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’* * * ” a l ; de mime que i- Surmulot, ne pavait point être originaire , y nos
montrées. Kien du moins n'annonce. nue lus anciens l’aient connu, et les auteurs
modernes qui eu ont p r ié clairement., «e remontent pas au ciel;) du snúíewe
siècle. Gessner est peutAtre le premier naturaliste qui l’ait décrit. Or, il est 4,en
vraisemblable que si cet animal et« autrefois, comme aujourd’hui, vécu au milieu
te nous, et à nos dépens, 011 n’en eût fait aucune mention, lorsqu’on parlait
de la Souris, du Mulot, du Luir, U t » mon» rnnarqpaMes « Inet, moins iitcouj-
modes que lui. Mais comment, et d"ou .esùil vertu citez : nous V Les uns pensent,
“, c c :us et Pallas, que nous l’avons reçu d ’Amérique ; et les autres, au
traire, supposent que nous l’avons donné au nouveau Monde après l’avoir
*e çu de l’Orient. C’est qu’il es, peul-êtrr impossible de répondre à cette question:
et toutes les conjectures qu'on se permettrait à ce sujet, avec les seules connaissances
que l’on possède aujourd’h u i, ne seraient yéisiâblcnwirt. que d'inutiles
jettx de l’esprit. Ce que l’on sait; c’est que le Rat se réóenntre dans toutes des
régions chaudes et tempérées, qu’il est extraordinairemeo' commun en Perse,
et qu’il s’est prodigieusement multiplié dans les Antilles, ou les loyers rie lé
ntraignenl pas A se réfugier dans les maisons, et ota’- les champs, durant tonte
. n ié e , lui offrent une abondante nourriture. Aussi e s t -il devenu, dans toute
-'!,e partie de I Amérique, un véritable déau. par sés ravages et ses dévastations,
S n effet, le Rat consomme nue grande quantité de nourriture, et il en gtïie et
» l’ercl < * » * * . davantage, surtout lorsqu'il s’établit dans un ciiatnpt car alors
« tient de préférence dans lé- granges et tes greniers, sous jus toits tk paiijo «*
tfaas les maisons abandonnée»: tuai« il fouit Aussi, et w lu»«. oemma le Surmulot
dans des terriers lorsqu’il ne peut pus »’établir «dlettrs. Quoique celle derni-Ac
espèce ne se ntêle pas avec le Rat, et qu'elle t
te naturelle qu’on leur a supposée n’existe ,
as nécessairement les Rats d’où ils s’établissent, et j’ai vu ces'deux espèces vivre,
te avec l’autre, sous le même abri et dans des terriers contigns. C'est quéris
trouvaient dans ce lieu d’abondants aliments, et que les plus, forts n’avaient pas
nrain, pour se nourrir, de faire la guerre aux plus làibics; car ce n’est que
cas seulement que les uns soin la cause de la disparition des autres;
|mc toutes les espèces du genre, les Rats *e dévorent entre eux lorsqu’ils