
ïa4<s 'D U C: H A R B O g ^ D ' B T-È R R E
{ fa l même de les templcr d’eau m tiers ;>ce qui ne pourroit pas être
étoient de terrqr>à caeufot« ,p
X k i Charbon de têm ^ tomme w n è u pM t , -préptè- à d k à t^ r fify jfftfj#; :
0 it fm rnm u x À chaudière pour A m & Mamfdchere*.
Ixjdft, hian prouvé ’par ie fait , '.qu’âwc 'te- £»* 8 f
fendre k s métaux, jufqueudà même que iaéïivîÊé -dfe-fè
les d&Tirif. «Cln ne conteflera-,piasl% ^ doute^qui|^ it égale»®^ , (fefe
les confh-uétions partiou listes des fourneaux , } à«t50iré des- -teÉrêis, a PalrSier
des pierres, à fendre des feis, à faire:;èdniMkpîbtept:ement -les plus grandes
chaudières. :
Cette recmdbu&ion de fourneaux , »sériée félon les- différents ^ f e t s auxquels
m , voudrait appiqser le feu 4 6 ^08^.1®’;- ttf-'fté&ttt tffadflwAe |n d'expérience
pour conduire k feu , ne peuvent en ïién eor>tM)alâïicérdésavantages
d’un eombuftihle .auquel il ne manque» ^ucune *dds eonâitioWs ffequifes
pour remplacer le-bois avecfuecès : 10 fd5 rs & f^^ lp jx p g p ïq p rié s | cec
■irfàiTf» par leur conftïuâfen, font plus commodes, mpi^syèmlgryirants que
ceux dans ;lefquels on .brûle reffouv,^i|ntôtjpar' l/^|a|gne iiid ;
' l’enfretiea 4u feu yppii dédommagement marqué de la dépénfe * ptK
teconffru&iom -S:..'- «■!.-■ : ÿ
L’éconoffiûe , cet article de ùanfêquenGé , dans toute efpeéé-dj^Bliffe-
jnent, fe fiat fen tir du premier inftan t -quoP sap>p|ofifiorine 4e'-|||Sibon
de terre , a u lie u _du icombofiiWe oidintSf-e % dUe éfÈrifedSble par la
pnaa^àrai'fcin aHëa i faire , fbit de da «diflérence des frais,4 e maimd’oewté
néGe®ké-:pour préparer k-bois;, fe itakk^iffirèneodukesâ-pouf ferrer le
Charbon de .terre,, qui n’a- paS;.çbpfeip‘:||autafj|; d-efpace ; par lHBRinution
quL s’enfuit du kyer^des-m^afeis^^ntpnpdWPajte mémo-,'dans..dspen^N
peu éloignés de la mine , fe jpaflêr en fe pourvoyam^^^ffi^êptent f&M
mpJire aux entrepôts .de, mines ; enfin, au gain-fur kxnpitff?.djife airemenc
confidérable, dp.fiiné~ à l’achat dm bois» il efl-raiüoeinabled’ajouter |es.moindres
rifquer d’incendie. g
En fe retraçant à l’idée^ les variétés nembïeuf&s que l’onpeuÇïjjppercevoir
dans les Charbons de terre de- différents pays, les différents d^glés^tfi-ghaletii
dont les uns & les-autres font fufeeptibles au fe u , & qui à cet .égard, four-
niffentpeut-être plus de reilburce que les charbons de bois^ eu&^iappslbnt
la" m|mn variété remarquable dans les braifes qu’on peut en .préparer ; PS
entrevoit d’abord qu’il pourroit encore y avoir moins de difficulté, que f ° F |r e
boisjà'cbftû'ofcse jparru 'l^ e , la qualité -ou Sa quantité .canvEnaH&à
ou de- Charbon de-terre brut, ôu d u même réduit en 'braifes,, (po-ùr ;pf^tiire• &
pour entretenir la chaleur au degré capable d’exécuter les différentes operation
H
-C ï , . - W . V * XZS\,MIMES. $ Sfcft.: M*i
qu on ^e.prqp9.kroit-,^«is -eelles^ quémandent fe feu il plus vif H
q ^ .p l^ q q y em a n d ^ d a ekkur déplus » tW J § reconndlèM 'L un
W h W '-m^ttréSàfp^ift« fe feu de Charbon-de
W ^% u?- Selui'^ Ms 4^ ^ d n e r ;« * é . lW e t rde^fonrr& des fourneau
darjs lefquefsi, on îembrafe 'ce j&ffîfe.
