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feulement dans les mers de notre
.. Nord; mais fur les côtes d’An-
; gleterre, & même en Grèce &
dans . les mers vcûfines die l’Efe
pagrië,, mais_ayee quelquesdifïè-
; reaces dam'les couleurs qui font
. très - variables dans cet oifeau , •
42 6, -T- Cette mouette tachetée
s’écarte quelquefois fort .avant
dans les terres ; on .en a vu en
Bourgogne , en grandes troupes
au mois de février 177 5 . — Ob-
fervations particulières à ce fujet,
4 2 7 .'
N
^ÏlGAUD. Voye\ PETIT CoR-
morand.
Noddi , nommé très-improprement
-—moineau fo u j il ne reflèmbfe point
du tout à un moineau , mais à
s une grande hirondelle de mer , ou
fi l’on veut à une petite mouette ;
il pardcipé'de ces deux oifeaux
dans la conformation. — Sa def-
cription. -— Son nom noddi exprime
en Anglois , l’efpèce d’aiïùrance
• folle avec laquelle il vient fe pofer
fur les mâts & fur les vergues des,
navires, 463. — L ’efpèce de cet
oifeau ne paroît pas s’être étendue
fort au-delà des tropiques; mais
elle eft très - nombreufé dans les
lieux qu’elle fréquente , comme
£ JS
près des côtés, de Cayenne , 464-
. «— Manière dont de noddi pêsfa©
en troupes. — II fait fa ponte for
le rechne tout ntt, 4Ö5 J -Si
O
O I s E A U x . Tous lès oifeaux ont
une plus ou moins grande quantité
d’air répandue dans tout le
tiflu de leur corps,. & particulièrement
dans le tiflu cellulaire,
qui eft au-deffous dé leur peau ,
& ils peuvent augmenter ou diminuer
à volonté cette quantité d’air ,
pour le rendre plus ou * moins
légers | en augmentant ou diminuant
ce volume de leur corps. —
Exemple for le^péhçapi 304.—
Dans tous les Oifeafee dont les
oeufs, font teints-y'ceux fdes
ont les couleurs plus foncées- &
font un peu plus gros & moins
pointus qüe ceux des- jeunes, for-
tout dans les premières pontes ,
! 3 34*
O i s e a u x d’eau ; la plupart des
oifeaux d’eau , tels que les pluviers
les foulques , &e. voient
très-bien dans l’obfcurité, & même
les plus vieux de ces oifeaux ne
| cherchent leur nourriture que pendant
la nuit, 213. — Ceux qui
ont les pieds palmés & qui, dans
nos contrées, ne fe perchent
D E S 'M A T
tenais fur-fes'arbres^'s’y perçhénfc
en Àmériqatef'’ ;
O i s e a u x \.d$. J e^ p fe s ig rA tid ,
nombre des oifeaux quife trouvent
for les-rivages :de ia mer,;a%
copvent pais afliduement feors
- ceufspjls hilfem au' fofeifpendant
. Une partie du;jour, Je foin dejes
I échauffer ; ils 'les quittent pour
l’.ordinaire -à.neuf ou dix heures
du matin, & ne s’en rapprochent
que versies trois heures du foir,
à moins qu’il ne lurvienne de la
pluie', i z j i
O lS EA-U x du T r q p iip ie ïjÿÉfli
® nommés, parce qu’ils ne.fe tr©u-
verëtgnèse qu’entre ies. deux 31ror
— piqûÊS 1 3 4® • — &spar©iflènt iSf^pr
- • rêter. de préférence fer. les Mes
foûées dans k^Zon© torride ; 34p.
— Ils ^’éloignent foeùvexit vdes
terres' à des diftances prodigieufes,
''’Kgiyçi.—-Ils ont le vol: très-puâ@iànt
& très - rapide, & ils ont en même
temps là-faoülté de fe repofer fur
3’eau. — Leurs pieds font entièrement
engagés dans la membrane,
& néanmoins ils fe - perchent for
les arbres. — Leurs refîèrobiances
avec fes -hirondelles de mer. —
Leur groflèur eft à péu-près celle
d’un pigeon commun , 351. —
Le- caraélère le plus frappant des
" oifeaux du Tropique, eft un double
/ M R E S. icxvï)
long brin qui ne paroît. que.coxnine
une paille implantée à la queue ,
& c’eft deià qu’on leur a , donné
Je npm-.de paille-en^queue. — Def-
cr%tje|i, brin qui tombe
daqs fe -tenaps de la gfyg. — L f f
InfuJaipes d’Gfaïti & E Caraïbes
d’Amérique, fori^cfesj.^pqienjçrïs
de;ce5;;longs brins , 3 .5 2. — Habitudes
naturelles de ces oifeaux,
Toutes relatives..à I©ur;#$paforma~
P ISE4U du Tropique grand ) ; ‘iï
- égale ou furpaffepla taille d’un
. gros Pigeon; de volièH _ Sa
defeription | 3 54. — II fe trouve
è'.Tîfeï Rodrigue ,, à-celle de l’A f-
• cenlion & ' à Cayenne ; c eft le
■ > pbts- grand des,3, pifeau.x^déï>t®
genre 5, -3 j y y | ■
Oiseau du Tropique ; ( petit ) il
- î1 eft que - de la taille- du petit
pigeqn commun ou même aü-
defîpus. — Sa defeription, 3 5 y —*
5pn' ,,^tïi^<%;|feqs,,ffequél;;.b|î
. • ne trouve que ■ deux-oeufs, blan-
- châtras & un ipeu-jplqs ï grqs::/que
- dès- oeufs d e -p jg é o n
O J S’E A-:U- du-Typique (|pàri-éti|.‘dir
: petit ). cét oifeau: offre plufieurs-
: variétés tant pour la grande urique
poux:les couleurs, 3^5. é, : •
Ois eau > / , ࣠rouges.
Sa ■ defeription. —; Obfervàtiari