
, terre, ErdJECohms. V. cet «/tam pour la pag. 3,8 6.
aBSajj^fa ligne n , ç l u t :te ,-.&c. après l’indication de la ■
pag, ^^ij^ /ow^Ç^jE^B.AKTiiici.RLiiB. cmi|jgoit B
ïÈtes^propre po^iles^cnauÔréttes , Ÿ.vage 1584 ,
■ :3^S|eacM
•• 5-411, ^ ie 57- Avant,.£/£«* , on a' pjabliç Eftablir
.... auquëri^r^Jit .rapportai; le mot Stalire.
1414 i ligne iO j Fàillei -Il eft inconteftable-, dumbins
quant an plus .grand -nombre , que les failles fonjf
■ _ plus anciennes que les veines de Houille ; ce font
. dgs {quartiers de roc^ détachés .des montagnes d’a-
lentour qui (é font porté dans les veines encore
tendres ; cette hypôthefe èft<jpcbn^ftablemen.t,çon-
^mée aans^f’QuŸrage de M. Delius : De COri-
gine des Montagnes. De là les variations des veines
de Hou îles , & plufieurs autres phénomènes
' a qui s’expliquent très-umplefofent d’api&R ces..prin-
cipes, en fuppo^ntjquè^tous qes:changemen,ts'/bnt
arrivés dans, les Mines avant qu/’unè- partie des
yeines ait été péné.t,rée des iucs bitumineux , &
É . changée par-là en - Charbon, »de pierre ; il faut
.«dire cêgeîïdait q u j|vp^à des failles* <£n .le font
jnanifeftement forçïées üaijs^îes cavernes de la
Mine.‘dë. Rouillé ,-.tellêsT fèiit,. par exemple, ces
faciles qui font de Ja nature dé,l’ardoifév E , N.
Page 1413 -^ournéau-de l'alambic de la grande machine à
’ ..vapeur, ligne 4P ,'iMqntrglqis, & pieds cubes pour
la petite. Après Montrelais , Hfe\ j.c p r deux
i à i*nôfob|fesi. étant à peu-ptès. dans le rapport, des
;ï.% forfaces des deux piftons qui font-,,\Lîun de, &c,.
1435 ^^Êfolte-Koblen. ' M. Bertrand penfo qu’il foroit
plus exaét > &
y | ;qu’onwpeut les.regarder matière moyenne entre la
vraie Houille & Te bois ordinaire, E. N. J’ai fait
la'naême^dbfe^adq^^agr» ^
.1438. ligne 11.Indicedu;Gharbop»de terre, & les mêmes
que ceux, qui décelent les. métaux, félon JVI. lier -
. trand, DïSion. des FoJfîles'.Jf oyez robfèrvation
.r ajoutée dans cet errata pour page ^ 9 , ligne 31.
1448 , ligne 13. Krouffé. On pourrôit les nommèr en
AQemand Ueberlagen, mais. l’Ouvrier jconfond
prefque -toujours les. termes. M'. Schreber remarque
'que les Mineurs |oOTgers fbnt des diftinétions
| jm plusjfubdles que les Allemands-, & exprimenhÉinfi
. uu..plus. grand nombre d’idées. E. N. .
348a ^EnjaLminérale des elp'ec^«.de^Charbon. de terre.
Le'BitMne-.eft le-; genre, & le Charbon de terre
l’efpecç. Xoîci comment on peut cfoffifier-lé&dîffé-
. rentes fortes des bitume. 1 i;-le N aphte I&ï Bbrg
b a ls am eft le plus liquide*; agjg le Pétrole. &,
Berg Rot.- Su.-Çerg^ oxb^ , plus épais;- 3%
la Malthe. G:v Bérg teheer. Su. Berg-tiara , êït moMe 5 ^ , VSéJpXitke ïadittffyïyYLdmpelite
eft allez pure ; 6°, le Lithantrax eft fiftile ,
7 ° , le Jayet eft très-dur; Ë , N. '«
1493-, ligne i'p , ajoute\ on prétend encore que la
. qualité. deS; -vemes eft auffi différente félon leur
direction vers les différents points • de M’Korîfon.
