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tn a i^ ^W f e ., eouIÊéquenaeb: f f i|ânpe àr.ji%er eft. paffaol
làë;<% qi&es^fegîSÜ^ ^ôaveBt: Q#l,eï;!par ..lîét^c&jyaùti, fou-rohpar.unf’Qîa-
OTieède Bàtiÿ, & ^ fans :<feuseîeftm:.(fret fofëèptible.'de difomution&Ume 1
ida»s eeufe rville. g j£ift || M paWw - : Soi ■'"■
p ^ ] J | 7 è o n “fet-dsçBeriy, excepté les^rbésmontant^-fotman^lfe-corps;
& Je| tant tqiîarré
St^i’spplitti:,: & lelî«&fe <4iAeiïBk/lwiss ;ett^olit> &-xeBenisà fix.l*foesrdfo
Jslsp&vpcaisrà *»fer- bèCoin d’y toucher.
• Une grille 18,1 ■*ime ie Berty -i de ï ®ÏWfc, do
rhâateiucr,- fur i$ pouce* de laugfe, p o u c e s .-des «ôtés* péfera &ùviron> lïÿ,
Ifcsepôitsii dwi'.lisseasü.'' | | ■ j 1 k
- 'Une &qtr<? «fo.&y slmestpefoiftale ja rè il féfc, réopéra ^filafiès.
, Khâ;autre de 30 livres pk|6»K^i|»»oitfeE^ ;éB$tfeia 18 livres,
- *for g p fie ^ p a ifo è s
ifial iiaropied des Éâtéscde &ïüde- eatitloà | double grille ,spefera Ifoviron
. SQO'. livrés-; Sc‘ coâtérWTÆiïo.'livres, |
T ^ 'yHlh A-.RAfl^^àvgfepieds en roulettes , 3 e aayvucesj^kutéur ;
^ c o u l t f f ^ à4pieds;.& demi 4 fax u n p ie d d e s c ô té sj I
griihrde fer SLcIcmiUm :v -l'éfefa » k ^ n À20 'liyres, 3 c e<M«to, pmpis
lès-îratfetes &tesbpommés de-suivie, iyaliyresîu
Eàur-xbfppfet , tm-comment*. par- .garnir ie fond -du 'pohe-fôu. de nioii
'Ceaux de pelottes neuves &-de quelqueirspeléctes de :laavêiLlelffirèraêlées
gpfqh’^l’épaiiffeïà: de deux ou irois-doigts ; for t* premier lit j'jonpl^quelques
ahoEcèâüx de inenu bois, auquel* on met 'le fea pun-e^ütafoetfe foffit pour
ïir i^ feak quelques cbarbons-3c*qioelqüfes coUps*; deffouflfet'jp^ira ce que le
•menu-bofe folt allumé , en font l ’affaire,, Jtxn rediarg^îb pme^feuMcp’au
, «omble- de pelottes neuves & d é î^ ^ ù 4 s ; iierlîes.>alv fér^t^Ropos, M
i i » 3mB%siiÉ4ife:tKMt lescuifinss
verre çurs“(2!>if'PQur animer le feu & lui^ÔEtaerideffa -’ force/îbpîriioïfîltTOC
de Charbon de térie feqplacent for le devant du’^rillage. «ffi^forrrionte ce
dérider lit* f d m & degré defoide qu’ôn-veut-donner auiè&y d'une fcSJtaj»« \
rangépi'âe ijfêrimvt&àB&a & rgôuehées en t'ravers for lévfe&é , dé quiéen
comporté % } j -dudi en pyramide, Lé tout fe recouvre deipgfattes reftées du
feu de la v e ille , réduites en brades , ’obfetvant que dans c^feflîaffe®^ >
l’air & le feu’ puiflerit fe faire jour bien-librement. Si Is^ptlottes viennent
àuM*mi bonnequaîÿé, *ais pjus
ferme ; le fer de Champagne1 donc le grain efl:
-piusigfdsyéfl caffanc ; celui ;de Normandie l'eft
encore davantage ; les fers de Suede & d’Allemagne
font la plûpart meilleurs ; le .premier
iraiwJB ipus le ponj;ile. fer. 'âç’Çàrilltftt.ïjui n â
que 8 à p. lignes en quarré, eft trS*-bt^
tris-foft. Il revient à riffols la lavre. L
(1) Le poids de forge efl: de 40 IiV . P
Æ'OOÔ., Wm >l ' j r-,-
(2) A Paris j Charbon de la*ine de tms.
