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rhombes qui en refultent fig. 27» 4°»
4 /), forment, par leur inclinaifon fur les faces
correfpondantes du prifme,un angle de 1340;
mais fouvent ces plans rhombes fe fubdivifent en
deux plans triangulaires par une arête des plus légères
, qui part du fommet de la pyramide, pour
former un angle très-obtus avec l’arête la moins
faillante fur laquelle s’ell faite la troncature. Si cette
troncature eft affez profonde pour que les rhombes
ou doubles triangles qui en refultent, fe rencontrent
avec les extrémités des faces hexagones du
prifme, il ne relie plus des faces trapézoïdales de
la pyramide tronquée , que des triangles ifocèles
contigus par leurs fommets fur les arêtes les plus
faillantes, & par leurs feafes fur les arêtes alternes
(Pl. IV, fig. 4 2 ) . Il arrive même quelquefois que
les arêtes les plus Taillantes font furtronquées par
des pentagones linéaires qui vont du fommet de
la pyramide à la pointe aiguë des faces hexagones
du prifme, qui deviennent ainiï fubheptagones
(Pl. If^ifig- 43)- poffède des crillaux très-diaphanes
de cette variété qui n’avoit point encore
été décrite. La plupart font à deux pointes, avec
un prifme très-court intermédiaire, 6c même fans
prifme, les pyramides n’étant alors féparées que
par lix plans rhombes ou trapézoïdaux : ils font
aulïi du Derbyshire.
Varüti 2$. La troncature oblique des pyramides
hexaèdres par les arêtes les moins Taillantes, qui,
dans la variété précédente, n’entame point, ou
entame à peine les faces hexagones du prifme
(P l. I F tfig. 42 & 4 3 ) , eft dans celle-ci plus profonde,
de manière qu’il en réfulte des efpèces
d’oélogones curvilignes formés par deux pentagones
réunis, comme le font fur l’arête obtufe les
deux plans triangulaires de la variété qui précède
alors il ne refte plus des faces trapézoïdales de la
pyramide tronquée, que lix petits triangles ifocèles
ou fcalènes, quelquefois furtronqués fur
l’arête du prifme , 6c les faces hexagones du prifmè
deviennent décagones ou fubdodécagones (P l.
l v >fig- 4 4 >
La jüxtapofition des lames criftallines eft très-
apparente fur le fommet curviligne des crillaux de
ces deux dernières variétés ; elle y eft indiquée par
des cannelures ou ftries parallèles aux trois arêtes
les plus Taillantes, tandis que ces mêmes ftries forment
, par leur rencontre, un angle obtus de
1020 30' fur les arêtes alternes qui, comme l’on
voit, réfultent ic i, de même que dans la variété
2 1 , de la juxtapolition de lames rhomboïdales
toujours décroiffantes fur les faces du parallélipi-
pède primitif(7i).
(7 1 ) M . Jacob Forfter a rapporté des mines du Desbyshire
de très-beaux groupes de cette variété, comme on peut le voir
par fon Catalogue de 1780, depuis" le n® 41 ju fq u é s& compris
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