‘page 483. Dans la Mine de Manffon en
Angleterre , près de.Loeds , on^trouye.que;le
'* •-.•{. vers, le Nord eft de moindre qua-
. lité qUe celùi qui eft du 'côté du Sud. • .
, . d la lettre .Q-, ajoutej Quipeteure. Voyez
f Piterçare.
i y n , ligne 34. Scbi£&r;$tein. E«a diftinâion que
'v nous avons donné de. cette ardoîfé avec le Lapis
fijfiüs^ page 11.8 , n’eft .pas. adoptée par lés Ëdir
teurs de Neufchatel. -
Page ijz o . Stollen. ce^ mot employé: dans la defoription de
- l’exploitation des Mines de Hohz-Kohlen, du comté
. de Naftàu, page 10 1 ligne 1.7 , & traduit dans la
note , Folié ou ' menée fouterraiue, ne délîgne que
• lès jçaleriés ou conduits fouterrâini', & non- les
■ ,/oJjes ou puits, de Mines , qui s’appellent en Allemand
R oeschTen. E. N. .
Dans l’article dé l ’Eftcyclopédie, où il eft mention de cette
Mine au mot Charbon fojjile, il eft dit qu’en creufont>en pror
fondeur, on y rencontre du Charbon dè terre : lorfque j’ai pu-
Mîèla'defcriptiori détaillée de cette Mme,. je n’ai pas eu d’égard
- à l’addition de M. le Baron d’Olback,.la.fuite des’couches qui
/nl’aypiîffété envoyée par M. Allaman n’en préféntant aucun
échantillon., Depuis ce tems, Mi Sage;-, dé l’Académie1 des
Sciences , m’en a fait voir , & m’en a procuré pour tax.-fcoi*
ie'ffiôni*:' -
Page x ji9 , ligne 69,, ajouter Stein ICohlen geliirg. Voy.
; " cette Table d*Additions pour 1zpage >43.
* Ibid.- Stalire-, life^ Efiablire ; tfeï .arüde^eft par
- ■ çonfequent à reporter à la lettre E de la Table
'^des matierësè
'ïip-iH'ligçÇ'ZZ i^capiçltg^ 5^ , " teqaçité. ^
Hgne sTeçrqule a'rth&cielle.^^’ëz ’
„ pa8e 1 f ® ¥ I Ï X ,
;. îbid. s ligne \o , terre .-Id'ombre- Ç|.,||i^^RiBRDE ,
terre, fort légère qui-s’enflamme - au .feu. tant, ioit
■ , >peu., & qui, à cet, égard., eft congenere avçc les
v-, . terres bitumineufes.. Mte ç^pand- unefoâeu r "forte,
& devient blanche ..après avoir été calcinée à un
feu violent. On en\trquye.l\eq Jtàli^,^my;éft-^’un
.... ; içlair ; celle dé ;Sa!llè|g,,.en, Suede: eft de la
même „couleur. Celle ; ^ .Cologne eft, d’un brun
’ foncé. Voyez. LiBAÿiùs.^ùgi^., P.arj,x I I I , page
1030. , jDitfl. des FoJJiles , au mot
, pm3/-e. E , . N . ...
i i ^33,. .Tôufbg. G.jÂft/èn Porf. T orferde. Aflèmbla-
ge. '.^ \d ^ q rfe§ ..p laH jp sJ^ a ^ ^ ^ i^ ^Q n ^ altérées;
on. p p u rro ità quelques égards , “ran ^ r la,
II' tourbe parmi les fubftances bitumineufés, eh yertu
- de la fp llté avec ; laquelle elle ;s’enftami%ë ; mais
^ ^ e - .jjS ê te .d è s , - f o n lieu
• natal ; elle fe tire des marais, au lieu que les
’ ICh^bons;de . terre :fo trouvent .par peines ou par 3es % la-Contexture filamen-
- .vteufe_des 'Tourbes,fort, encore à les. diftinguer du
’ Charbon qui eft compaft.e , par feuilles. E . N.
