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> >iri ' •- La difficulté extrême quon éprouve •* im tteorritr tu
empêchera long-temps encore de connaître leur os-'yrd, et fa»
cites savent tirer de leur organisation pour se conserverr c’est-à-diry
procurer leur subsistance, pour échapper à leurs ennemis, et pour se
ll: -faudra sans doute, pour réunir tous les phénomènes relatifs à ces
mts fondamentaux de l’histoire naturelle de tout animal, mùltiplier les
••-oons sur un grand nombre d’individus de chaque espèce. A u s s i ne oonsi-
• • b o u s les détails dans lesquels nous entrerons au sujet de la Barbas telle',
une petite portion des faits propres à constituer l’histoire de cette
Aouris, assez commune chez nous, et assez connue par son organisation,
■ ■ pieu par ses moeurs, ses habitudes.
j ’ai eu occasion d’examiner fut pris dans le mois d’octobre ,
- - * -»nu, d»- la même espèce qui s’échappa (ils étaient l’un et
lo*-iier dune el dans Je mois de mai, se trouvaient
• la plante
'• fow**. favairt-brm* et, par cette
d* manière à remplir le moindre
• -fhn: .• èrs ;s jt-■■•n alternativement, comme il
• oc- -i .}s étau tiabqrd porté obliquement
c ne derrière,'' dueè-è opposé. Ordinairement les
• < cime du»* u station * mais quelquefois ils étaient un
‘:?i- f ; o maintenir i équilibre de l’animali On • voyait par-
pouce 1 ! a lu : comme pour aider le mouvement en avant du
m i tère, et aewtut aussi ü était rejeté sur le côté et sans aucun