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pQhdënL ioüs tel m<5is de i’arthéfe^déux ou trois oeufs
Où quelquefois un foui fur ïa pèche toute nué (b )v \ \
L E F O U B L A N C . (c)
Seconde-
N O us ÿenohs de remarquer beaucoup de diversité du
Blanc au brun dans l’elpèce précédente ; cependant il
ne nous paroît pas que l’on puiffe y rapporter celle-ci,4
d’autant plus que Dutertre, qui a vu ces deux oifeaux
yivans,. |e's diflingue i’un . de. i’autre ; ils font en effet
très-differens, puifque l’ùn a blanc Ce que l’autre à brun ;
favoir, le dos/ le cou & la têté, & que d’ailleurs celui-ci
eft un peu plus grand : il n’à de brun que les pennes de
l’aile & partie de fes couvertures ; de plus il paroît être
moins ftupide ; il ne fe perche guère for les arbres &
vient encore moins fè fàire prendre for fes vergues
des navires, (d); cependant cette. ,feconde efpece habite
de gros oifeaux qm’on nomrtie fia s > parce qu’ife fë laiflènt prendre
fans peine5 'en-peu de temps nous in prijftes depjx doupingsi .il#
Leur plumage eft gris ; on les écorche comme on fait fis lapins.
Lettres édifiâàtes , X V ’ Recueil, page g S 9 -
(b) Caroline, tome I , page 8 7.
de la fécondé forte. Dutertre, Mifioire générale des Antilles,
tome I I , page 27 J. — Sala candida remigibus ntéjoribm jk fth ; refiri-
tibus candidis ; oculorum ambitu nudo > rubro. Lè Foù blanc. BrifTon,
'Ornithol, tome V I , page 501.
(d) Dutertre, ubifipra.
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