d u g r a n d P l u v i e r . i i j
ou trois dernières nuits qui ont précédé ü mon, une
forte defiffleinera très - foible, qui n’étoit peut-être
qu’une exprefljon de fouffrance, car il avoit alors fur la
racine du bec & dans les.pieds de fort grandes bîeflures,
qu’il s’étoit faites en frappant contre les fils de fer de ü
tage, dans laquelle il fo rerrnioit brulquement dès qu’il
aperçevoit quelque objet nouveau.
Oîfeaux, Tome V III. P