
T J B L E M i S • • • 1 ■
Charbon de terre.. 1137. Proced^ p.gngue- en
B BM M U pjdr v OJ ai Jii'une, LrrÆuoë
ejia M&te « M é , 114 J l iJTplojt-^ <• >
-iuifc d’huile pour éclairer. ^ 7 t. , ibid.
.'■' *>jT;
Hûmdtté .des fcuterratns,de'JVlm’es. Sflgz.V^-
ïqiiu- )'■ , ' *■" «ft
Humieres. L e. Ufùfruit-.. < t . 3J9-,
Humus nigra
'. llmphr P \ « ' \ m\uz P"ttc%
Huni.rfi. w f â t â g # : ■ 'M Ê Ë Ê jÜ f e :
Hundred. Quintal d’Angleterre , du poids de
[Il S livres. " 4 33. Voy. Quintal.
'Hfirisd?!. rre , t Conduire le u r r e n ) ® r
de M pierre.
2oI.
. ; n.rtUr. J ..T. Maître ^
tage -où fbmehfioh'G&zun bure. 3 2 1. -^ut^e hgmfi-
tutiîp idn&®nurHÿ-.“'W. üùURj-ÿjjftj.4
^ . y ; ; ACyg de l’Hurtier. jà a .j SasX döic, .Idem.
. , ■ { , 323-
Hutband.. A.N. Econome. Régiffeur.
Hu.-,-« f labane en planches’, en clayonnage ,
élevée au-deiïous .de l'oeil du Bure & du Tourniquet.
2 1 2 , .234. Toujours en clayonnage Sc charpente
legere <rouverte de paille, depuis la charpente
jurqu’àu pas du cheval ; pour les Bures a
bras ; jamais de Hutte. Hutte $ Airage , Baraque
A. 1 ifiw-ntion -doM. l.ic-v.ld. ÿ C ^ v o ^
p | g | | ' - f i •-
» Mutton
Hydraulique. Science du mouvement des eaux,
'dan une direftion ou perpendiculaire, ou oblique ;
ce qui d .n le la divifion de 1 hydraulique , en
deux parties , 1° , la fcience' de l’écoulement de
l’eau renfermée dans des v ifes ou tubes de différentes
for mes, &'de différentes ouvertures ; 2 °,
s loix du mùuvèment des fluides dai s les car.
naux. ioio.Mach nés hydrauliques. M. 23 S.Roues
hydrauliques. Voyez -Rouer- i j '
s Hydro-l dynamique. Selon Daniel Bernoulli, eu
Iâ fcîent e du mouvement & de l'équilibre des eaux,
c’eft-à-dire l’Hydraulique & l’Hydroft « lujr
_ Les machines mues par un courant d’eau, apporté
ibit'p'ar ;uner-1:ivie'^,^^gaj: ^îiwruilli. 11’ , 1^101-
venc leur force motrice> Tde l’impulfion de cet
a^ent, .par fon poids ou par fon. choc fur les aur
bes, en-delTus ou en-deffaus. La partie eflênnélle
de L’Hydro-Dynamique confide dans 1.1 meilleure
maniéré-d'employer la force de 1 eau comme prm7
eine, njôteur..;. 1,033^ Confidérations. nétÿOjhreii
B M f e W g ü B l pitisJb.adS^^Â;
de perfeétion. lin'd. Voyez Auibes. La folution des
Problèmes d’Hydro-Dynamique ; ne peut _ gueres
' comporter une certaine précifion , pourquoi ? Ulfd.
Il eft peut-être rnipôfiiblf dp réfoudre}mathéma-
tiquement la plupart d’entr’eux, l'expérience feule
peut fuppléer aux fecours impuiflants qu’offre Ja
Géometoe-podrperfiaiôdné^&yüro-Dynamique.
Voyez Aile. mÊM ' . ‘
Hydro-Statique. Partie de la M'Iehanique - qui
, s’occupe des recherches néceffaires pour déter-
miner le s^ Ä t lp p S ^ f^ / ib r e entre les Guides
' H 4'
Z Hypothénufe. Càié ,<1» trfongge^OTpfés àd]afigle
droit. 804. Le premier problème de Weidler eft
. etrom/er >e d.t iV I ’^ .l^ 'a r s un'lrl ,r g \ * n -
tangle dont on col n t II ypotl. en i/e ; le fécond problème
eft faire des tables avec lefqueücs , fans;
beaucoup de calcul, on parvient à connaître le côté
& la .bafe dans un trïanglt-reÜangle, dont on colt-
nok Vhypothénufe 1 & L’angle adjacent. Le Problème
1] , III U IV de la Clé JJ
de M d- J ju ifar 11c 1 lqsi',‘j.ie,a‘dk»aa v ht p l 1^
nufes. . in
Hypochondrie. Mélancolie. Voyez Mélancolie.
m
I
• r a ph 1 e . Plan géométral. 81 8. Maniéré
d’y fuppléer par un tableau ou -une deferip--
tion ichnographique , - fait furies lieux. Idem. Le
Problème V I de M. Weidler eft /aire Z’icÿha-
ÿraÿKë des galeries dans' lefquelies on a employé
la boujfole. Le Problème VII eft faire le plan des
Mines de fer. J*
■ îeon. Helineàtip iconicaf Monoehroma. Monograrrima.
