
dégorger le poiffon qu’ils ont - , des, navires , 3 71. — On trouve
avalé, .3.62. — Leur manière de . les deux-efpèces à-i’îie de l’Afcenpêcher.
— Leur rencontre en mer . fion 3 .obfervations particulières à
annonce aflèz finement aux Na- ^ce foje tj^ ja. .
vigateurs le yoifinage de quelque F o u brun (le petit) ; cette efpèee,
terre, 363. —« Qbfêrvations par- qui peut^etrè.ne doit jpas. etréféticulièrés
faites à la côte d’Y ucatan parée de celJe du petit fou profur
çesoifeaux, 365. — C ’eft avec prement dit, fie trouve égaiement
. les cormorans que ces oifeaux fous à Cayenne, 74.
ont plus de rapport par leur cqn- Fou comrnun ; eft connu aux Antilles.
formation. — Leurs différences.
— Caraélères généraux des fous,
3 66. >** ;Struélure fingulière de
leur bec. — Leur cri. — Leur
manière de voler. — Iis fo perchent
fur les arbres, & cependant ils
aaichènt à. terre, 367^ — Us ne
pondent qu’un ceuf ou deux,
3Ô8..
F o u (le grand ) 3 cet oifeau e ftle
plus grand de ion genre, étant de
la. grofleur de foie & ayant fix
pieds d’envergure. — Sa defcrip-
tion, 37Z. — II fe trouve fur les
grandes rivières de la Floride. —
- Qbfervations particulières fur çet
oifeau ,373.
F o u ( ie petit ) ; fes dimenfions, &
fa „description, 374. >
F o u blanc} différence entre cette
efpèee & celle du fou commun.
^ r -> Le fou blanc ne fe perche
guère fur ies arbres, & ne vient
pas fe faire prendre fur les yergues
— Sa.grandeur eft moyenne entre
celle du canard & de l’oie f 3 68,
— Ses dimenftons & fàdefeription.
■— Il y a beaucoup de ^variétés
individuelles dans les couleurs '.de
cet oifeau. — ,Sa.chair eft noire &
fènt le marécagei^Lieux d# l’A mérique
où cette efpèee fe. trouve
en plus grand nombre, “3 âpf f
F OU de Baj£an,~2\rSi nommé parce
qu’ii eft commun dans la p©ti{ë>$Ie
de BafT ou Bafîan, dans le petit
golfe d’Edimbourgi/ Ç ’eft une
grande & belle efpèee dans *c,e
genre d’oifeaux fous, «'376., II
eft de la grandeur d’une oie.— Ses
dimenftons & fà defeription , '3*77.
— La chair des jeunes eft afièz
bonne à manger.,— Nàturel ftu-
pide de cet oifeau &:fa manière«de
nicher, .378. — Il ne pond qu’un
oeuf. — Les doigts qui font très-
longs, fentengagés dans iamem-
brane. — JLa peau du corps n ’y eft
1 attachée -que par un'ê ' 'efpèee de
: réfeau., de- manière qu’en la fôaf-
- fanttelle a’enflecomme un ballon ;
& il eft à croire que* ftoiftâfû-en
fait nfage jQjfqu’il veut .renfler ie
“Volume de fou corps pour fe fendre
plus Iég er* idans* fo ri'II arrive
au printemps, dans les fies duMofid
pour y niçher, & regardé* avant
l ’hiver s les climats , méridionattx;
F Q U tacheté ƒ il & lesàfesbeaueôup
plus courtes, .que tous les" Autres
. 'fous. — Sa deferiptiçn^ 3
F OULQUE, fe nomme aufîi morelje;
• c’eft par la foulque que co mmèÉ|çe
s la. nombreufe. tribu des véritables
^ifteau& ’d’eaU, -^,fFlie/Jeftd--.çii|i!ft..s
tamment .fur- l’eàu, & il eft très-r
. fate de fo voir à ferre, 2 11 . —
• Elle fe tient tout le jour fur ies
étangs qu’elle préfère aux rivières.
■ «— Ses Voyages ne fe font que de
nuit & par un vol très-Jiaut, i ’ia.
— Ses habitüdes naturelles: — Ma-
.nièred!en faire.'la ehafîè, 213.—
La foulque ne part qu’avec peine,
: foit ftw.daJterrèV foit ft».l’eau, &
• rien ne peut la contraindre à pfeh-
- dre la fuite pendant ie jour. — File
- pond dix-huit à. vingt« pèiifs'qui
font d’un‘ blanc. - laie, & prefque
aufli gros que ceux de la poule.
*— Manière dont elle fait fon nid ?
l m
5,14. — L e temps de l'incubation
^éft'’ de' Vingt>-déux' oü vingt-trois
— I^fpê#&yf©rtïht^du nid
& cad'reiit;’dÉ. '^ ,ii^' font, ééfiés
launè^Ue les reçhauiflè pas fous fes
'ailes.'— Iis font:couverts àfçdfi'âge
d’un duvet mSir & parpiflênt
iaids; — Les'oifoaUx^de'pï6ie,:Jes
bùfes, &c. leûf fpnl’ une’'cfueïie
guerre & mang^nt:auiîî ÿës %êufsf
dans le inid ; liiifli ^
quoique très '-i à cm m f rf’eft paS
fort nemhreufe.^individus', ^
p||La foulque rdthe.de1 JbèàrtS'Ifè'ûre,
au printemp1#. •— Efle idftëfin« nos
étangs pendait t ly pluS’grarM&pâhte
de« l’aiùi'&!^& fe^éunit eh grandd
troupes, dahsd’àÜtOttitie.^ & iotfque
des frimats. &/la ^gefée.ia chafîènt
des’ «aritons^éfeyés &5froidâ','-eîie£
vient dans ia plaine ©d ia tempé-
ture eft plus’doù'qe ; & f-eft fargiâce
ou ie manque d’éau5 plus ,que ie
froid« qu if oblige- à changer- de lieu;
exemple« «ànJeiujet ,-.2,16.'— Elle
■ va de; proche« éùfppéeheî dansi les
■ éontrées-.plus tempdre’es, & revient
de très*.hônne; heiite au .printemjts.
,-^L?eipèee eft répandue dans tente
f Europe / depuis FftaJie; jufq#en
‘Suède î ”»on' ia« cônndît également
en A fie, 2 1 7 .— Sa defeription,
z 1 & « . a ' manière de « vivre. "
Sa chair fient upt peu‘le marais.—.