
- Sën cri eft allez femblable à celui
- dé î’^ffraiè-*- 18SL
J a c AN A noir; fa défcr%tî®n. —
IIIfeï trouve au Brefil, 1894 *
J AQA:]NA-:«lcA , eft Une efpèee .
- peu différente de cello du jacana
- vert, i 9ôl'—— Sa defcription. II
& fe tfert de fes dirons aux épaules
1 pour le défendre;— Il eft commun
à la Guyane* — Ses habitudes naturelles
, 19 I • ;
J a c a n a vàrié-. S * defcription,
19 2* — ILfe trouve au Brefil & à
§ Cartagéne., 193 p ;
J a c a n a vert, c’eft le plus bel
oifeau de ce genre. — Sa- defcription
, 189.-*- II fe trouve au Brofil
ainfi que le jacana noir, *90*
K
K apoua. 'Voyez Jac an a- péca.
K i l d i r (Je) eft un pluvier de
Virginie, .ainfi nommé par la ref-
. Ambiance de ce mot à fon cri,
96. — II eft fort criard & très-
. commun à la Caroline & en Vir-
- ginie ; là figure', fa defcription,—
. II ri-’ y a prefque pas de différence
entre le mâle. & la, femelle. —- Cet
oifeau paroît être le même que le
pluvier à collier de Saint-Domingue,
98.
Kingalik , pifeau du Groenland,
a,.. auquel les Voyageurs donnent, le
nom de poule , d’eau. — Sa grandeur.
^—f Sa tubérofité fur le bec,
1-83. — Defcription du, mâle, là
. différence .avec: la femelfej. 184* E
K 10 1 o , eft le nord que l’on donne J
- , à Cayenne à un oifeau du getaïe
des râles, parce que ce mot repré-
- fente à peu-près fon «ri ; ou plutôt
fa voix de réçlame qu’il fait en-
» tendre à l’approche de la nuit.—
i, Ses habitudes naturelles, fon nid
dans lequel la pluie nè peut pénétrer.
— II eft encore plus petit
que notre marouette* — Sa. def-
eription i 164,
K j r m e w & Voyez M Q V et t e
. ïieufe f, 4j.jrj
Ku tg eg h e f . Voyez jMQVETTE
tachetée.
L
L A B B ou S t E.ItCifNft AIR E. Ses
différences & reffêmhIances,;aŸ9C
les mouettes, - r II eft enneini*de.
la petite mouette cendrée tachetée
qu’il pourfuit fans ceffé, 440.—
Sa nourriture . n’eft pas " la fientô
des autres oifeatix comme on le
croit vulgairement, 4 4 .1 . — Son
vqI. — Sa manière de vivre. — Sa
préfence indique aux pêcheurs
les endroits où fè trouvent .les
harengs,—II ne va point en grandes
troupes, mais feulement en petites
compagnies
DES" M'A
- <©mpagnies.,dé trois du quatre,
442. — Manière dont il force les
mouettes à dégorger leur poiffon.
— La -, femelle pond | fes. oeufsf fur
. les rochers ; le mâle eft pîtis» riqiri
& un peu plui^grps qu’épia fj&mqHei
- |— ,Sa-gÿarideür', la, couleur ,i 'fà
• figure & celle de fes parties^e^é-’
.s rieu.resd-4 441* — Son magnwen,
fon cri. -jjv Sptîj.efjjèée, n’eft pas
jj nombreufe, 444. —- Cet oifeau ,
par ia fqrrne des fon* bec,- fart la
nuance • entre' lés- mouettes &- les
pétrels, 44
L A B B E. à longue queue,.; ■ il porté
k. deux longs, brins au milieu de fa
queue , ,& ce caraûère le difting.ue
- -de l ’efpèee précédente ; description
de fon plumage. — II fe trouve
en Sibérie & en Norwège,. 4 4 j.
■— On le voit auffi fur les côtes -
' de la baie d’Hudfon,- 44 6. — II y '
a quelque apparence que les. deux .
efpèces de labbe peuvent fe réduire
" à une feule, & que celui-ei qui a
de longs, brins à la queue eft le
mâle & l’autre la femelle ,• 447»
hüMME ou petit plongeon de la
|... mer. du^Nord.— S on nom lumme,
I fjgîiifi® - boiteux langue Dfp-
■ pone, & défigne: la démarche
pénible de cet piffau qui eft un
.petit plongeon, 261. — Sesdû-*
menfibns , fa defcription, — Il ne
Oifeaux, Tome V l lL
T I ÈRES . XXttÿ
quitte % g u è r e les mers du Nord,
b ,— II nourrit &:.élève fes petits avec
j une follicitude fingulière , -2.62..
.. *— Obfervàtïons d’Anderfon a ce
- fujet f — H féj trouve dans
r -,'les partiesfèptentrion'ales dés dçu x
# J’j^f^inonSi ,.,'264» — Le lurrcb^ du
m - Spi^zberg ,, indiqué par iMartens,
; par-91^ .être ■ digèrent dpi lummes
» dm Grqënland, puifqujii a le bée
prochu,,, •>,?&!
M A c R o , 4 îéift. unq.,,elpèce*de
foulque plus grande que la morelle
ou foulque commune-, mais qui a
, la même figure & les mêmes habitudes
naturelles-. — Ôbfevatkms
fur - un :de> ees , c^feaip - vivant- en
captivité, 0,404'.
Mallemugke'. V o y e z C oéland
varié ou Grifard, 41 6. s'il
Ma rou e t t e , petit râle - d’eau
qui n’eft pas plus gros qu’une
' alouette-----Defcription' de fon
, plumage.— On l’a appelé râle perlé,
parce que fon plumage eft joliment
émaillé.— S'és habitudesvriaturel-lè^
r'57. — Defcription ete fon nfd;
manière dont il l’attache avec un
. lien pour le Iaiffer ïïot-ter fur l’eau,
— Sa ponte' eft de fept ou huit
oeufs ; les petits font tout noirs.en
naiffànt; ils- ne reçoivent prefque
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