LA COf i l
.D epuis que j ai dont» dans la première Livraison de cet ouvrage, la Genre et
la description d’un A m , j ’ai eu occasion d’observer un grand non dm- 1 . :
de cette espèce d ’Anlik æ, et j ’ai diï rëcolfeitîlre coaune /> v . 7 j *- ..».t.-., »rjixoii..î îufaiTn.a. s., Pm*o!u!« .. .
ire re , etc. lavaient soupçonné, que la Gazelle* le Kevel et h C o rm e de BufFon
(tom. X II, page s o i , p -s3, 26 et 27) ne représentaient point trois espèces
différentes, mais une '<■. e et infime espèce, dont l’âge et le sexe avaient modifié
les caractères. Le hevel i ¡t un mâle très-adulte, la Gazelle un mâle un peu plus
jeu n e , et la Corme une f< .nelle adulte. Dans cette espèce les femelles diffèrent des
mâles, principalement par es cornes, qu’elles ont plus petites, plus grêles, et dont
les anneaux sont beaucoup moins nombreux et moins saillants; elles semblent en
de teinte moins brillante, par une tète plus allongée
proportionnellement à sa auteur, et par un museau plus large. Les miles ont
le sommet de la tête plus flcvé et paraissent avoir un museau plus pointu ce
qui vient, pour la forme a 1 la tête, d’un plus grand développement des sinus
frontaux, et pour la fornj > du museau, d’une simple apparence résultant des
proportions de ses différen es parties.
La Corme dont je donnf la ligure est trèsrjeune, et A peu p rè s'd e l’âge du
eve. qui- i ai publié; ses i ih k .s n ont encore, que quatre pouces de longueur,
c es sont l o t i e s , et ne pu t i lient qu Ui-.i fegère courbure en dedans à leur pointé j
tout son pelage est d’un tau rc beaucoup moins brillant que celui du mâle sans
doute'parce qu elle se porto moins bien, mais elle lui ressemble sans restriction
pour ce qui est di s parties planches de la tète. de la bande noire -des liane,s du
noir de la queue e f du blaiL qui sc trouvé aux l'éss.-rs. an vente:, à la poitrine,
et à la face interne des membres* Ko- h den*
Ce jeune animal, qui vient'du Sénégal, a beaucoup de douceur; quoique
craintif et tmude ¡¡ suit les personnes qu’il connaît et semble fuir la solitude.
Quand il se trouve seul il (musse un petit cri faible, à la fois voilé et aigu;
et il fait entendre le même cj-i lorsqu’il éprouve de l’agitation ou de l’inquiétude.
Il est conduit par un instinct particulier A déposer ses excréments toujours
i même place5 ce >, ;) annünce un animal porté, par la même puissance, à se
choisir une retraite, ;l la maintenir propre, et à la conserver; car les animaux ,
vagabonds ne donneni jamais Vette marque de propreté.
Le Kevelj la GazcUc et la <iorkie ne formant qu'une seule espèce, on devra
effacer deux de ces noms t t e * m é t h o d i q u e s : et si en ce genre l’an