
; à conduire fes petits qui ne pren-
- nent que tard affez d© forces pour
: pouvbir tèâlery; a to . Ils font
*, rtgufiirpinçnt deux pontes par <an
f> :dans4’He''d^jMalte, l’unê au prin-
■ • teidps & l’autre- au mens d ’août, —
Les jeunes font Ull fort bon-gibier.
: — Ce grand-pluvier OU courlis de
I - terre ne s’avance point en -été
dans le Nord* comme font les'
autres- pluyiers $ ï 1 1. Obfer-;
Varions particulières fttr les habitudes
de cet.oifeau dans l’état de
- -captivité, n i , :
P l u v i e r { petit ). Voye%
G ti I G N a R i>.
P t u VIER à aigrette ; il eft armé
comme le pluvier huppé, -d’un
éperon aii pli de l’aile , & il afur
-Jar-tête une aigrette de plus d’un
; pouce de longueur. Sa grandeur
, lès dimenfions j ppi Sa
déicription. — H fe trouvé au Se-
‘ negal & dans quèlques-unes des
; contrées méridionales de i’Afie,
3!rfÔ^‘îv'!
P L û V i E R h cbltïer> II y a des
vanétés de grandeur dans cette
efpèce, 90. — Le plus petit pluvier
à collier n’eft pas plus gros
‘ qu’une alouette, & c’eft le mieux
confoi & le plus répandu; le plus
gftnd eft de la groffeür du mauvis,
: ^1. — Et il y en à de grandeur
intermédiaire. — Leurs deferip-
. lions , 92. — Çette efpècë : fe
trouve dans prefque tous les: cii- '
mats, depuis la Sibérie, jufqu’au
cap de Bonne - elpérance , ainfi
qu’aux Philippines & à Cayenne,
& du détroit de Magellan à la baie
d’Hudfoii., 93. —- Les pluviers à
b collier , vivent au bord des eaux
- de la mer , & fuivent le cours des
marées ; iis courent très-vite for
la grève , en bondiflànt & en
... criant. En Angleterre, on trouve
leurs nids for les rochers des côtes,
ils y font très-communs comme
- dans la plupart des régions "du
Nord. — On en voit auiïi quelques
uns fur nos grandes rivières
de France, 94. Les petits ne
commencent à voler qu’à i’âge d’un
mois ou cinq femajnes; on affine
que ces oifeaux tte font point de
nid, & qu’ils pondent for le^làbîe;
leurs oeufs font verdâtres & tacher
tés de brun, 95. =
Pluvier à lambeaux ; pourquoi il
eft ainft nommé; il fe trouve au
Malabar. — Sa grandeur, fes di-
menflons & fa defeription, 10a.
P l u v iER armé de Cayenne; il eft
de la grandeur de notre pluvier
doré, & plus haut de jambes,
102. — Ses autres relfemblances
& différences avec le pluvier doré,
’ fa defeription, 103.
P l Xj V IE R coiffé ; là defeription,
DES M A
100.; — Il fe trouve au Sénégal,
Pluvier $®itranné-, eft un des plus
: grands oifeaux du genre des«plu-
, yifers ; il fe trouve* au qapvde
. Bonnèrê^pérance. — Ses dimenr
'a fions« Sa;defeription • lo 1.
P L u v I E Hj doféj'fv. grandeur, fes
i dimenfions, 8U^^Peferiprioïl
1 de > fon plumage & de fes autres
parties extérieures^-t8 at — Il y
a peu de différence dans le pliri-
. mage, entre- le mâle & la- femelle.
Mais les, variétés accidentelles &
individuelles, font très-fréquentes
' dans cette e{pèce.> — Il y a de
, ces pluviers dorés qui font prêt
- que tous gris, lîf.ÿsv Ils affivént
^ for les côtes -de Picardie à la fin
. de Septembre oui au commencement
d’O&obre, tandis que
. dans* nés autres Provinces plus
méridionales ils ne palîènt qu’en
i Novembre & même - plus tard;
.ils repâïfent en Février & -en
Mars, pour aller paffér l’été,
en Suède, en Dalécarlie, &c.x-|Ç:
C ’eft fans doute par les terres
Ar&iques, qu’ils ont communiqué
• au nouveau Monde , où ils fe
1 font répandus plus aü Midi que
dans l’ancien ; car on lés trouve à
la Jamaïque & jufqù’à Cayenne ;
ils y habitent les SaVannes, leurs
' troupes y font très-nombreufes &
- r fe Iaiffent difficilement approcher;
i mais on . ne les voit qùe dans le
temps des pluies, 84.
P L gorge noire1; il
• . habite avec le pluvier doré, proprement
dit, les terres du Nord,
;. Qu. ils font tous-deux leurs nichées,
m 8yiv-- .Sa defeription, Sa gran-
t deur eftég<ale ; à celle du pluvier
--doré, 8
P L u Vl e r huppé, fe trouve1 en
Perfe, & il ,eft là peu*-près,. de la
- taille du pluvier doré ; mais il eft
11 ùn peu, plus haut de . jambes, —
H S» defcri^em, 9 8, — Il eft armé
- d’un éperon au pli de l’aile, 99.
Pluvier fcilcfir. Voye^ Kildir.
Pokko, nom que les Nègres, du
| Sénégal donnent au pélican, 292.
Porteur d’eau. Voye^ Pélican,
: 29S- «
P o r z a n e , eft une poule d’eau
qui eft commune en Italie , aux
environs de Bologne. — Ses di-
: menfions , -178. — Sa defeription.
— Les couleurs de la femelle font
plus pâles que celles du mâle,
-• *79- y
Poule d’eau ; comparaifon des
poules d’eau & des râles, leurs
reffemblances & leurs différences,
v 1 7 1 . — Les poules d’eau font la
nuance entre les oifeaux fiffipèdes,
dont-les doigts font nus & feparés,
& les oifeaux palmipèdes, quj les