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 #®<àle  à  fixer  d’une  manié«*  pm iw   *u..  leurs  .caractères  ¿-.nneui-  i’r.-i.pv/  
 iemblablès  par  les  formes  et  1rs  pr o p - n -   .  peu  difFérenu-s  par  la  taille,  de  
 couleurs  à  peu  prés  les  rué mes,  on  ne  trouve  point  d’expressions  propres  à  
 c c h dr e  clairement  les  nuances  légères  par  lesquelles  elle»  s.c  caractérisent.  Le  
 •4 y.k>t  est  un  exemple  de  la  djlboçd#  e*r -saiet  quoiqu'il  irai nie  au  milieu  de  
 nos  champs 1|  *e.  nos ffc$$,  ;pi- r  <  ?;t-* m.vo  en abondance, et qu’or  puisse.l’étudier 
 étalement,  puisqu’il  ne  sait  éviter  aucun  des  pièges  qu’on  lui  tend,  on  n’a  point  
 encore  décidé  si  les animaux qui ont été désignés  par ce nom,  et  que  l’on  regarde  
 généralement,  comme'des  individus  d’une  seule  et même espèce,  n'appartiennent  
 fir- ’  en  realité  à  deux  espèces  différentes.  Btiffop \.lf,  pag.  3s5)  a  irapché  
 Li  difficulté  en  regardant  les  différences  des  p.  -ns  et  des  grands  Mulots  comme  
 sé?  différences  accidentelles  et  dès  variétés,  et  celle  explication  pourrait  avoir  
 «gfe&fque  apparence  de  fondement,  si  dés  lors  on  n’eût  pas  rccorïrm  deux  ou  trois  
 toati es  espèces  de ..Rats  qui  ne  différent  pas  plus  l’une  de  fautre  et  dn  Mulot,  que  
 r.\  grands  et  les  petits  individus  de  cette  espèce  ne  ü Aèrent  entre  eux,  à  en  
 fagèr  du  moins  par  ce  que  l’on  en  connaît*  Pour  ne  parier  que  de  ces  derniers,  
 La uben ton  nous apprend  q*-w?  les  grands Mulots,  qu’il appelle Mulots  drt  bois,  ont  
 ¡fc-longueur,  depuis  le Wtff  nu  museau jusqu’A  ftmis,  q.uaurc  pouce? deux lignes -,  
 v uv  tête  a  un  fM,nce  <leux  lignes,  et  leur  queue  quatre  pouces  six.  lignes*  Les  
 te Mulots  ou  Migras  <{?*  cdmtxps  ont  le  corps  de  trois’ pouces  cinq  
 longueu;,  la  tête  d un  pouce,  et  le  queue  de  deu*  pouce*-  >n.o  lignes.  La  ditte-  
 fcncc  dans  les  mesures  de  la  queue,  eoBiourec»  à  celles  du  corps.  sont  surtout  
 remarquables  r  la  queue  du  Mulot  des  bois  a  qsatre  ligne*  de  plus  que  le  corpsj  
 îodis  que  celle du Mulot  dès champs a  six  lignes  de mopi’C  il  faudrait assurément  
 de?  abservarions  plus  positives  que  celles  quon  possède,  pour  faire  regarder  de  
 '•• Ht:■>  différences  comme  de  simples  accidents.  Quoi  qu’il  en  soit,  lé  petit  animal  
 je  donne  sous  le  non»  de  Mulot min  appartie»-  cette  famdie  de  Rats  dont  
 èfi  parties  supérieures  du  pelage  sm i  fauves,  et  le-  .parties  inférieures  blanchçsf  
 s©os  de  rapport  il  ne  diffère  pas  du  Mulot  proprement  dit,  mais  il  en  diffère  
 ‘beaucoup  par  la  taille  :  il  a