Mônograrrilntl Orthographie. Voyez Profil.
Ignition du Charbon de rerre , observée dans fa
marche & fa progrelïion, fait connoître la ffruc-
ture de ce foflile. . ■ J 3 <?.
" Ima. W'tzdret. Su. VèntzÆri Vapeur., Jilalaifou
de M i i ie s .M S ^ ^ .
- &* pwiZcgeJ.accQuidés
par les .Rois!, à ceux qui s’occupent des travaux
|Edit^Ôejy|'de, Charles; 1 3 ,
ratifié par Lettres du mois de Février 1483 : les
Lettres de Henry 3 dû |>,'ÿ „Odobre^ 1 j'y 2 , en fa-
veùr d-u fieur Roberval, en - refi-ràignant au nombre
de vingt Alfociés & Ouvriers-, fujets dù 9
butfe. les Etrangers > l a : ^ ^ ^ ^ ^ ^ i i e e s iimpiù-
nités , les fp_écifiént-dans le~plus' grand1 détail : Sa
Ma j efté entend que ces Ouvriers foient quittes &
-affranchis , leurs perfonnes & leurs biens , de tou-
têsï'^^fcs'lfciltensj Grèves:, p àfelfs ^ fltejps; Se
Àydes
, Pprtes, ,
■que des autres, viyfési & chofes néeeffa>iresvpour
eux, & auffi de Garnifoms, Logis ^ co n trib u tions
de gens de guerre, & de toute fervitude &
fer vice de guerre, généralement de toutes impo-
fitions & fubfides quelconques, mife,s;'©yù. à mettre
& pour quelque pccafion que ce foit, en to.us pays
polledés, ou à^poffeder par le Roi j tant :ië|à
que de’là les monts, fans que ledit fieur Roberval
:puÉfën|: Ifirêieontraiinits au contraire en- quelque
maniéré que - çe^'fpit. Afin de donner au'fieur Ros
bervai plus de facilité de trouver le’ \nqim,bre
d’Ouvriers. qui lui fera .-.u-éceffairê pour le travail
, des' |
outre"le§jpurrif#i au • pfix^coùfant*'^ ^ ^ orli
^ônné leur être payées ; il eft déclaré que tous
ceux qui travailleront effectivement-auxdites Mil
n^sj^ffiflS^fous. -.memes. ..réfeÆvés: :^^^kiêmes
ment les Pqy|ièrs;ït^y|l|tânic^aùx?l^ ,
^d’exemptions de Tailles , de Colleéte ,
Curatelle, de Logement de guerre ÿ -de cSubven-
tiqns,;&Jgëhëralément’,de/toüt^autreJçj|arge publique
, mpme de IVJilice.' ^..
Impaftation, ou apprêt du Çhàwôn ^0 terre avec
des Atgïlles. Différentes •pr.op.ortions dé:terres ar-
-gilleufes obfervées en plufienrs Pays, fuivant la
, .hatqre ;d^é Çfiarl^ons>.i 2,83. Dans cetçe^prépara-
' i.tjo n^^q^/|es ■ Houilles grafles deLiege, la quant
it é d5un cinqmômex de terre glaife réputée
trop forte .& les gâte. Il n’én, faut- topt^au plus
s|u?un vingtiemç h Sc pênie:encore;poins >.Æ 1©
Charbon
■ D É S M J
Æharban eft }Te o u t >fâsSénJ'i/auc.que
J ce qmL^.e'J'. _n f}CùJi .jjjs-’n >iH,.F.ni,iiiiteqiqrl4 ,«ebh«b.OQ
un h clÙ V ^ J .'C h rTTfilc 1 un»
,'b.)ri n; iig •!(JiJr 1,1 ir ÿÆfL.'l* nKITwna.’mc
c’eft pour
In’cii.sra illc-îinjrHil.rPvl.^lqnrnunycin'F'.p yilïSphu'tr
^edaus. lu. .,p ’ ’n; a f fdbrïcàtioho'-
Ep^I/r, / ' W . iu Charbon de Moulins. y 81
Impo Li ttres dfflKüHlciiRV
'du io Oâobre iyya , il eft défendu expref-
BHcmeht.ai tou&^fflÿs^gu rturcwi^'ïil upn'Suîihlrâl,
ques les Villes & Villages pr î^jâewl'eux.>u
3 o l|bhfjnil- dll', ^liiic jSßi i Jfthauj'ivnr
tic ^üi ùh s11- L. Bù" ïîmli-fit
E S b--.,’ bo.)t-î’,q 'tjÏÏqérJVj^^Mn'. , O-huJbß
jp-i'U toulic'è^a.ijiji^ & autre, d.s eiïcY Lnhl_s\:‘
ÿ Â t u res 1 Jjje .-letc mmejt: n.s.ij^KsSJ'ä
ln ! y-iuf;'q.i‘ni, dr^ L r isContefter- l’ux .xr-dc i
^u Dépendement. . ...
