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•connota fous en d’autres /bus celui
fe^ ^ ^ ^ .jq u ’3^:-m^ii^î'--bku'‘j>ar;]jes crisnimportuns'
& |Êfrfb&t ■ enten dre,- pour peu qu’ils ïbient’
iîïqttil|eà>i& tant qu’ils nourrHTent leurs petits; ce qui
efl long;,'car ce n’eft • qu’au boùt dW mois ou cinq
femainest/^que les’- jeunes’ commencent à voler. Les chaf*
ïfürs nous aflurent queyees pluviers/ ne font point de
[nids., & qu’ils ponden^ûa: 1 le«grav«iec,du rivage> des
oeufs verdâtres; tacheté^ dé “brun ; les père •& mère le
sachent* dans*'Tès trous& fôus les avances des rives (a) t
Iiabhudés d’apr^s^lelqu^HeMes *Orriithologiftes ont cru
reconncûtre ,'dans .get. q i^ u , ;le -,çJiaradrios d’Ariftotei
lequel lùivant ia force du mot, .çft habitant décrives rompîtes
À dont le plumage, ajoute^çé Philofophe,
na rien d ’~agrmble~, -non tphs - que lavoix f e j : -le- dernier
Irait dont Ariftote peint fon cfiâradrrqs; qui fo r t la nuit
'ir je jtacîie 'lejourfdf, lâns paraSérrièr auffi .précifèmènt
If pluvier .à. coJliqÉ,, néanmoins , avoir rapport à lès
allures du foir &, à, fon .cri , que l’on’ entend trèsrtard
jufque dans .te; nuit. Quoiqu’il'enlbit, le charadfios
eft dk ' hdmbre" vdé&;s êilèaü^è" dâni lê^^ls^^i’aincièririè
. dfijl htlprd latilat. KAgi i f t , : {
(b) ,Aïift,ophaîie jfjonnte .àu.charadriôs ia fonÆon .d’apporter de...Peau
$tns d% vi|iet*’dei\ pifetox/v ,
.ét'-.fitxtti & cavernas; ut queix
al^^dorodr4mf\ 4ÿéâllam^fijq^kiatirulam dixemf
Rjaya hoe^a^dtiMl°Xe fy-voce. AÆouHyi.- animal, lib. IX, cap. xiv
(d) Et ntfflu apparetii dü’ oujugit, Ibidem» *