
avec la taille «& à peu - pæès- la
- conformation du cincla ou dé la
l guignette, ont lés-piéds femblables
% - ceux de la fo\àq&b<&> Ge-font
efe effefdc petits Mcaffeâùx .eu
petites guignettes auxquelles- la
Nature a donné des pieds, de foufc
: - que ; ils paroiffent appartenir aux
terres ' ou plutôt :aux.eaux des I
: régions les plus feptentrionales,
: ' -
P u AL à R O P E J fejtons dentelés ;
: çes feftous- ne font p'as découpés
- net, mais délicatement dentelés
. dans la membrane des pieds', &
■ ils diftingueriiTcete efpèce des deux
autres. --- Sa-- défTçription..r — Elle
eû de la groffeur de la bécaffitie,
- 226. , :
P ha L A r o r E cendré ; fes dimen-
fions, fa defçription, 224. — Son
- cri, '225-
P h a l A RO PE . rouge ; là defcrip-
t io n , 2 2 5 . ;>
P H É N î C OP T ÈRE. Voyez
E L A » »AN T.
Pie be mer. Voye^ Hgitrier.
f ï E R RE-G-A RIN, eft le nom
qu’on a donné fur nos côtes de
Picardie,.à la plus- grande efpèce
d’Mrondeflés de mer qui fréqén-
tent des parages, 3 3 î • — Ses di-
Jnenfior&è — Sa defçription. —
Plie arrive eiï grandes troupes p t
; printemps fur nos côtes , & plu-
fteurs fe difperfent& le répandent
fur les rivières, fur les lacs & fur
les étangs-, .332. — G es grandes
hirondelles de mer fe portent auffi
au large fur la mer à plus de cinquante
lieues de diftance des côtes.
— Elles nichent en grande quaiv
îité dans l’ïï'é dés Sakdges. près de
celles des Canaries.— Leur naturel,
leur manière de pêcher.. Promptitude
de leur: digeftion. w— Leurs
I f combats en fe difputant la proie,
333' — Temps de leurs nichjees,
,— La femelle pond fur le fable
• nu qu’elle -çretife ; elle fait deux
ou trois, oeufs qui font gros eu
. . égard à fa taille-. — Xes oeufs , ne
font pas-tous, de la même couleur,
les uns font gris # d’autres, bruns &.
d’autres prefqueyerdâtres;;; ceux-ci
•viennent- probablement des; plus
. jeunes femelles, 3 3*4.—La femelle
ne couve que la nuit, & pendant
Je jour , feulement quand il plçut,
__ OLfervations: panicuHèresfuv
les nichée^ de ces oifeaux.; — Def-
criptidn des jeunes-pierre r garins,
—- Leurs habitudes ,natu-relles ajnft
que celle des- vieux# j c j f . -— Les
petits ne peuvent voler que dix
foraines, après leur naiflànce, par*
ce qu’il faut tout ce temps pour
que leurs longues ailés prennent
feu?
leur accroiffement. -4 “Ces oifeaux-
partent & quittent nos; côtes; J e
Picardie >ÿers la mi-^oât ;
P I E T T E ; on lui a .suffi donné le
nom dereligieufe';x’eft-une efpàce
de harle,. 27j . — , Sa , defçription.
***■ Sa-grandeur eft- entre celle de 1
la farceife & celle du moriffop,
276, Différence entre le mâle
& la -femelle# laquelle ne porte
point de. huppe ,' 2 77, . £
P l P I X C A N . P b j^M O U E T T E
xf^ # f *43 L
P LONG E'O N «. , Cara&ères- géné-
- rauxqui diffinguent les plongeons
• des ^autres oifeaux, plongeurs. — ;
Les plongeons, comme, lés grèbes,
ne peuvent marcher que très - difi
1 fiçSemeyat'# z j o. j Mais - ils* fe
meuvent dans l’eau avec-tant ; de
prefteflè, qu’il eft difficile de les
tuer au fufil , & qu’il feut cacher
le feu de l’amorce, fans quoi ils fe
plongent & évitent le coup.- —
Nous côrmoiflons cinq efpèces
dans çe genre, dont deux fréquentent
également les eaux douces
& làlées dans nos climats# & les
trois autres paroiflent êtr-eaîtachées
( aux mers feptentrionales # z é i .
P l o n g e o n (grand)? a eft à
peu-près de la grandeur de Foie.
Il fe trouve fur-les lacs de Suiffè,
251. — Ses habitudes naturelles.
■— II refte -très long—temps fous
Oifeaux, Tome VIII.
> l ’eau, &’évite en fe plongeant les
attaques, de tous fes ennemis-.;. on
.‘né. pcst.Je prendreJqu’avec des;
. - filets, 2 j 2.—Térapsdeifes ^chées
V & pofitipn de fon n i d 2 33:.^+Sa
ï| t i {.1
P.L G N G-EO N -;(petit) ; il reffemble
au pretniçr par les couleurs ; 1 fe
: defçription. -r, Ses dimeuftons ,
. ; 2 5 4. WW -^es habitudes naturelles.
- -— II refte en ..tout' temps;-für no’i
- étangs, à proins que les. glaces nô
: le fbroent à’- chèroheri Jes *eàux
courantes. — Il pond >tn<pis on
- quatre oeufs.- — Sa^^ manière de
• nager & de plonger.’-— Obferya--
- tion -à -ce fujét -,’
P L G NG-EJ) N l ‘Cat-marin ou chat de
-- mer, ainfi nommé par les Anglois
; & les Picards, parce qu’il mange
-èc détruit beaücoüp. j e frai de
jfl poifîônj||fes refîèmb lances . & fes
f différences aveC- le plongeon cdm-
nam. — Le gros de. l’eljjèce va
•’ ïriph^- dans détentes ptefepten-
■ trionales. — Cependant quelques-
uns font leur nid dans les-nochers
de «fes «êtes de Picardie , 2 jd» —
$ Habitudes hatûgejlgsde césoifeÿux.
«rr Leür-nôuitfiB*re.— Ils foriL tou*
- jours fert gras.— La femelle eft
■ plus petite que Je mâle.— Différences
pour la couleur entre les
| ^ jeunes & | les adtdfes, 237. —
' Varfétés-danslcette e^xèce)