t> • J^ot«aa?qj\^gmrle-;pafrage' de Libavius appliqué au Charbon
de terre page a $ ,, j l faut rapporter, t^ t ^ it ..artiofe^à Ih ToùiÉS-
b e , & lire, que le foLdo^ti,les anciens ^ela^,dg|s feifoient
commerce aye^le^ipagnol^, étoit/évapgr^au^^^tougbe.
i V -;* 5 4 S . ^ 4^ & Bqutteu,,Ayè^nW^th & .Bolton.: j
; § ÆpJP&ûWk - • fj
Page J f6 i i jBïjëfétiéjs. Ajoute^ 'dans | le Mâconnois.Re-
"• /i "P' lativement a la. foüiper^ ^ ^ n a të a ud^^^^^ à ^unje
— 'nej^ Oaittk-^ e^^^feajRqu^ne. f Des
«,L„ :^çlan^|i©p^ quej’aL'Mçi^deçuw^n’armon^nt^q's
- - . * j cunemênt du ^ïâ0pn^dé;-teAe.
i,$6z , ligne- 48. 4-zz fofTes ouv. puits de Mine. I.
Nota, que dans l’état qui précédé ,il n’eft. mention que des
.principales fofîés , & que plufieurs autres citées dans le corps .
de l’Ouvrage ne font point de cette récapitulation.
.• Voy ez ce t er r a ta pou r la page 8 od,
, 158» folonne à gaùçjmj^igm^ J-, ajoute^,U'frthqüe
'encore, à . cetteifigurep Un Jrait feponCTué de -Z? à
. Page 1588 IJigne A ^ & dê*S:i£tienne enfore^Vil m’a été'
dit que celui de cette Frovince étoit, tiré^du bois
.. dïAveize, fur S. Jean.de B.onnefohd, Hèt quaTaSfoit
été prépafé près du- bois d’Aveize.
Page 1888 , ligne $ 5;, Mine'.de fer limoneufé ou Tuf ferrugineux.
Minera ferri lacujlrii &palujlris. Tophus
7fefomx-JBértranft.'.G.-.Sec^ytz.^Sump Fertz. Les
Mines de fer dè~M'ontbar<Lfont dé trois e^jeces , à
en juger par les échantillons |p t ïë ^dÿèntv dans le
cabinet'de M. Sage une cryftallifée e n ^ ^ ^ . -
mêléd'av.ec la -pyrite martiale, r-efTemblante à la
Mineide fer hépatique de^^».érje j^dan/Jaquelle bn
• trouve de l’or natif; une en pe^^s^^^les^unsij.-'
dans une argille jaunâtre ; une terreufé en globules
-Le punâtres , fomblable^dilà^J^ine de fer &Benri.
Page, j 600 -, TRbleau .pout'Ja .première, gueulé. iBoi^pMti-
' ailier, I J 3 . j ÿ h . ' t ï :
Poids général, 5837, /«yê^
Poids total, 7657 , Hft\ 7787.
~ %e- ligne {dp la démarque. z6t y ~ -,
Idem y 153 , life\ 163.
Idem, 3 5 > » ,^ î î f i .
3e ligne, «total- 6 14,. lijï% ,$ 84.
Idem y poids général, 7pz.i 1-ï
4e ligne, chaque charge du poids de 670, life\ 584.
Même page pour la.foçondg gueulé, _ '
Poids général dé la 5e charge, yp? , £^.5:73, -üv‘
Total de la,8e , Z380 , UÈXj.Wi-
Total de la ia^, |H
. En.terminant cet Ouvrage, ' rois, devoir avertir que,,
malgré les.précautions-'-que j’ai .prifos;, des choïès'nouvelles
for-venues dans le fait de robje^flui^in’a^opcupé | le long
temps qui .s’eft .écoiilé entre la ;publidaûon' de là première
Partie & l’époque pù'jje térntine’enfin êét Ouvrage - çghflaér
rable, doive'nt nécefTairementavoir influé forjà maniere dont
les mêmes, objets peuvent être traités dans cette première Partie,
& dans les-foivantes ; ç’eftle’(orf . de tou.tes Jes foiences
qui, comme- celle dé la Minéralogie, fé perfeétionnent pajr
l’ufiige ; -dé nouveaux faits,. 4 ne'- nouvéllè maniéré de voir ,
des opérations früéhieufes.rdes découvertes inattendues ; tout
cela change en un'très-xoûït' elpace dé temps la foience elle-
même , à peu-près comme. lés''réyolûtiqns univecfolles changent
infènfîblemeni la forfaçe du globe lui-même*
AVI S I N T JE R ES S A NT
qui peuvent hncerner les uns ou les .wtres .s & qh’iIs. peuvent Jh-procure?^-
parement|
àitreptenafté.ce,.tpJvfl;iaf|ip tri,;iff'qA-t-1<.fv 4 .
