LE SURICATE.
à la famille qu’on formait de ces animaux, dans/l’ordre des CarnasTers ’
ie W Ê f i ?ar C6S “ î et.n’ayant eu à examiner qu’une seule tête de Suricate
je crus aussi apercevoir la plus grande similitude entre la structure des dents dé
cet animal et celle des dents des Civettes, regardant comme de simples modifications
accidentelles les différences que j ’observais entre ces organes ; et dans
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Civett Pr®®(îue aucune manière les animaux qui constituent la famille des
Civettes Buffon déjà qui avait vu tant d’animaux, comparait cet animal au Coat "
et s, ce te pensée na pas été suivie, c’est uniquement parce qu’on a donné pi™
^importance aux couleurs du pelage et aux poches glanduleuses des côtésde
anus, qu à la physionomie et aux habitudes du corps; caractères bien supérieurs
souvent aux premiers, et sur lesquels on peut ordinairement, avec plus de c Z
titude que sur les autres, établir des analogies de nature
Erxle'ben Gmelin, etc. firent du Suricate une espèce de leurs Viverra, et ils
le placèrent près des Mangoustes et des Coatis, comme pour satisfaire à tout ce
que pouvaient demander les caractères extérieurs de ce singulier animal. Depuis
a nsi que je 1 ai dit plus haut, la difficulté a été tranchée : les Coatis onf été
rapproches des Ours, et le Suricate l’a été des Civettes, à titre de genre ou à
titre de sous-genre; mais sans que pour cela on ait eu d’autres caractères une
ceux qui avaient servi pour le caractériser comme espèce.
La description détaillée que je vais donner de cet animal conduira à rectifier
rapports."UneS Ü ’ | 4 ” * * C°nnaître “ " et S t a b le s
Parmi les animaux de nos contrées, le Putois ou le Furet sont ceux qui', pour
les apparences extérieures, peuvent être le plus exactement comparés au Suricate •
■et, parmi les animaux étrangers, c’est aux petites Mangoustes que cet un i iJ