E T D E F E S M I N E S . IL P a r t . H
à fo coller enfèmble, ce qui arrive quelquefois, on les fépaie avec Fefpece
de broché repréfentée en f , PI. X X X I I I , on avec une pincette. ’
Dans tout cet arrangement, il.faut obferver ayec grande attention de con •
ferver par-tout beaucoup d’air, en évitant de trop entaffer ce chauffage’en
morceaux.
r Lorfqu’on ne veut;faire qu’un petit feu bourgeois, au lieu de mettre des'
pelottes entières for le haut ,_on achevé de formonter le porte-feu de pelottes
en morceaux, toujours recouvertes de pelottes reliées de la veille. Quand il
eft allume, on jette par-delîùs, pour qu’il ne le cônfomé pas trop vite, di^
P^ufloer dw ts ^ f i^ rd i^ tséflpei^Gjfâ'n ^pliÿ d’éSd*?1'.*
Pour ce qui eft des caiffes ou bacquets defiinés agardefoudansuneantt-cham-
bre, ou près, de la cheminée , une proviüon- de pàdttës-poupuil'of^lufîelfiÿ
jouîS ( W y eW ' lh X X X I Ih l^tfes^rz.) ; if n’eflgpas* rfécéfliire d?obfe^er que
cès caiffes doivent être proportionnées à l’approvifionnement que I on' veut tenir
près de foi; mais afin d’être plus fûr que ie menu pouffier qui fc détache
.toujours des pelottes caffées ou entières , ne s’échappe point de la caiffe
quelque bien jdintès. que puiffent être les pieces-qui la compofent ; il poiirroîc
y avoir dé l’avantage iqu elles fùffent fpalmées en' dedans & en dehors ayec
duJéou|cby,,
. Le petit marteau à pointe pour caffer les hochets, ell toujours dans ce petit
baquet; ce marteau fc voit en b , près d’un morceau de- pelotte marquée a ;
qui a déjà paffé au feu, & que l’on veut caffer pour avoir des braifes de
différente groffeur ; & au-deffus, un morceau de charbon pur.
t Les pincettes ou pinces à feu defiinées aux appartements , ne doivent
point dans ce chauffage être, regardées du même oeil , que dans le chauf-
,figé avec le bois ; ces u Renfiles ne doivent ici abfolument fervir qu’au befoin
pour ramadèr ce qui tombe du grillage, & l’y. replacer ; l’afrangement du
feii, l’économie de ce chauffage fouffriroient beaucoup fi on :s’en fërvoit
lotfqÿ«il‘ n’y a point de riéceffité.:
Les^ poêles employés pour le chauffage rentrent dans le genre, des
foiirneaux ; on fe propofe for-tout par leur conftrnéHon , i°, de tenir un
app.art.ernent: échauffé avec peu de feu ; 1° , de faire en forte que le char-
bon ,s’enflamme par degrés & s’y confome ; q?, dé conduire - la chaleur ou l’air
qui en eft échauffé par différentes circonvolutions qui le retiennent, & le
communiquent à celui de la chambre, au lieu d’être emporté dehors ; 40, enfin
H bonferver long-temps la chaleur & le feu à la mari ère] échauffée.'- -
Des différentes manières imaginées, pour répandre plus âvantageulèmént dans
tout un appartement la chaleur d’un feu peu conildérable, en le renfermant
daiis^ un fourneau qui s’exhale par un tuyau-, les poêles prêtent plus aux
recherches propres à varier, ou à multiplier. J es. avantages - de.qef chauffage h.
il n efl point d’endroit où l’on n’ait travaillé pour perfectionner ces fourneaux
Char bon d e Te r r e . IL Tan., X 14