re » Pou’r augmenter l’ouverture du Fer-à-
/ ew s H donner S par-là plus d’étendue^ & y
reverfer -les - Gëndré's^©#; lès hochets , -à me-
- fure-qu’ils s’affaiffent
P l a n c h e X X X l Ç
-1 Cheminées de grandes Cujffiheïtr .■
Il eft aifé de remarquer , à (impie vue’ ; que le
feu de Houille pour les Cuifines a fur le feu de bois
l’avantage de chauffer deieoté comme’en devant &
• en de(fus 9r en-y fu (pendant différentes' pièces de
la Cûife!ëè'ÆVj
i
Cheminées de cuijirie pour grandes Communautés jg
'vues en perfpeftive. - » 5
I F ig . 3.
\ . s Grande cheminée pour une cuifîne de Seigneur
ou grand Hôtel, vue en perfpective ; on y a re-
préfentéiun grand feu avec un potagef ’d’üù'.côté ,
^ d ^ g i^ P ^iDa^k^dePatitre:,^dang-lâqfuélfeJori
- a ’toujours-' d'e l’eau chaude ; dans le haut une cré-
finaillerei qui Kétende dâîisiJtpate ’& lorigiïeu?f£de?'l'k
cheminée , .pp^upyj(üfpendrVtÉouté& Jes piecés--^ilfi|
fervent à jjj cuifîne ; dans l’angle du manteau de la
-de la imarmite , ifà&potence
tournante , ornée en fîgiîrè de- poifTotî pd'ont une
^fanébeidelcendante eftjgarnïë d|tcröchet§~pöur y
-■!' accrocher différents uftenhles que l’on veut chauffer.
r Même cheminée ;que la' fig'. 5 yW ^ ^ r o r a ^
,^pour .que SonKpuiffe Apercevoir l’oiiverturé quâr-
rée. Au manteau de la cheminée'& .voit1' en longueur
la crémaillère que-l’on peut avancer-olf ;re-
’culér t e : fës barreaux de- fer î on y^îufpeidu une
"chaîne, dont les anneaux'doivent*être rónds pour
qu’ils ne s?üfenô pas- aux mêmes - en droits:, & -cjüi
■ 'hautvouten bas moyennant un
•pfoçhet.
Y. Fer tournantfixé au-'-manteau - dé-la cheminée
a par ~i^grh|^löiÖoi® pir~une vis pôür fùp-
pléer d’une maniera plus (impie à la potence
r tdurhâàte* $ ifulpendre une ficelle terminée
par -un crochet, auquel -on attache une
pieee que veut faire rôtir.
F r c f f ^ - -
; Plan 3 ; &-( au-deffus de
l’.éch'ell'e ), Fer * de- feû^ vu eh élévktWê^Ç
5dont les tringles 1 font ■' pofés perpendiculaire-
- ment, ce qui'ehf une mauvaife“ méthode ; les trois
autres pièces ccc , répondantes par des.pôin^l
- ait grillage , vues ■ en“ plan aux endroits c e ,
font des barreaux dèfer^ü^ fe rapprochent ou s'é-
I Ïoïgnëht à volonté ,.p©ur diminuer ou augmenter
le foyer , félon qu’on a'feéfoki de faire' lin’ grand
ou •petit' feu. ^bUArèst-orua1 repréfenté un hochet
entier., teLqu’il eh: au fortitdu moulé. ’
A T 1E R E S.
P LAN G UE x x x m ;
LA Je. .
chemiuécs.pour èüi-*,
I Jvrtes; vu^ fep argent
\i. ’ Çrémilterj ' ^ s?a fa ^ Ë au Wntfêaÿ deJ jh,
5 cherchée 5 à fes extrémités die eh: garnie de
barreaux ronds, qui fe chaflent dans un mus:
de refend,
a. .ÈmÆjCréjnailJexe' commune, différemment ter--
minée p^ ^ C é^gvéuiftes^^ j •
-2. 2. Chaînes de fer q,ui fe fufpendent aux crémaillères
, comme on l’a vu dans
che XXXII:, munies de leurs croihpts, vus. fé~
è parement en auxquels on peut fubflituer
les anfes à charnières 1 & 2, placées au-deffous.'
13* Au-deffous de la Crémaillère numérotée dJV-ffa-
tence tournahte'^mimérotée 3, fervant, au lieu
V - de broche, à ritif : lés v i a n d e s 3 2>®
\ il pendant.
y. Fer twrn^t.fFaujfe Crémaillereov^^je Èo-i
' ' tence pour rôtir.
