
îo a o
il
D Û . C H A R B Q J f i D E T S --R :RM
.Sur les m éjàim ’ .progom^des. T om p ®^ '
1 H E ! S 6 B enfemble ,fo n t fufceptibles d u m i é ^ f e l u t o
m Ê S Ê H H
pou, S T ,„ K i une ? T T t e ,ÎOmT T M O W À ■ w Ê Ê Ê Ë r * K S eft certain * Ç S l ' â B H B » | | § ■ que S H H
~ * ,e r , p u 1= moyenJ'uneïpm[».ÆB®le,l#e °S*»tae W * 4 i 7 k* “ " “ f M l B B B !■ '« if ““4' M * | H S P I p
les foupapes, par leur' folMM & leur conftruébon, B B H B h T
M j S M B S a & par cônfêqüent B B B M B ■ f
mofphere de la force q n l i a u t o i e ^ e e ^ j * pour 1er remr ,
ou „ r t e é l a f f l , a e f a t e que U fcp h rr de « t e fo® , d l é p lo y é a elever
une nouvelle lâiÊBSUèjjdtÿlt&f WpîB R P H B mbhH IIH H H h H B H o,
Après à d p B E D I “ -1*5 ■ ^ B h B h H I
R c o ,s de Pompe f i f a H « * B H S h | ' “ f r ' T ' T
jieHes pou, une pleine eedoudon ies Machtote H B | ■ » »
Mines nedokpas ignorer combienlaipeÉipteur & lereildccdd 1 uiemÇUMtdans
l’aaion de ceç>Iackines ; r^ f t uniqiiement fin ce* d e r ç r ^ r u e tÉ J rg e ÿ r t e
H H B H H B H des Pompes, dépendant OE M M H g B
appUquet.au pidon. Nous n’en donnerons qu’upjidée-trèsrfommarre, « H P *
t^ tU sP5keâeutsdeMinesdefem£ttre au tatc.’^ 'c e a e matjterejmportanterd:
daicâte. d ^ i f u t f e u ï r a g e s dont nous iffliq tfo to a > , pnnrupaux |? } .
T Ü S m J o h ^ M m â k ^ ' f i t j | g | | | | l
l a renie rmr éoMit U hauteur de l’aipiradon des Pompes I A H H K
ou la preflion M É g lU dW i f « Ü H W S Ê Ê È Ê Ê K m d’eau de tafe %de, & ti 1 ce <mmsdeqhumUre de
a8 pouces de hauteur, & de même-«» (3) 1 cotome ce degré de
dépend de la compreffifin de l'air çjtériem furla furftce de 1 eau dans laquelle
fi) Mémoires de l’Académie Royale des
Sciences, An. 1739 > fur Ies meilleures propoç;
ïioos des Pompes, & des parties qui les comptK
ËËÈiÊÊÈÈmË Bélidor, dans fou livre intitulé :
MMitcft lo/q.WiiU'.Tom.lI.liv j.clnp 3»!
contre lequel cependant on doit le tenir en
garde force point , la théorie de cet Auteur,
fat le méchanifme des Pompes j étant extrêmement
fautive , de l’aveu des Géomètres.
Le ©oélew.-Défagüliérs’ | a traité cet»bjea
d’une maniéré plus conçife ,j.^ s Jd s ^ o u t s
\ i c . W M M M e f-'^ p é r im e n ta le , V o l. l k ■ ut. s ,
pee, 160. L ’Ouvrage. deçMJVIartin, ayant pour
titre,M Èrïtatmica, au- tom. U, pag. :288 ;
& le Mémoire de M. Euler , dans les Aétes de
Berlin Jeék’S f f a , tiennent une placMHM|guee
parmi les Traités relatifs à cette matière.
(3) La pefanteur fpécifique du mercure elt a
I celle de l’eau, comme quatorze eft à un. -
E T D E S E S MI N E S . IL Part. Toit
trempe le tuyau d’afpiratiori , caquéaious1 ayons dit des propriétés de i’air , eti
■général, & des varia tjojis^du^mlpsuçe dansjelbâfômecre , fe rapporte naturellement
,à lÆjîpériénee^irr'-a-'-'réglé. la 'hauteur -de ;fafpiràtio’rl" ' des tempes.
L’air, étant eniiaf.de faire équilibre à une colonie, plus ou moins^graWde de
mercure jp & pâir.4,I1^ <liI?n,: ^ uae-yblonne dfèsu ptesr|ou 'rrïoiris grantiP: il
s’enfu^cme la, plus grapde hautçur à laquelle .'^".parfle élever l’fäff par îe
jpoyehrd’nne’ièul» Pompé, VUfâ'e»MnMa‘ hauteur dtopr&ëhMffêS-âahs le Baroîg
métré ;cd’ou älfotit; que les plus grandes hauteuls-ä%feqöeies où pèlfeélevér l’eau
pari-le moyen d’aahe feulé Pompe y varient füivant les-fauteurs-’auxqueU-és-’ ân
fent.grpportionnelles à ha nautëur Parométre en ces endioiBs?
-larfftEU'mentiraétédrblQgîqüe', dans.l’endroit où la Pompe eft-platée.'
Pour .la s’Pohjpe foulânteïaveé laquelle -on -peut élever l’eau à une hauteur
propofèa'i'iilrteft donc qpefliôÉiî (1-poUr fe bprner ifci'ä 'la. regle fo'rfdâmehtale )
d.’:eftimer fevpuffintésmotrice :,capable dé /aire équilifeSe’-à la préffion àue‘ la
(fcafe du-piftan-éprouveloklorfqu’üne lame de flùide-a atteint lâ'haütéur prd-
pofée jtflëfeoiii't^âemefirôit: entJé^uS.i^le'.'’^ %
A.régardtde2]ià .Pompe âlpira'ntei, pSift 'juger ‘de fon efFqt, il1 ne’ feffit pas
sd’évalüer.rki^üiffance, il faut-examiner avant tout, fi l’eau pourra parvenir
julquau^iftön.,. & imêm^s*élevenJâu-delTus ; a dés circoriftances: où
1’eau^^^^e^à^pne^qèMaine^ha.ut‘^ir.,, quelque nombre de coups de pifton que
^^|donne^onyen,trüuve,lg calcul tjans.gbifieurs ouvrages, & entr’autres dans
l’H ydo^Bynamique^'de M. l’iAbbé .Boflût, où l’expérience marche prelque
;Rar-Eout, à JUfeuej de }a.théofie4r
^«S>-la-Parnpju&irivpte cfipjtycablie à unp hauteur ou à une profondeur difié-
rentfcdé gèlferà laqyi.ellp l-e-pQidsJ.j(|e l’^jr eft é<ialy|len.t à une çofonnp» d’eau
ib-faq^foit ^^ttg^nfoms^ou plus de ^ x pieds. Ce moins ou plus
meut fe^Mèrtgihénpgr le Baromptre,, enjcomptanjt autant de fois iÆ^ignes dd
^fejOU dft,mo|n§''ù'4 ’éMrdTdp 3a pieds ,,ÿme-jle mercureimarquera "de, lignes
âû^d^Tus. p m 5 ,M 0US ~^ei x7 pouces^ demi, ■'
Quelksqpe foiçnt la figure & les, dirqenfions du corps de Pompe, ainfi que
du tuyau d’a fo ira tiçn le pifton porte toujours le poids d’une colonne d’eau
de même bafe que lui, & qui a pour h,agteut, la diftance verticale du point
où l’q&.yigÿt élev/îj;\|!e^u,au. niveau de celle du réfervoir : ajoutant Usde pôitji
,eeLuj du pifton m êm e l a fomme fera la forcé que l’on doit appliquer au piß
‘tpn.^ans le fîmple état d’équilibre.
. Mais pour mettre la Machinp en mouvement, il faut augmenter cette forcé
<l’uq? Ççrïaine quantité, tjlnt poup,..produire, le mouvement , que,pput
monter la réfiftance des frottements & des autres obftacles qui peuvent naître de
1 imperfeétion de la Machine : ’on font que le pifton defcendant par fe pefàn-
teur, la isfcië tùàtrioeM’à , e^conféquènce, aucun effoft-à {outeriir pendant
ette partie’* du temps.