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les: Siarnangs r&ssèmlÿiés en troupe* naæa-
^ÉWsf que les Malais croient invulnérable,
a^ile, et plus difficile à atteindre que
v-T>- a son lever et â son coucber, par
ha; eiw» math-, et qui 3e près étourdissent
“ Se î^veil jiMitin des Malais montagnards r
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individu. Sa mère alors, qui le porte
ï Jdîlw e t pousse des-cris affir eu,« en se
'X .ieir bras étendus. Mais on voit bien
f -, rnoMtre, car alors même ils ne savent
'1er wïi seul. Au reste -cet amour maternel