Impulfion. Mouvement de vibration ifochr.me
mmppiii'.-^u^pC^nrtfL.r‘d^,l!iutHÏiS!lStpift<>.n I
ßcL®el^^^S^Q8ns, le-ba^^fetediéla; rHarhînp
a vapeurs. 1080, 1081. La m.i.hnr; qui£cpui(e
Bbs.^u-xglMil Mine-^de 'Mpjjtrelq^ido'mWjrai^ini-
Kuto. n u u levée- u’cîliqiic
^é,cmc( .piedsfaBaB iM ii’le moqvemedt ,3Mijftöb,
& . 1 J c;l$uT|jîd end i f 5 pi 1 ,v}iic -^ùf-lc
jb »^p y ric î.du H kai r;,Jh jIqstmenaque: ie
maWÆiprjBM^hÿpitf
R-Vaftf e rioiiji de pSmpes , dont h^ranmetiV eft
^ plupardi^iyftoi^Se d im , ^Ti-jljf levée-
fix pieds , ce qui p_rnd iTtlpPi k I ) m > J i}^4o\p^cd>
Ellmtra!!. ippr i c -nttn- inmem (Tuq^di’-
minution relative à la marche de la machine qui
jn, ' pj. («jïSSâftéfl-ç rcTiJiSEiSi
^lôygiîir.rt i .
Impur. ( Charbon de terre 1>G. Keiffe Stein
^ ô jç c n jj.;
[ Ih.xpiuc'l i Pjropttétaires des Mint , pour faire
eVal j r. le, .M .il. 3 ^idityltfue "nftinquc* ae-fàcuïce
nu GiKinTfi'lIin_ecs(. tn^ ldgcc put les Hl.'Il-
qtn.e'nV'ae I7 1 ™ c0mq?ur5aui'le d 1 cnueuh(e.i&;
au Inrxdx-: d ,j r„\-aiix fqulerraindl' 61-2. Devenue
.la baie dcsA^qçc Ilm
eft le point où
.l’on li.ppôfe'’que*fijmli^ûii«iKivop*He UimîercMîjt
Ain verre , ou fur un miroir. Axe {'incidence. Ligue ‘
qui tombe perpendiculairement fi-tsune furface.
Inclinaifon. Les Mqtbematimejis .fdqt.i trèdllo^p’
ventiuLge de kâiîsiiSîlÿ t(3Sa*!lP. J appro' irqation
ou la tendance de deux lignes , l’une vers l’autre,
àe manièM MiMMaflènt un
fnçlinaifon. En Gn^nmiuh pour les’méridiens-, eft
l ’^nïle que fait avec le méridien la ligne horaire
du globe, qui eftl.perpeM|ülaire au plan- dfifa^
Wran’; lafq’flhLb’agit^^ffljmèlinail m d’un plan-tié.
Bcqaef.mî-yeut traeepf^^Kïrÿh, ral'asj^jfdéfiAt’
jpe teru^, l’ar^d’u^dercle-eeltical .compris entre
fee p\'is&;.6f\uj1s4B',l’l}^ (p iifc>q'iels.il eft .pei-
pendiculaire.
p a ift^ ^m n id e .V o y S fâ t g k ,':
Inclinaifon des Ptsints de Charbon, en général 'dans
Se pays de. Liége.^a^^N'q ^ l i terQns ici , en
I^Kjrje de té/roif fàfiMém.
« 4 de fes Voyages Métallurgiques. Lorqu’il n’y > a
po "t de fei. e dqns L urrtitafi’ug>e Mme .itoute !
Bfouche d|5O ïô ^ o ^ l | p |M ^ fE ,.furface.de. la
T I E R E S.z. 1437
; sä]i ^ id l , .^‘èriîoô'gêf dtKêôté dü Nôfdj èt
Vya.')uf 'une certaine profondeur , eh -formant
un plan incliné , elle devient en&Sj|tj||^ôrifan»
^ ^ ^ ® ? % ‘te®é.teïtain» diflancèlpbùpi fejnontet
par: ua;iÉi^ y g i ^ j fejii&
la tetrqV‘84 eela iÉns* dd éloi-
ignernent de fon autre foîne s proportionné à fon
inclinaifon & à - fa profondeur.
■ Le même Académicien a vérifié cette obfehvation
préside s^iàjHÉdet lieue «afi<®otPiS^
^ sÿ ïa 'p rëÀ rd
|râlftî0ï î® ^ !PW une anftnifé
fe’*éüirt' igd même
OfiSfer ^|y|^!^^@^enif^voi8^«iîîau,foiÂj^
-endroits où elle vient fottir à la furface de la terrât
diJ^^MM,s^nÈfïenrfes.Âiivenifeéêê^Ânlematôhi^
| ^ ^ » ^ ^ ^ ^ & a U 1étendift^i^^^Ô|ieh3 n
|^és.if^oh.iid§ies,feiifibles. sljJ^;dx"emplfi.J ■ en
IgjUtaj^ÿes Mines d'^Vëyll^Ts} ^él}^ifi$*.ûn-pë'il|plus
au Nord-Oueft de Liege que celles de S. Gilles ,
1 Ai-^Jx&liayqbfbr.v^hqüe des V^)u|>k’|s^chrtgéndVde
l’Eft à l’Oueft font inclinées du côté du Midi ,
ta idiéjqiiùL' K iL b 1
oàr lïr 'q^d i{^ .n^ ^ sft.iiJi ^ itdijoYç di Nj d j
d’esp-n^^Kî.pitu v é /■ ! tous -les Houilleur, de
sfec-é-. Xû=îd1& llJmîiSU’au ijcndfoll^iin csploi-
^pffides^mêm^joquches .sfOTmäut' fSm^Sl.ÿienc
d’être dit , deux plans inclinés ; mais il remarque -
quentre S. Gilles & le Verbois , il y a un vallon
qui a la même direâion que les couches, & même
lwilinail()uy5 _^™^ue'ixôtGht>1i
t. ,;NCanmoms lobfervariqùides addux^^riiî'lihtlfj.
nés, qui efl: vraie pour les endroits dont il vient
Weqre’ .parlé'1 i.ne - peüpi êtj^*faicêjtt a#to dt ; ih\m n e
.dps;pportesi;de'liqt\lilîé^''par:exemple, Oa^iNbr'd &
la Meufe^ilËéxBl'eitèfciles rnêmesà.ôoueJi&.Ââiais 1
inférieures ; elles prennent leur inclinaifon du
;};ç!o_u.s'i'la -îVjlJe 'S-fen .fe .rapproidtant
-de -dsd .riviere^^^^w|^|m^c;conGlure|qaqlii'jefi:
très-douteux que dans cet endroit elles fe relevent
JpqürA'IJär ai%{OT: celaineftipasunême-prohahle ,
ïnais plutôt de Bahnte côte de lal^Meffilpte qui
5lj(8|oî^;r@ÿVra^pS^gï y “l
..rlacUnâiConqdêSi.VêrqesîdeÿËhafbop’^dû-ilEyo'fft
■nt 1 70} il)u Eoo.
Maniéré dont les Ouvriers de Itljnei ‘.jü/unq A:
défignent, par les fi^®s-ÿl^^^ifd»de&fcïhess
ffîfaypztypines du ou du-.Lesjnî) Veines du
■foir ou du*.Couchant. ' r
On doit avoir toujours préfent à l’idée que là
dans ’ l.itjne^ÆinjtfinBil^ Vque
îlq.' m mt...;nus hal\ Jefqoe!leslcll,e>(e :i pn.Wn'^lfSSKj
îlas le cette 1-1&1 ehe d-s
B » t feToà.1'etîva*iai- <
U ) s pi lli,«- cprm t unt ■ iun dit que 1 « 101 èhcl^firSB
a trop d’inclinaifon fait chaudurt'.;. Umlqu'allm fëflB
jj^plu U 1 jppWfcd tMqiljéJle<f- tf 1q namu u I
Inclinaifon de la Couche leur rerminaifon à la fuper-
ficie, comme celle des veines & hL)iüiiT«»v i ÙÉ
M. de Genfiane, dan .11 Géométrie fo rer«
raine,,‘dpmé?.Nîv XVIII, lafft32Uîày*,dei-.cé Pr.(¥» 1 1
i9 $ s K ^ I I I >0lIIan& direEton.' Vinclinaifoh 't
dé un filon au fommet, ou dans un endroit quelconque
d'une montagne, déterminer l'endroit au pied '
\de n* c monfagne outlet" -h do£" oaf t t* îy
- Incliné^ Ftliri J aa^i;Âsm,^Ax. ScheVehédta
gang.i fPfanij.Mô.yeZ' Plàviriclinét
• ■ fidemnii^|Bi6É^®qi6aÿJoeiLettrds-tgàshtô,dé
?lJeni;i,»^^P?®î|dl)te parÄftübtes lei
Ordonnances de nos Rois, aux Propriétaires des