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pays être employé pour le s manches des forts marteaux: dans le Nord de laPro^
vînoe de BoûagieenSuede,-c eft le feulbois .qu’ils ayent - d e ^ p e ^ ^ ^ f ^
^EkrçrÉR.' An. Red cherry- Tree. G. Ro/iter K irfê^Æaurâ.
~S moyennement J u r & ||J z plein f f i le graîn un
peu .gros ^ & que fes couches concentriques foient fore apparentes ; fa cou»
leur eft d’un gris rougeâtre., plus foncé au coeur qu aux extrémités.
C harme .ordinaire des Jardins & des Bois. .An. The R om Heam. G,
jWichin-Muchen.
L e bois de cet arbre foretier eft b l a n c , compare, intraitable à la FepE,
A Je plus ,d«r djyous les bqÀ ,yp£5 le Buis, « L le Cormier, S,c . fon
. -IM ife nnuTle « f e î f y ^
quelques a u t r e s ^ ^ ç ^ S t r o n n a g e Cdansles endibifs oïi TOrme e l ^ ^ '& n
en fait d é s i ^ ’des m ^ b c s d’ouulsJ^rmiWaux^; du rJle^il n’c ftW p ro -v
p r 7 à % ^ ^ ^ à l’S ' i i y pourrit> 6 ans, &■ ■ S H l tourmenter.
Çhesne des Bois. A«. TheO'àfoÇf. Fich-Ètumi -
l l | ÿ E t arbre, généralement répandu dans les climats tempérés i j ^ ^ e pre-
mici rang parmi'les arbres loreftiers ; il^flrle r l u s ,m ^ r ^ p o u ^ l y r p e î f t e ^
pour lecharrônnage ; pour'des lattes , & temt^efî^ ^ ^ f a g g | . lp rilf a u td f t
la f o l i l h l ^ ^ ^ ^ c e l du volume" & d y f d u r ë il I [ i ‘i q u i p u
différence^§ire, félonie terreln'oéfarbrg^^pns f e ^ i j ^ eÆfep^ois efl
'meilleur, plus folide & terres, dures
-tes, qui ont du fond , & même dans la
Dans les tgrreins/ableüx, c rétacés.grave leux , bn il a eu"aiTe^e profondeur^
fon bois eft plustébnipafte Jfplus' dui pâmais & h r c t ’y deyient ni
iî gros, ni fi grand.
Dans les terres grafles & humides, il eft de belle venue ; mais c eft au dé»
* favantage- du bois'^qui ; étant trqjj tendre & efffant, n’a- pi' la, forçe^m ,1a ipli-
dite requife pour la Charpenterie. .
Sur la crête des montagnes, dans les terres maîgre$j;feches ou pierreufes^
fon Bois èft dur, pefant & eft excellent pour la- Charpente, & pour les ou?
.vrages greffiers. “ ■ .
Quelque efpece de. bois que l’on emploie en Charpenterie, il eft important
q'u’itaÉ étéf-coupé long-temps1 avant d'être mis en ceuvrei^-s’il eft vert, il efl)
fu je ta ïe g ê rc é r& à fe fendre. Le Chêne demande, plus que les autres,
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ET DE S E S MENE S . IL P a r t . % '
ü être employé bien fec Sifaifinr. ' i ) , pour l’em|f||ïé:r^de fe fendre , de
fe tourmenter & de fe décompefér, excepté lorfqu’on v&yfê, l’employer fous
terre ou dans l’eau, où cette préc aiïtion dei ient inutile. "
Si néanmoins on fe trouvoit forcé d’employer à l’air du bois vert, fans
avoir le temps de le faire faifonner , on peut y fuppléer en iaifant tramp?r%&,
Bois danVlJpu pendant (.uidSqiic/tiu ips. ( ’
C i mÿijpfonffiVas-n'fe'djys ^ | ‘^ro')!és,inonugnesIpprêsM
t ''C^ ‘v ® u-s ies ^ Sc ^njsgénéial S '& s i plein,,- ffi eft
nclnour fon|c\ccll}:mj|mi lud|,;li folidité , fi durée, le font
rechercher pour quantité d’ufages auxquels ces conditions font effentielles il
s en .trouve de rougeâtre, compacte, pelant & extrêmement dur ; en. vieilliirant,
il prend une couleur plus foncée , de même que celui Joint, 11 couleur eft blanc -
roux; il fe fend aifément, & a le défaut de fe piquer de vers en vieilliftànt»
Ce bois eft propre pour les fortes vis , pour les poulies, ir les fufe;
lps-iouetsv'^.lanternes,.d.ea ^ ^ mMfe^lApSiûiiihrs L^pr e j ^ Ht yom Lv'nurp’'
^ cs & d’afiutagej1 île ‘lei,EsJ[ôu?kfe:}conunc
quoiqu on puiftè employer la plus grande , partie des. branches , parce qu’il eft
Jàn y n b jë r; onpeuthen général y^fubftîn^. pou^Jes^pouhcs^'tpL^'l
«de noeuds ou Ioupes.d’arbres, qui font*, toujours ^res-duis &. tres-ferrt i, hrP
prenant garde ^cependant que q u e lq ij^ u n | foQt Ægets à feienclre^,
*, -ICÇR^u iL nER .p^N. Thi < fCorndicm\èhertÿ^ '^^^Shàeï^B^îtrèij f
I l y a deux ëfpeces deé^^taoujllier. ferrie fie ^ \pefits freft ts,
ainfi^nMn^ . d é fè^feraniLhçsl'gunfdiit or^ihaifeVncnc
rougeâtres, n f e f t S ^ b i e n moins"yolumineux que celui dont il va
être parlé : fon bois.ëft^Bl^ncT*^'
"■ fiâwge ,* eft cqnrmun d’in s^ ^ b àw i
Sc Ï Ï ||- % '^ a y e l ^ il s»|v&^qj&lqttefois jufqu’à' i^fSuf'ap p S ^ W e n t e r t
» donnant qu&lquë^jsl|i&t-iêltfci; d’iln^eml-pïbA'envirQn de- diaruetre.
tou]Èé excellêniês ^ualitéÿdu gormiè^; il fefpïkapffiVecher^
1 th é , s’ifa^oit ||ta n t^ y jp lh p ie : i l % ^ p a a ^ maffif,
d’un grain trè s ^ ft, & fansi 'aubier ; l l / f t excell^-g : fon^volôme ne perm
e ttan t pas dëÿ|êfoployer en grand autad^que' c e in t e Cormier, qu’il égale
pourtant à pjfti *|é’;cho»fe p r& 'fe ^ a lité . I
L e | f is,du ^ ornoïI^ ? P mâlë ef&-.(;rè|-gropreà la Çonftruébio^des échellefe,
I ’ ayanc P8® 3 af rès Is S on temps tCommc« 1 O A çn>maturité* \ conv< enabl,e avant d’être ôisarp loJy é 1,