4 * ƒ• y* Trépiedr de différentes formes. -
G. Marmite qui peut, fe placer fur le trepiëd en
étrier, & ' qm^pé ^ ^ ^ ^ ^ jfûfpiendré T la ~
ehaîne, au mgyen du cfcobhëiïïr,.^. ,
feu
f^M-Piecés^'
vpw^ iRMi^R purjavvartements.
1 pour^umge^ v
I jB.’.I. Raïeau. .©;u: oiai
jB. 3. Autré Maf. r, >
de l’appartement*
| a a :a.
Yc^Pincetüs^^^^^m à / e ^ a p ï ^ e ^ n t ; d’im
1 ptiui, Le. cîfaufi^éfeovtj
■
is Valette. VUli.2à],{f u „fervant
à raniaflèr les cenarajârfqu on
,e. Rateau. Raf. Gr ait eux.
gm.-
x.._ Lumtte\, on ,a mis et»
Ÿnton’t les hochets de chauffage , dont un eft
^ repréfentéaffiï)|[5 dêtla flaneBe,pr&ddpwe,îi
L’ufage & la defeription des »figurês^de cette
Flanche fe trouvent détaillés page ^66 & 367 •, on*
a feulement ajouté parmi ces: figures , au-fleflbs
brut, & , en a j' un Kfahay^pu.bxa.ïÇp^à^^m^i
6 en é , un petit marteau pour les cafler. .
^ ;„ptîc|!:c.H*E x x x i y , .
Eerçoir de montagne, Sonde, Tarrière dngloifepom'.
* reconnaître les différentes coïichts terreufes ou pier-
' rtufis‘quiprécèdent' o'tt féparerit lés veines de Gtiiirdu@
n
couche. *;’; :
F|«.’
D E S P L A
I X ;
 ٠St ILZJE’U DIE L A
"ffige d’une Tarriere compOXe^^apmheu^piébes
de fer , appeM^. Branches , & par. les Suédois I
'Ælfyfte 4leS;.|f0.'nt -en nombre ' différent fel'on i leur I
longueur , & félon la profondeur qu’on veut fouiller
, & s9'aff^j^ ^ ^oute,sla4yfs ie'si unies les ah ^ 5.>i
ce qui indique,d’abord l’attention à avoir Iorfqu’on
veut fàfee^ agit cettè foinledfe^tôùr'^S^^^W«J
même côté , afin, qae l’écrou ‘ ne
.Tio'ût^ lesi ^b rà^Hei^p^cet^te' • ta’r I
ll>ÿp'ées, fous le^5J’i^îk\ds. (^ahté^pefâBrd’deiiï 1
l^l^nGheM,jî{
ti.ï Manche , Foreur. Su. S'kâfte. ! Partie fupérieure I
#!Untêtede la T arriéré, de trois quarts I
cés d’épaifTeur on quarré , I
rp^At"^;cb|,ahdies &,-1 d’une hraffë;
-'guenr jïl’teil'.'qA travèrfe fon extrémité fuv I
V périeure eh: pour recevoir l a I
f en^bois »’forv» & ^Wp^e^'d« ^d^eu^iâunes1 de I
Suede ; à un pied environ . ^ ^ leEâoi^felt^]
l’on apperçoit deux frettes, il y a à .queh-
ques-uns de ces foreurs , bn-trou- au lieu de I
ces anneaux ; ces deux anneaux ou frettes
|j§ '^t^xeéï;,: feièéëf à éi deux poh^ |
levier l
fourehur., mais encore pour , au cas de be- |
foin, y affermir une corde dont il fera 'parlé; ]
dans un inftant.
Leïie:r fourchu dans une de fes extrémités, pour |
embraffer la gorge du foreur entre les deux I
ipjjÿÊ/èjà'-'À'.
5. Piece qui compofe la partie moyenne de la I
*• ' tarriere/ y & .dAt^^^’^l^^dbubles^eddife I
Lanterne. Meche. Cui/Zer, nommé FoKÜZoir ^ en
Suédois , deftiné à fouiller les côji^J
ches de fable qui, à la faveur de la conftruc-
tion de cette meche , peut s’introduire dans
fa càqnêlh^ê^wftëfièüre; quèj'l’on peu&'enfuît'eM
ÿ." Muilloir-trahehant poulies couches argilleufes
^ & glaifeufes. |
i^aiJW^^^^^épan, Meche, appellë par les
Suédois- B£sg ■ iÆRir ; /èr de j' vu
de même en place à la tête d e ~ la i^ rie » |^ I
#:■ uil: s’^^^||uour,4és^bancsvdé- piefr^pîi; I
d’àïdôifë.
