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'poiiSii’ordihairev^cfeique -ipi'srq^’a^x.enpTiv,gl)^le ’feu c^tquiiVefl deux!où
trois fois en tputhtemps : dan^çsbpùtits' ménages.’ on:en référé chaque ebt£
du fer à feu une pife. fufijfante pour. pouvoir' fervir à pofer fa marmite ou
t<j[uêlg©8uti;e|uftenme,df cegenrfc. .
t ■ Hfnîeft ;pas inuïife<d’a ^ û r-q u e les- cheminéesdde vtôlewmmées cktinyiées
là] la JPnujffîenne, nèfqptlen aucune.mahiere févorahlesiaxer^^ufFage ; Æqfeu
exhapfle fur le grillage, porte .une grande45ame.de.fon aéliorrians la coùveri-
!We qui forme chamgÿ,, .yièft,,entièrement retenu »&■ renfertoé ; les rebbffs
pendants de cettevpoùysrîure empêchent qsüe Ja, chaleûr ^ e t t ^ n d e "dans
tQudjàppmernent} &/qppofenfcd une autre part à.kfjjcifté dü fervice du fèù i
^oienfpur/lelfienou.^eç^/Qitlpp.ur'fetÇo.mmodeaà^^q^fojsKiYec ks'igite
c e ttp b o f autrement,'' *')
Gomme , au furplus, n’ont d ^ g ^ i f e é ^ e «feemédiet
à k'fdm'ée^ on-aura1 recours à-tous lesrâutrps •ntoyensriepnnûs ou » ffib le s;
j ÿ s expédients m’ayant, point de rapport fpécial à .notre oUjet.^uM linmes
endive ment difpenfés d’en rien d ir e ^ e em ’eft ppur.rappeller par p^afion le
moyen adopté par les Ç hiw À ^gfyyvL ,$ a g / i* 7 ° > & W^manier|^Gt|guliere
qui lui effun pep .ahalogue, & -quiri^rouvê îappbrtde dans üniM^moire des
plus întéreffanss *<2>, ''comme ayant été éprouvée d a n s l^ e n d rq it où la
• cb.eminée. fomdit beaucoup: (•?■).• v-!
: jQuant aux grillages!ou fers 4 & fig- 5 » Planchè/XXXl,
Part. 2e - les barres qui. les compofept fqny^jdinairement de ferfeattu |
quelquefois bien limé. J’ai vu deeesfers -àfêuùfAqjbife.ainfi polis, à lÿ lime.
M. Vepel n’y recoQnoît point davantagepartièûlièi}i4^VtoaiM p»i0'is pins
de confiance^ dans l’expérience d’une obfetvaûon füivif!-, telle fans doute
qu’elle eftxonftatéel.par -les Anglais ,,qubne donpôiffent d’autre*|oaniere de
fe^chauffér ; la remarque facile à faire ►par topp Icjjmojjdçfÿr n^'ohenêts f
celle que -j’ai faitefur mes fers à feu-, dont-je fftpfuis ferv^pëÿant deux
hy vers , & qui prennent, quançHIs ne fervent poiflÆ^beayCOUp |p|oûiUç,^
►donherdientLieu^de;préfùmér que, ce p p lfà fa lime a pour i§j,H4fjïencke le's
.barreaux de-fer- moins' fuj’pts à r g t e , rouille.
. . Pour ajouter à^es, feuxxme chalepi, réverbérée», '«eès g rilla g é Rivent être
appuyés»■'ccùmne^nùus l’avons à k .p a g e jjfp , fût urÉp-ifiaçfgnnerie' de briques
poféesæn faifant un rebord à.plat, repréfentée/g. 6 , PI. X X X I , V /t- H>
,(t )- Qp était. parvenu à, fe.gararjtir- de, cet '
inconvénient, en fu fp e n d a n t dans le milieu dé
la hauteur du tuyau une bouteille de pinte
remplie d’eau. La. cheminée commençant à fumer
de nouveau , avertiffoit que la" bouteille
étoit vuide, & qu’il falloit la defceDdre pour
la remplir. DiJJirtadon PkyfiqueChimiqiti & Economique
fur la nature & la-falubrité des eaux de.
