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Ll o ü s . clcjii >'U 1 ■ -r ■ «* , ru publiant la figure ttu Tat^r (Je Fliwie.
du Maïba, de 6«v. u-t-a:!» fa »utiV eiHreume des deux oràsoem-s français,
MM. Diard et lu-- r :. . r.u.iuu. . <■ .. ^,-ul asadttt' div vtjejv., . et -.ans autres
soutiens que leu. < s,:,s.- <* faut- « V , ils «.ml ait* çxp.y.*»- leur l&Mime et leur
vie dans cet. an «y*! l'Asie, où Prâsaiwl'rite du «tn)rt «t la barbarie
des peuples fweut r,i fatales aux Européens, tnidi^tssi ou ij nature,
constamment piodigae, «*&•• 1 celui qui se consacre à -on- étuilè une mme inépuisable
de i’icfi -ïhv>. N<-u- pcnivons donner aupaurd'bui de nouvelle^ preuves de
leurs efforts ■ ’■ ■ sueeds. et appeler de nouveau sur eux la reconnaissance
des amis de .NW-i,-- naturelle : c’est, no Bonheur dont nous jouissons double-
menl, d . r ia vive amitié qui nous• attache à eus.., ,< î pur l’witérêt qi*n nou#
portons aux î »*• Wês d’une science à laquelle, tous nos tafèi’a sont < on£&ept%.
Le i&qpê*»*£- péétstit connu-des nalnraliv'es «ne ,jwtr les récits 1res- values de
v|ïï.;T;!i -!i-:- les têtes déeW**»k* 4*. *■ =.. n ; >u traicm dans les Cabi», u>
d r l i s t ù v i . et une ligure t u -i>rc*n.\i' {vtntn les Poissons <les Indes
de Renard, pi b,i. v:,, - «s| t-.;? .-.■ hh:4s avons crû devoir ¡donner nous-
no«r montrer à quei |j)|É Us 'de fat naiiike p^rjtWrtjfr^Trr
xtv.rj.ic çeux qui les représeniem m .. ,11 m fàèé tagrcés pour les
' i bien j.ngcr-(Cette ligure-est celle éju’on voit
au trait sur notre planche Ju Dugong). Ce»>endnnttout inafbarf&iu ,, h* Vtttk.ol
es comMtissàisces qi*’oït :• = -d. pu puiser à de telles , on savait, que lè
D u g s .a v a it les forme# j^aéraSea des Cétacés ; que, privé d’évents, il respirait
' que ses molaires à couronnes plates, et suscen-
ut =. -1 animal herbivore. Mais on avait'besoin, par des
ridîos. «k. confirmer ces idées, qui n’étaient eu partie tpse des
•r t**« ü î » ; m nunm fondées, et il était surtout nécessaire de connaître les
• internes avec ses organes- externe#, rapports sans les-
nn'” notion exacte et complète de ce singulier Mam-
■.rciO’nr'v seront, à cet égard, en grande partie satisfaits :
. tiiie des mains capables d'en faire fana tonne,
et de mbereîter died* . -<o ot-gau t-m.i les détails propres à le bien
Ce fut dans k dv'imi* de Singapour que MM. Diard et Ï.Kivancel se piv-enrêvent
un DugOiv.,. ij avait de sept a Huit pieds de longueur et de trois a quatre de
grosseur à r partie moyenne de son corps* c'est-à-dire où sa circonférence était la