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L /eeís Lattns paraissent 'être< pa
mois sOus un rorn cH’itistf’t, main ils ru* IVuit ran 1
tes opinions se- sm«iït «tewwes sur la dénommaifoi
désign ei* cet animal.
Pline dit que dans aucune espèce les animaux
dans celle des-fohèvres, et il ajoute,' à ¡appui de <
suw, Hneicxpcuî, mni fniGEs,' tous trois . :.-,=io , i ,< V
noms que lés érudits et les savants «r ,n„t osttacé
de Cttpvea fût celui du Chamois; mais
parlant d es cornes = Dcdh ramosà Caprei-,sed pa
C h ev reu il, e t ne peut se ra p p o rte r au Chamois,
notes qu il a ajoutées S sa traduction de Pline (to:
oeïftï
la tète surchargée de vastes cornes:; or f o u
les Chèvres des Alpes, présente ce caractère
contraire, que des cornes assez petites. H ri
nom que i <>n s’est le plus généralement accord
d u Charnu,-, -Sa signification de ' Chèvre d e roc.,
tnt Capïu
qu
animai soit Ubex, qui cependant, ainsi que Pline' le’ rapporte.
- 1 on trouve cu co ic . dsns Pi
HScahgei* miai
auteur latin dit ab liv. XI, cha
P*gbivrys
uans .’
veut que
Bouquetm
qu au ISoum?» lin ; e
que cet animai a (es cornes cr<
est précisément le caractère d
;qui jpensait que cet animai éU
d u Kemas a si peu de rap p o rt
voir comment, un homme d’un
Ce peu de soin de la p a n c
voisines qui h ab iten t avec Jqi
eg am er 1
onvient
au - chatx
ciu 3»
lu Chamois. J e
avec l e Chaîne
si grand mérit<
les anciens pou
les Alpes, vient
x>mme te
mtant .à
X XV H
le î’idée
■ mi’Élie
et creét
nom la;
de Bë»
daient comme de simples
des doutes su r la na tu re
lio n s , pour d é rid e r si <■(
doutes sbai .u,; .• ,
eu d ’exemples, parmi tes
hlable à celle qui serait tu
d u Chamois, et réciprorp,
La pi u part des lie rb iv» .
ce qn ils
ni - même
conceerreur.
espèces
. v ariétés j e t nous voyons Buffon 1
de le u r c a ra c tè re , e t renvoyer :V de nouvelles observa-
•s animaux doivent former des. espèce i distinctes Ces
ans fondements : on est b ien assuré qu ’il n’y <a jaqiàîs
Ruminants armé., de co rn e s, d ’une transformation sem-
scéssaire p o u r changer les cornes d u Bouquetin en celles
ires habitent les pays chauds, ou du moins ¡es climats
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