aUcujf^desî ob jeélions que Ton
detèombuftibleidansfldStëratids-htte-
flWtonuifiK-tatfinuMles àffiéuMés pe^rîetites & b e lle s , iqde
^ g m f e ^ r e ,tbus ou mné « S f e n ê é
mal-ent.endiifi, .quand ^ a ^ ç -fd çS plus, degeÉds îairiélicîaliomÊ m ÉlMffôpfe
^ F ^ ^ l g ^ a u t o ^ ^ n ^ e ^ fe ifeb itu d e :; h é m ^ c ht : ces
f f . d ORpoheian,, .fondés utdqubn^tuÆr un .mstïqne d f e ^ ë ld o h ,, né
r| ^ w é3^ 5 ^ s40s'bonime-s';fauïds 4 k raifam • i
r, ^ ,tk S k &k lpr-d%fe,aè canfidéfér | | j j f e é J B f k
un prk-nïédfoèrej& ràpfe^ée 4tS>:-Manufaé-
te e s - . c e l k s ^ Æ .trouvent da^Gâet^a&io^'fjîfofft c b f e ‘qui r
k,#plus..
^ ^ r ^ i f e m e m foGGeffif du -cfeminorGe ûdferietrr «de l^gfetêr'te-dans fes
ty fÊ jffî* î%£oQt®0nales «- «V -dîaûtee: fo%iteiqtteîees ideux ‘dîrcéttiftaricés *
^ i ^ s Manufedfores-auxquelles iefooti-tercfaé <& i%tetîdanôB d ü 'W fe ô k
fiÇg? Ajà.Wewvaftk , ont donné mttÊiéé / fe
4^ r n * Vtyqufea Emnck, k Eorez
Jfi^ouAornmis * : d’àutms Êrowncés, »tirent les plus graMs’ -avant
tQSB È r2yÉ# ionv%nous, ayons fait comncître d'dhijue m & m k y h iê
s’çn trouve, fotten pays édraqger, foit dans l’étendue d u ^ u t n è , l e s ïw l '
« u l i q r a , auxquels on % püqu'e. ,Wous moui prcpofonS iM'-dè V éà d te
w m g M
^W '^ ^ S ^ w a J w f t iM e , & ÈiSux auxquelsm M im m ë m * M â m * .
,foâ. iafag^ ' ; f
^ éclaircirons ep. même -temps la pratique de quolqæs ^ uns de ces
-&«s, auxquels le Gbatfeon de terre ,-èft cqnnu nvantSgtux.
| U | H | I bornerons à renfermer lm doe que rküfe ffuivrôte , dans la
dvifion .générale de fo u rs &. defaitr.namx à diou'M m (a) ; feeuS -foirons
par-.le'chauffage. .
7b,> j , >;UJUCme r-artie des injtruiïion
parM. Venet , ï o b î e ^ i
oui M i lfes ô p S m io n s des différents
21 r“" “ J™ des chaudières fix a oüpU ■ ^Mmeauxj.crJaU M M .
** ^ tW)S 1® Objets dans les jplus g ra n d
ta n s • & le s a a c c om p a g n é d e s p rin c ip e s fbnèi
damentaux de KArohitçâtirb de ces fours; Cï. jfel
PaSc 14°- Ces développements «oient nécefiai-
res dans un Ouvrage entrepris par M. Venel,
qui avoic pour b u t, de faire adopter d a n s le
Languedocl’ufage du feu de Houille aufli univer-
fellement qu’il elf podibie.