4- hurcocerque catelle. Furcocerca catellus.
F . tripartita; cauda bise ta.
Mall.inf. t. ao. f. 10, n . Encycl. pi. g. f. 22 , 23.
H. dans Peàn des marais.
5. Furcocerque catelline. Furcocerca catellina.
F . tripartita ; cauda bicuspidata.
Mull. inf. t. 20. f. 12, 13. Encycl. pi. 9. f. 24, a5.
H. dans l’eau des fosses où croît la lenticule.
t 6. Furcocerque loup, Furcocerca lupus.
F . cylindrica, elongala , torosa ; cauda spinis duabus.
Mull. inf. t. 20. f. 14—17. Encycl. pl. 9. f. 26— 29.
H. dans les eaux stagnantes.
7* turcocerque orbiculaire. Furcocerca orbis.
F . orbicularis ; seta caudali duplici longissitnd.
Mull. inf. t. 20. f. 7. Encycl. pl. 10. f. 8,
H. dans les eaux stagnantes.
8. Furcocerque lune. Furcocerca luna.
F. orbicularis ; cauda spinis binis lineribus brevibus.
Mull. inf. t. 20. f. 8, 9. Encycl.pl. 10. f. 9, 10.
H. dans les eaux stagnantes.
Voilà , quant à- présent, où se réduisent nos principales
connaissances sur les infusoires, lesquelles se bornent
au caractère classique que je leur assigne ; ce que l’on
a pu savoir de plus essentiel à leur égard , et les genres les
plus convenables qu’il a été possible d’établir parmi eux.
Muller j qui a tant contribué à faire connaître ces singuliers
animaux, nJa considéré en général que leur extrême
petitesse pour circonscrire la coupe particulière
qu’ils paraissent former dans l’échelle animale ; il y réunissait
en conséquence ceux qui ont antérieurement un
ou deux organes rotatoires, tels que les urcéolaires et les
vorticelles.
Je pense, au contraire, que partout, dans le règne animal
, les rapports et les coupes classiques ne doivent être
déterminés que d’après l’état de l’organisation, et non
d’après la taille des individus ; et si, par le placement de
ma ligne de séparation classique , je sépare les rotiferes
des infusoires, je m’y crois autorisé en ce que les roti-
fères ne sont pas essentiellement des infusoires , qu’aucune
ne résulte de génération spontanée % que dans toutes,
la bouche et le tube alimentaire sont clairement reconnus
, et qu’enfin la bouche des rotiferes, comme celle des
polypes, est constamment munie d’organes extérieurs
propres à amener dans cette bouche les corpuscules qui
peuvent servir à la nutrition de ces animaux ; ce qui
n est pas ainsi dans les infusoires.
Si j ai pu trouver des motifs raisonnables pour rapprocher
les rotiferes des polypes, tandis que Muller en a
cru trouver pour les comprendre parmi les infusoires ,
il résulte de cette différence de classification, où néanmoins
les rangs reconnus ne sont nullement changés , que
les rotiferes font évidemment le passage des infusoires
aux polypes , et que les derniers infusoires tiennent de
très-près aux rotifères, comme les dernieres rotiferes
tiennent de très-près aux autres polypes.
T°m> I.