LE GUEPARD
J usqu'à présent les
modiiicatk n impuri;;
circulaire chez lçs yt__ 3 . viuiB
plus vive. L’animal qui ciok fau
nouvelle , ei devj**jf
n a* a*mt: présenté qu une seule
, «pu c<m»**t;*s«. dans îa i ' I ® d e ia p u p ille , eufist-aimnea-i.
ei dautant plu» .étroite chez les autres, que h lumière est
1 objet de cet article présente une modftêcati. <n
ïmi m^mem groupe *mm<kïre;: ses ondes n«-
sonl ni rétractiles ni pi-opre» à décim-er, commeceux. des autre»
pendant les caractères essentiels, ie système de dentition. les sei
s former séi
raies de la tète. Scs ongles sont semblables,à ceux-des cirions; ils
des
dojgts et s'nsent ’dans la marebe, par le frottementsur;le sol •
¿saes offensifs, ni organes défensifs, cet animai a-r-il un na’t
le
cefcu des Chats proprement dits, qui trouvent dans leurs wtgles acérés e7t7amlanl
es mmcs plus cruelles et plus dangereuses encore que dans leurs dents
Nous voyons en effet que la nature: établit toujours des rappmts comütns et
om de’ m f T me enftr S penchans et *“ orSanes> que, plus les animaux
ont de moyens phystques de nuire, plus ils ont aussi de dispositions morales à
le W ; qu une trop grande-faiblesse le- rend-timides et sauvages, et nue ce sont
nom les facultés orgamqum, tes forces ne sont ni développées.
i ntes à
1 aPPr,vc
Elle d’n
prccieni
aciiemei
ubri
ci le u r RUchou
î faire «
ixn^uk « s conditions de leur existence
"ti'e fÿwpard est'dans ce cas: de la '
««‘ités des chats; iî a ausSî
tgoiireuse; mais,.doué d’un caractère
*r ieflèt «U: bons tra item eus, un animal
BteMé de l ' i i « u n de ses premiers
Gis -qu’on parle d’-
àppcis par les récits
parties d e l’Asie, 01
Chat tout-à-faif domestique.
I avernier, de Chardin, de
on se servait. pour la chasse, dY*h
Chittah da^ts î’ïnde. Mais on ire
cette espèce singulière; seulement
e ses caractères, pour la distin-
* chats-; tt il aurait été nécessaire
rndre raison du problème qu’elle.-,
>t-à-dire soumis à l’exercice'qui
is les plus profondes dans ’le v i s -
I19I!|
H: