
fcfciS D V CH *À R È O N t> E . T ' E E r e
'lLe fàvant fu reu r1 fuppofe une Soupape parfaite, celle qui couvre oü/| e»
Jeye , fe referme ou retombe à fouhait, qui ait précifément la folidité Pecefi
faire pour foutenir la celfmnè’d’eau entrée dans le-corps de Pompe. ï l fuppofe
enfuite que pour y faire entrer l’eau plus airément quelle n’y entroit,. cffi au’g.
fnente i'ouvtî&re de cette Soupape : tout le refte demeurànt de même ,iq u ’at-
rivera-t-il ? En augmentant l’ouverture, il aura fallu n'éceflàirement fe rjen te r
h. Hiametre de la Soupape, & par conféqüent fon poids ; l’eau qui n’ai|a que
la mêmevîteffe, & qui n ouvre ou n’éleve les Soupapes que par cette*rce ,
élevera donc moins la nouvelle Soupape ou la Sqüpâpe plus pelante & le
paflàge de l ’eau fera rétréci & rendu plus difficile, tout au contraire S ^ ite n * .
tion qu onâvôit eue.
te s ouvertures des Soupapes ou dès Clapets, ne dépendent donc pas fe . dia*
métrés des tuyaux ou des corps dè^ompe ; la maniéré dé déterminer. le^mèif
lçurdiamètre de ces valvules, eft par la quantité deau qui-doit palforVf'dans
«n temps donné, par l’ouverture de la Soupape ; ainfi deux Pompes qi||j|pur*
mffi-nr j dans tin temps donné., la même quantité d'eativvdokait^ pour être
également bonnes, avoir des Soupapes de même^ianîetre : ‘or,- deux Èôi^es
peuvent fournir la même "quantité d’eau, daHs -urrtérnps do’niîé , îkns àvoirle
même'^mmètre. En conféquencê , deux Pompes p'êuVent, pour etréfégale?*
ment bonnes, avoir les Soupapes de mêtne diamètre, fens1 avoîr"el'l^Kpêmei
des diamètres égaux. Ainfi ce n’eftpas fur-lés diametréï'des' ’Pompesgi- -des
pillons feulement qu’il faut régler les ouvertures des Soupapes*, mais fur Le
diamètre d’une Pompe & for lavîteflè deîfon pifton. ,1
Les principes fur lefquçls il faùt-déterminerTouyerturë des'Soupa'pe'sqfont
..tie n fimples; le ^remifr eft qu if faut
poffible. Ce n eft pas qu’il faille conclure de-fà quêtes Soupapes doivent |tre
lesplusgraSes poffible$; mais la quantité d’eaü étant donnée, u ^ ^ ù p a p e
dont f ouverture fera médiocre, laifféraà l’éau le plus grand*p|Tage q^ifféll
'poffible*, de maniéré .que fi on fait la Soupape plus grande otf pluspëfitê’lon
aura un moindre paflàge.
i "-Cette théorie eft éclaircie dans le Mémoire auquel nous renvoyons, on
l’Auteur détermine, par ûn‘ptbblême très-intéreffant, le diârnetre convenable
’des S ô upp^'/celui de la Pompe '& la vîteife du pjfton 'étant donnéMNous
né nous arrêterons ici qu’à la pelanteur, à la folidité & à l’épailfeur dW'Sou-
papes, qui tiennent à la.théôrië'de l’Auteur.
La Soupape devant fe fermer par fon propre poids, dès que rien ne 1 oblige
'de relief ouverte, fon poids doit être -plus grand qdf{«^||.qtidt'pamiL'«|wne
d'eau ; fi elle n’étoit pas pliis pelante, elle flotterait, âc ne retombîroxt pas fur
Iroïiveïture qu’elle doit férmef.
I Elles font ordinairement de cuivre, qui eft environ neüf fois auflïpefan:
qu’un pareil volume d’eau. On pourroit donc fuppofér avec l’Auteur i que 1*
làSfêfenteur
T Sf M I I gE S: fl. Part, . 1-027;
ppfanteur fpéçifiquq d[unetSoupape <Sç cel^deVea^Çont em»élIes>comme 5»
e ffià i, & .l'e%a!effejà celT^dWpareil
wllme d’e^aq^ corftmêl| eft' à r .
