FOI INE
vino;E’!;Ts.s des anciens Naturalistes nensaieu
ut«r h Marte et la Fouine, que ces animami
gBraxime.
Billion et Daubertctt» «xmiiiauirent cette eri
, vivant Ü ^ F - r ■ i j :i. <
É l I p^ état de pui't4r . .. ¿...«-m
ici« ’î ?ïc variété intermédicr’' e en u e elles et
efttAîii hypothétiquement que la Fouine est un animal doinestiq.
a»wtc <le la supposition par la fixité des caractères de cette espèce;
iwxwuji qui nous sont soumis ont produit des races nombreuses et
qa dus. Celui-là, ad-
¡que, démon irait la
effet , tous les
! diffèrent les
' la Fouine,
u î h .s d i - x autres par un grand nombre de points; ce qui n’a pas lieu pc
» l i aient pu encore opposer à cette erreur les différences
qui existent ent re les
««inet», les moeurs de ces animaux ; caractères bien moins susceptibles d’in-
flaojees étrangères que ceux que l’on tire de la taille ou des couleurs. Car, de ce que
"oue vit sous nos toits, se fait au bruit des lieux habités, ne craint pas le voisin
e de l’homme; tandis que l’autre recherche.les lieux solitaires, se plaît dans le
habite des fi le sommet des ar
de tels animaux ne
Le sous-genre d e s ¿V:
Putois pour tout ce qui
iirance que
'me espèce,
à celui des
uouvement
icteri
r d e i Mois.
on peut conclure avec a *
*f appartenir, et n’ont jamais appartenu à la n
ffls, auquel ia r ouirté appartient, ressemble
concerne les organes essentiels des sens, du
HrMlt t l ; ; - ; : . L e® « C lde» «Jiffwfires < | « i , SOUS CC r a p p o r t .
f i,v. Martes ooi une fausse mo-
iîeu de Pavon* rude; et eomim
en le décrivant, il ne nous reste
t -, COHS1SI
la langi doue
Mais
que
nous avons fait connaître les orear
qu’à exposer les caractères sp
cinques d
îe om.vsic
ira aussi
lous-genre,
«ts et les C
» «en oùgle
auparavant je réparerai u
description du Putois, ce qui ser
toutes les autres espèces de .v -:.i
coup moins digitigrade que les t
des pieds sur le sol; au
quoiqu’ils ne soient pas
lapl:
Chien
i accidentelle qui se trouve dans la
pour la Fouine': cet animal, comme
et comme t ‘ailes les Martes, est beau-
liens; il appuie beaucoup plus qu’eux
ne s usent-ils point comme ceux des“
iis que les leurs; ce qui lui permet
leme contre les murailles, lorsqu'elles
íes employer pour grimpe: au
it revêtues d’un crépi grossier.
U holline est de la grandeur d’un jeune Chat domestique. Sa longueur, de l'occiput a