la Seine, i
( 2 ) M. Genneté , dansl’Guvrage que nous
avons cité de lui , page 248 , note y , a donne
auffi pour cet objet la conAruflion en bots avec
figures, de.Ja'tête d’ufeno.iiveU’e-cbemjnee ;ù
une feule, ou,fur un plus grand nombre ce
cheminées ordinaires, oùPonbrûle dela,4 0U1'“
\àd. , ,
(3) Seâ. I ; Chap. II , Part. Il, W S ff lm
DtsMpjllsh, i,
E IP D E S Ê S -M I X ESi ' l ïf P ki/t'i Ii?£7j
èc vue de profil,eâ. g;, fîg, ip, la^ . ^ P k X X X Z ftâ è la
gpilfe-'a^qntirtayi, ÿ l . f a u t f 0 ( 3 û . | o n î ' s a u fftôiqs qiç_e ciiganée r4® 6~ à -7
âîbibiJl’<^&ux, & «pgnfiglu Jcùifines \ - d e $k$c ; to
r o ^ e s ^ a fefe.murraY t ^ jyp^ut^ ûjbftk^e^rytjp pfl|qù^[^ e ?fiàn(îe ^ ‘. 3 on '4
rdoigtsùd?épaiÆnf' ^peiGêfeïiteçÉofiebiÊnM)i»ÿrafin; .dfêt^êSfeeï^Ü'alls’.ife fe
, fende ftlfj
Les grillages! oib fërs à]feu.'l'es'plusÆia!iplesi^p leS“,plqs tôldfnaiïeà êp à plus
: b^svp4^rfô*^orteHt béGgfiwretpene qû^kskfdàlÿtjts pfkcêipiii» 12
pouces deihdûteur',’ idonclla? partie infeiéùmn|foïiSfte!'4 piërfs,' 4 trav'ërfes de
côtéj.J4 traiterfes d^fkcëj^ ^$uispet|rciie êtîerek^hsfo^pôfés stét ^i^iqfifâafcâ: la
/gm.È/4 de’l®Blarrdhe XXXI, en repréfèrÇet dgs:deux fa^oHÇ finTèHiijie ‘qaedds
barres p o fe^s^ ^^d icdm m m en r', jC o j j n m e 4 morffiaHtSj.'iîe sCcltSi.paSÀix
.avanc^geufèsip'dvçïeten&daiisïlè g ri ll ageks . c f ia rbons ' oùaysy 'à'melùre
qulls diminuent de volume emefehoanfornant d&fiïëndent 'dans, le fond dm
3|i^.' Des traverfesaformairt le fond du.'grillag^^àsrâan-J
îdMtlj'àî’: êt-ri srprppt?(|uées^'cii^}’ar /rapport sà leAr 'élë vadotè^ i& pat rapport rà leûf
dffifejiçianÿdifiérànt^itesjBJjdj%esL placées, ers4 à}igufeïriï3f
TËeuf élévacion'au^èff^si^fbyer 'peut&varier;felo'rr lan^uânt-ité dtaGhirbort
déterré j'fesVfeux de ;(diasbon^ qKaudb dbivfentxtré plusiélevés^quetbèux <db
c ^ !|â n s,^S ^fe :.^ourv-la&î|miere.qualké ,^il faure4 \généril 4 à aji pduces
S4qvatiop afin^e kifler un .efpàeej fuffifanc:pour.les rcenjdres .qui tombent tdü
gtïHagê-,;& où lAppuiffe'-agif librement: Affèzicommuraéçienb, .cètte^éféva-
t^^nyefljgi^rçy^ier’ente dé celle 'qui j jfe jbmarqaebaus sekedetS dfe lbqimô
gr4 f(|ey.r;,'ï}de maniée quedi ahfelumppejion; voufode ne point ifixer'e» grillage
au^murray ^r^poùl'roitrjtje'Q'ajdut4it.'deux. autres rttaYâpfes oppeféeS- àcelies de
fe ^ fe roM ® p km en t un grillage fans, pieds» qui pofèroitfurfM e|®nfetsdS &
qki^riendrok''portatif dans, les différentes .ehâfnbres bà lîbn vouebok avoir
m ^ Ê
Quélpque, foitile' grillageJ, J il- paroferoit ^ Utile queî les 'bafreàuxq'dfî-fon’d^
-^ù'IièrùKiaïéfente?. leù'KJqjüa'aér,. ipréfelîtaflen&fe tranGltant'5''afin(qù’il .sqamaffat
m®nsrd&ènclfes dans cefond} enfin ibèft à propoS-què les barres duffendiqui
bffitiennent pointeaux montants, au lieû d'êtrerfiXéessà démettre ,pàfpmsvdés
autr^^OTéntrfimplement aJTe'rfïblées .^grachêt-fur lesittaverfès de catd^èavsec
cet te précaution, ilferoit aifé, quand à ladon^ue elles a4èbnen| à fe détruire,
enMhfUtuer.de nouvelles, dâps 'être? obligé d i itoqcbeE.aujforps.dil .
'giMyî&tïer •• ' 1
D® qH^lk^ du fer à employer pour ces barres , ne peur être que dépendants,i
dïS-fnine^dont il'efl provenu, & qui.efi difFérentè’'fél'on les. Proyinces où
. 1 on^vijudro^ faire ufàge de ce chauffage £1) ; l e ’prix, par rappprBjà, la
(1) Le fèf ^^üfiVëïnois, de ‘Sen©‘nchés' au 4 'doux 6e txè’s-fiu, eèlûi de- Bourgogné. rèË'irné-
.i erelîe , elt très, doux j celui de Boche elt très- I 'diocieràènc ; lefeî de Vibrais > près