^ fU n e S o u p a p ç ft^ t a ^ r ^ f f e z d p , p o u ^ ^ t t e e ÿ i l y la qolonrte d ^ a u /g u i
efi |Voiç 1u ,n e jp ^ 4 s â r a j.S n fo lq , ^ d ’autanf
plus,grandeque la c o j^ n e qÿeüefquçieiy eft.plushau% & qq?e%a elle-’
paême. un plus’ grandftiapiëlte,
^D a n ^ le s ^ q tç p ^ q ^ g n t^ o n tc r lV u ^ q ou 80, pieds
SpU Soupape-^ égale à, en^m n.W^cieme ou la hmiieniépaftie H j
fon ouverture.
Çojpjz de^ ^ s p üe^ idmPifïon:
Dans IesPompes ordinaiîesj le Pifton eft de;même diamètre qq≤Corps de
iPPA>dans;14quelil, fo.méutp ainfttôïi^e^qui eft à 'd i r e ^ R ^ d i a i n e t r ç |
^ çé^fteg^également-às;!’ autre d<'! 3
- o% w l l^ ° ^ s.Beu^?ft^CQflCQBïir'àj3.4é'teEmitïer les dimêî^Îpnsfd’iine Pompe £
1°. la quantité £pan gue^dqit-iifqurnir lfeldiametre.de. la .
Milans le^|,o^ggs. afpirantes-feulemepçla hauteur dont» l’eau,*;d§i|,être afpfi
ré^danslJe,corps de la Pompe. '
’P $& £ R l ? d é r i y e du diamètre de Iajfoup§pe, ou dus clapet, *foifrqu>il‘?
ffi^flîidân^le^Gorps dgl^qjïjp^tnetue*op**qu’^ftslifolélït.4ans'le tuyçu- montant
ou )>avec• Ia Pompe.
ipar_ex£mpft^7 pouco^dlgâuidaris ui\e -foconde, Sc
d p nU e ^ ^ g ^ a le^c^iditippsÆpjpolees i Joit^ayoir- au«m®insi.4;' p g tiq e ^ li-
^fe^t'^ÿsftîÇfî^ivC.Çtt^dimsnfion eft-la.plus petite .qusPnn.piftll^^pniapr J
fe Pbtopé ^ auituyaftquïrenfer-tB&nq clapet: il n’y aufqifaiucun.ijiQQn^mcnf
^fe|gu£ 'dopper ,un -plqs.gra^ d x am ^ ^ f a
«n, Mdloft'i.empil^ le.plus petit" ^ametre*, il 1
a ^M 'n ^ dqne p a s ^ c e r irülieu de la î&tmnférpcndîèÆi?ejà fe
P'9'mîîeB au *W 'e n îtVp'#ge.5qui./f c , 1
fejciapet & le tuyau ^ o iq u e ç égal, au.pajfegei.par lfe:di|pkagmeîÿ fetoit mal
difpofé par rappprt apiÿUfege que.feaui e n t r e ^ ^ ^ ^ '& le cfepec..!
Le clapet, éta’ûj m eU ^ f^ J e , diaphragme:^J§ paflàge que feâft'Çï^ve entr&l
c|§ .4eux.pjecesi,;nJ#ft*pas égal de;tçi.uSi,les GÔt£s;,|igjik!.très-iètré du <S§té de fec
q|eue du clapet, & fort large du .e%é oppofé ? ainfi U paffe tf è s ^ q d’eau v.cr^
y r S W i H .. Oüveriure.
la leuniornde deux corps à .„rmênie niveau
une même fuperÉele f ’ulrrcfsrc’laJöti.Viönttie
;tuj aux inégaux de diam aie , par un tamboui de
plomb, réuniflant les différentes groffeurs qui fa
diftribuenc où l'on yeut; . 1
Ch a r b o n d e T e r r e , IL Pan. E 12