
vYij T A B L £
feulement -accompagné de là femelle';
ifes autres habitudes naturelles
; là -manière de ^pêcher.
-Ses dinienfîons, fon cri, des couleurs
À ù. defeription, 43'. —r On
l’a mat-rà-propos appelé flammant
des bois, 44.
C o u # l i s .{grand ) de Cayenne;
-c-’eft le ,plus,grand des courlis; .là
-defeription,-47.
C p u * aL.1vS de terne. ; foyrj -grand
P l u -v i-e-r.
C o u r l i s - d’Italie. Veye^ &&V R-
-JL-I S vert.
C o u r l I s -du Mexique. Voye^
Ac a l p ï ,
C u r i c a CA -(le) doit etre féparé
de la famille des courlis, 46 & 47.
* *
Üj CHASSE; «et oifeau eft ainfi
-nommé, à caufe.dei’exceffive haute
urde fes jambes qui font trois
dois loques comme -Ion corps
114.—Elles lui permettent à peine
•de -porter fpn bec à terre pour
prendre fa nourriture. — Delcription
des jambes & de la marche de
i ’échaflè, 11 j . —■ Mais «et oifeau
vole auffi-bien qu’il marche mal.
— Sadefcription, 1 16 .—L ’efpèce
ne paroît pas être nombreufe. —
Cependant elle dit aflez répandue
depuis l’Italie jufqu’en ÉcolTe. —
Elle -le trouve aulîx dans îe mou-
veau -continent, 1-1.7. — A la J a-*
maïque, en Efpagne, &c. 1 1 8.
Ég ïp t *IEiN)S : oe ipeuple suffi trille
que vain , »fut l’inventeur de Part
lugubre -des «aomilk, :par lequel il
vouloit, peuTairtfudire, étemifer
la mort ; non-leulement les Egyptiens
embaumoient les cadavres
humains , mais ils vconfervoientéga-
lement des corps de leurs animaux
iàcrés;, j - L e s oifeaux étoient
enfermés «buts des pots de terre
cuite, dont l’orifice eft bouché
d’un ciment , 6.
E-m b>ergjx>s;e, Mçyez Imsrim.
É r o -u v e KiT Vaye% G u i f e t t e
noise.
F
F a V o Rfi T iE., efpèce de petite
poule ftdtane .de la Guyane , qui
m’eft peut-être que la femelle de la
petite ,poule fultane de cette même
contrée. — Sa defcdpÉon , 207.
El. A'M M A)N T OU PH É N lCO f-
fl ÙcR E ; origine de ce nom’llain-
mant, 476.0#*.. Cradères :prmch
paux & très - apparens de ce bel
oifeau. — Il paroît faire la nuance
-entre Ja-grande tribu des oifeaux
de rivage <& «elle * toute aufli
grande des oifeaux navigateurs.
_ Defcription de fes parties
d M ' a
extérieures-. •— •>'&& dfeiefiftbità' &
foi poids. —--Stonï pfomagé eft de
couleur- de feu fur lès ailes« Si- fur
quelques autres parties du! cdr-ps,
478. — DdfcriptiG» pa-ttrctdi'èret
de fbn -bec, 479*. —©n- voit quèl-
ques-unst d© ces oifeauxfed Méfie
& en Provence, &■ en* pftrs- grand
nombre en Efpagne , 4S1,. — Le
fFammant eft naturel aux- climats-
chauds des dèux eontihens.— II
ne fréquents pas» (fes1 pays1 froids,
48 — Lieux particuliers où- ifefe
î trouve en plus grande quantité,
484. <— Celai- d’Amérique eft1 le
même ; que ceux d-’ Europe- ’ &
d’Aîfiriqtte. L* P^Htout- il fefc fo i
nid fui- les îles halles, 4 8 ^ —
Defcription de «e n i d Sk attmide
lingulière de l’oifeau pour- couver
fes mqfs,;cpà ne font qu’au nombre
de dmix';Ou!'w«Ss^ 487. »— Ces
oeufs font- blancs & gros* confine
ceux de , i ’;oie. — Les petits- -ne
commencent à voler que ferfqtf’ils
ont acquis prefque toute leur grandeur
; mais ils courent avec une
vîteffe fingulière pende jours après
leur naiffanee. — Defcription de
leur plumage & des changemens
qui y foryiennènt-, 48; 8. — Ms ne
prennent leur belle couleur rouge
qu’avec, l’âge., 489. — Manière
.dont ils cherchent & prennent leur
R E S.
• doi^iïufé. >^:;0és oifeau* parcüf-
fent-attachés- aux rivages-de la mer
St aux* embouchures dêS 'riyrères,
‘ 490: — Br ?ëŸf $ remarqué' que
quand - on' voufeif fek nourrir en
domefticilé- ff fatîoit * léurr donner
à-boire dè i’-èau làïék — Leur iria-
nière- dé fe* ranger- err ligne & de
VjÉèèfteR etf troup es, 1. — Leur
eri eFalàrrrre eft afïtz *femblabfe,au
■: (foi- d'une trbttipett'ë, 49 a^L'eur
I ehair eft un- metsiïréèhfercfié*, dont
‘ le goût, reffemblérort alféz *àr celui
de la perdrix, s’if n’y avoit pas en
même temps tiné'fêgère odeur de
marécage, 49*3’. — La pekU dè ces
raoifeaux ferf aux xifêmes ufàges que
celfe du cÿghef' é- Oit peut les
: appfivoifer allez., difémenr, 49
—- Leurs habitudes en domellicité.-
— HV refufënt dë fe multiplier dès
qu’ils -bnt-pferdU leur liberté,*.497.
Fo u. L ’ê^ièEë' du fou eft répandue
dans toutes IesWers’; c’eft unôilëau
ftupidfe qui fè laiffe prendre' àifé-
II ment. — îlne paroîtïpab cônno ître
l’homme, ni avoir- ^>pns à s’eq
déRer, SpSasi lés oifeau*
t de ce genre bni beaucoup de peine
* à -fnett'ré en moUVérhènt léurs lon-
" guesaflés, 3dT.-^Leürpfes'grahd
ennèmi ; parriif les UiTeatix ,“*’eft
celui qufert appelle ta frégate; qui
les force à1 livrer leur profey*& à
S f f ij