teftfscç, ^ dfe;
pôt g é n ^ ^M % q iM eon%gaaUer à à défîrer
touchan|rl’Biftoire phyfique, rex.traâion, le çqtHOierce Sc les J^igfsrc^jeâiïgflUe v il a
été indifp.enfaWe de le confidérer fous ces différents points de vu e , dans trois principaux
Pays. Malgré l’étendue, que çofflpoite le. fujet traité en gFand dérail comme-;objet d’Hif-
toife naturefe^ §*>^vkfe?s« <.ÿ.e*-uf.9mï1??J‘Ge & de ndeeflité , ojto'ÎJefti ap.pjiqué'^1 diftabuàK
1 Ouvrage dans un i'J^ q u y .rdppj],d a l’intention que KAc^eJéfîiièiâ eii en entreprenant la
defeription des Arts & Métiers, de <i^«ArC h s<iïsjfa ià téld ï fe p - curer les :Traité,
devoir'indiquer par cet avis a ceux de nos Lefiteurs qui pourroient ne is’occuper des
Mines^ de Charbon que fous un feul rapport, les différentes parties de TOuvrage qu’ils
peuvent fe procurer féparément.
• L - première publiée en i 7dS eft l’Hiftoire phyfique, tant du Charbon de terre q.ue de
fes Mines, o u , fi Ton v eu t, la connoiffance.de la f,ihfl.-mee rouoeira-au^ op^-atioiiS ,ukA
iién;rès. de l’exploitation & des divers ufage s , c c fte^ a i rie eft principalement du reffort d?»
^ 1 çur«,-i à faet^g- pL J? l’C J j f ^ l ^ '
Lk fécondé Partie , compofée, d’une prem re & d’une fécondé Seaion publiées en,
Ü 7 7 3 , f“ Gonnoître la pratique de l’exploitation , les ufages & le commerce du Charbon
de terre au pays Je Liege & en Angleterre ; elle peut regarder les P r o p m é t u r .e s d e
t e r r e in s A C h a r b o n commepremieis intérelTés à avoir des notions fur les moyens pratiqués
pour mettre en valeur une production de leur fol ; mais les M a ît r é s - o o v r ie r s , &
ceux ï ui & chargeroient d’entreprendre d< ce jkploSfa'tioni., '& qui doivent être jaloux
de réuffir, s’inftruiront.à fonds dans ces deux Seftions fur la it de conduire en grand les
fo.ui|lles,& les travaux fouterrains.
La tro ifie^ ^ Ê h o n J ÿ e cette fecoftje P& ue, -piblide efl 1774.3 p & i { & nrêms^
tableau pour la France feulement ; les différentes provinces du Royaume qui poffedent des
Mines de Charbon de terre ( &' elles font norribreufe ) j font paffées en revue dan J
cette SeSion : on y donne la eonnoiffance de -î^-jpiamme d o n t^ ^ ^ ïm iq rC e s .M in e s ; J
^lI 'Pr'x ^ qualité du Charbon qu elles • fourniflent ; du négoce '1^^ 'en fak.. :
dan| quelques Provinces ; la marche de. ce commerce dans Paris v eft configure dans tou-
tes fes parties, pour aider à en prendre une idée, àc'ëclairer en meme tems, fur le monopole
ouverte, & cachée. L homme d’Etat, curieux de porter fes regards fur les nouvelles fourcéé
l» dclcopaonde,l Art du Charbonnier de boisylapremière quia paru. i & infère p têtè âê