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A u nombre fit»;» »aHélyà
curieuses -joc : #
C o m m i m é t o c i * ' • ».;*f?,r «>-r
de formes ou de
parties qui oV tient; qù:fc!
e t ces d ernières variétés s
nous donnons ui? o/eumic;
Les cornes, qui, eomnu
ruminants, sont des
3ue organe,
tmrtficments
par
;ifalare
|ue % domesticité prodnit f^ü n'en est ai
^.stérisent par la diiqi&êkïfifcî ’Æmy -qué
s consistent Jks
£ dans.le développement est*»
vfîïli^ent, ou" même de parties iouf.- j
‘ -, ;
on sait, ne se rencuttirent que citez les ^lammiféi'és
âuxqueués ils sont sinets_
généraleu*eMî constante*,/ est un À
diistinatioiS exclusive qu'elles
oiir combattre les ennemie ttfii [
devient in c e rta in e e t problém;
céssi
cachés de
servit d'armes à i animal
•et préserve*’ ainsi l’esuêc v* Mjrauur i mi yen
qu’ici des espèces en m u t entièrement privé e s , que là les mâles seuls en .
sèdent, taudis que les femelles, outre leurs propres nîn ém is , auraieat . ¡ ,
s de leurs petits.: qu’ailleurs <Ü armé» é> sufeisfe H, .¡ne durant
t p i e l iO H * » r . . . e ¡ ¡CM*-
une a
apparente, peuvent dì
proprés en généra! A i
Elles, c mt pour base le
commence à se* former
pour reparaître après* comme par.
si importantes par leur destination
nüuenc«
V . et
pour les Bon; iès . t s permie; -
près 'durant toute lu
dans son intérieur
elles, et qui semble
regarde généraleme»
recouvert par une matière^ con
des poils. Dans la’ variété titré
constitue le noyau des cornes
que par, h* peau; il semblerait ■
assez, d abondance, et par con.*
vaisseaux qui la, transportent et
ss la vie de l’anin
petites ca.
s nomi
tre qii une
dépei
[«fitti
der
des
aoins
■.S* w f':.Kisiéqnetit
' vps' > accroît è peu
; se u x ré n ferme Jìouyen t
lit communiquent entre
is frontaux, que l’on
de r odorat, ¿tf il est
' • A ¿felle
, la protubérance" qui
•ut, et n?est revêtue
urrait' attribuer- celte