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voyageurs ont design.;. «»«. .bwr* sw b , des animaux qui sc font surtout
t*»rquer par-l’odeur infecte qu'ils repandeut, chaque ibis que quelque ennemi
M ? " ,Jrsult ou ,e» " * * * t ' i auxquels Buffon a donné le non» générique u
ÙMfft'tes! mais les détails qs’Hs éajspbiÿ « les ligures qu’ils donnent de ces
■fewtx sont SI différents, et quelquefois si c , qUK mon lrtr(.
Le. i.erches sur les Os fossilles, tom. I V ) , après avoir . -.aminé attentivement
" <tuon a dit des quinze ou vingt Mouffettes qui ont été uéerites, en est venu
conclure que toutes ne se rapportaient peut-être qu’à plusieurs variétés d’une
«nie espèce : ce qui permet du moins de penser que ces animaux ont besoin
être étudiés de nouveau; et alors sans doute on distinguera non-seulement les
»fèces lune de l’autre, mais de plus l’on séparera celles qui pourront appar-
u-.r à d’autres genres; car répandre une odeur puante par l’effet de la peur,
indique point nécessairement des animaux organisés de même : cette parti cu-
appartient à notre Putois comme au Chinche; et j ’ai déjà été conduit, dans
m» travail sur les dents, à séparer le Zoriile des Mouffettes, et à le réunir
••« Martres pourvues de deux fausses molaires seulement, c’est-à-dire à la petite
sfciille formée de l’Hermine, du Hosselet, du Putois, etc. Le caractère du genre
I mi dette n’a jusqu’à présent été donné que parle Chinche et par la Mouffette
3ù ii, qui ne dicte, t p * n-être point du premier. Nous n’avons encore en
tfel que les têtes de -s deux animaux, lesquelles se ressemblent par leurs formes
uoe-ne par leurs dents Celles-ci rapprochentJes Moufffcttes de: Blaireaux, en
e quelles ne sont point au ,si car.iaswére* que celles des Martres. Les molaires
<■ Chinche sont au nombre de quatre à la mâei.roic supérieure, et au nombre
« cinq à la mâchoire inférieure. Les premières consistent en deux fausses meures
à une seule pointe, l’antérieure extrêmement petite; en une carnassière,
ai les suit, et qui a un tubercule interne si grand, que son plan présente la
3r.ni- (l’un triangle rectangle ; et enfin n une molaire tuberculeuse du double
"U S grand, que la carnassière, qui a deux tubercules à sa lace externe, et.qui
st sillonnée par des inégalités plus ou moins profondes sur ses parties internes,
-es secondes consistent en trois fausses molaires, dont la première est trés-
*te; en une carnassière,très-épaisse, prolongée postérieurement par un talon
»-ex grand; et enfin par une tuberculeuse de forme arrondie, dont la couronne
d™sée irrégulièrement par deux points- saillants. La grande disproportion
existe entre 1a molaire tuberculeuse supérieure, et l’inférieure vient de ce