Langue’âè ferpentj de forme pareille à celle de
- la tarriere- ■ avec laquelle les
. éclater ■ le rocher , employée lorfquë' l’on'
. tombe fu-r deSfpierreS- très-dures, ou'que
vont' netfoyé'1, les entailles que l’on à
fait , & forer les rocs durs. .>
S 1 n|m'm% FouZZZoir , différent I
' r# fféifëmVnp?dA fcgl|lpirs 4 & y , én ce vqu’il
l'fi e# feriiëi pàr le bÉfs,fpour qu’il'puifie retenir^
les matières qtiéUî^fcèut tàihëne%;tafin de*
les connoître.
ÿ, Fouilloir femblable au fouilloir 8 , fermé dans
lopgueufv.
'|tO. Clefs, tourne-à-gauche, pour v i f e ;&déviffer
là ! ■ ' fes pieces de la tarriere, .
fri. Former de /onde quon adapte à la premiere
< 'c- piece deÜa tarriëre:'lorfqii%n, fe veut,
fr 2• Entonnoir de fer*
€ H E S . t;m
| p Maü'eau AmWonl M fer't pb'ûï frapper fuh /lé
br|nefi^u|e|, qAdjan fubflitué
/r'^qtaj^BæjHKP'laM^oiyffia A.I
1 a a i j haut ^.àMÈ^chèi/re y
lorfqu’on veut faire agir la tarriere dans un
cas fFiîf|we*JpMut recevoir la corde'îlqui
fufpend1 le bonnet de la fonde. ' )
iy. ï^oeZZe pou^.lèuittufl: la tarriérë ^orfqu’il 'é ®
M j foi feyer ^en^haut *,/&qui A , paiTm
. entre le rebord de l’une des tpi^^|de’]a■ brarj^
^pénd^P'da* mance)ivfe» >
16. Chape de la poulie,
ïyv cZe/r pour déviffer les pièces dé ïà tarriere,>j
tandis qu’on la ^it^â'pteUvrer-, 9 H
^^^4^m>li(pefante , ne - peu% êtXe^ouVef^5%'
retirée à la:ma&:
i Efpece de *cbevre compofée de trois perches
maintenues en fituation verticale. par une autrey
perche plus courte , ( à laquelle on fubftitue quelquefois
une corde ) bien affermies en terre , ô^ifqu^
nises^.qpfgmblb hautï,en ^Thvecîla pôuli^m^^
pilé'f^Ia^uejïJglagk^ui^S,^^^^^
11 perches!efti^4^hîê^é/Æ .
chers ou m n„ H
ff, e^
^ ^ ',-fi^é, en 'terre , ou ^hplge. ’d^hjv®®fûffik^
' qué?laAG^ ^ ^ u ittMe^d^fondé
poulie, ne puifle l’entraîner loriqu?o‘n vient à
'u ' rélévèt
P Nv; » 117^
* PZ«re -yôrrae de charpente formée "Wû
-h -1 chalÇÿvq^^^^^^^fesÿ ^ c eæ oM p ^ ^
Kte^ne ^ a u mis
w^S’econd ^«feiZ; pour faire letôhilêl la tatrietë*
pu la ïetheiM trou ff
a, " Cheyaleù 'Maïntent$r\ % ^ d ^ î ^ ; d b n h l j S î
fage principal ë ï de fervir vdcapp’ui^aù' ieviéh
Ci Manche ; Foreur ^)|^p^gnelMe^la tarriere pofffë
fa,Levier d^fimàt^ydm^mwêlu l’extrémité fouf^j
chue en if , qui embraffe la tête de1 la tat2».
riere- Rentre’'les^eu,^fr¥Èé^é^
de là"
lu
^tfe^^^clD^tion &^l^ü^gSq^raütes, çe^pieces ^nC
développés-ƒ Age,.5 eh à;-;prqpos d’eri
iapîlroeher: Maître Foreur en A n gleterre,
page 397 j & du.fojM^
D 8
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