
peù-pirès de & groflëur du canard.
•— Différences chi-mâle &• de là
‘ fëmefle. — Il le ‘trouve auffi au
fl A4éxiqnëy ££8$i '
H A R !» R ét&Ué; cettè efpèce .mieux
décrite & mieux connue, pourroit
: bien n’être- qüè la femeüe de ia
pietter— D efcription de cet Oifeau,
| B | | "-V-* | I ’ - * ‘ M
H A R l É huppé ; defcription de là
1 huppe, i— II eft de la groiïèuï du
• canard. — Description de fort plu-
- inage, Api4— Différences entre
- le mâle & la femelfe. Ü— Contrées
de l’Europe où le trouve cet
oifeau’, 274.
H a r l ï huppé ( petit ). Voye^
P i e t t e .
H imantopus (I*) des Anciens
l li’eft pas l’huîtrier, mais l’échafle,
- difcuffion critique à ce fujet, 12 6.
H IR ONDEE LE S DE MER (les}.-
* On a donné ce nom à une petite
; famille d’oifeaux pêcheurs, parce
qu’ils refîèmblent à nos hirondelles
de terré par leurs longues ailes &
leur queue fourchue. — Leur voL
• •— Elles prennent^ en volant leur
nourriture à la furface des eaux,
3 26 .— Elles different- des hirom-
delles de terre par la conformation
du bec & par celle des pieds. —
EHes n’aiment point à nager &
font prefque toujours en l’air ; elles
fréquentent également îa fliéf, IdS
rivières & même les étangs ; elles
tSfenent en tsoknt un cri femblabje
à celui des martinets, 227« — Et
fur-tout dans le temps des nichées,
où elles ne ceflènt de crier. — Elles
, arrivent par troupes fur nos côtes
- de l’océan au commencement de
i mai. — Le bruit des aimes à feu
ne les effraie pas. — Singularité de
leur naturel qui les porte à accompagner
leurs compagnes bleflféès. ou
mortes, a 28« — Dfctà. peut vépir
• - cette confiance, aveugle* —■ jpé^;
cription des pieds ,& de quelques
autres*" panies extérieures de cés
oiféaux. — Cette làmüle des hirondelles
de mer efl eompofé© de
plufieurs elpèees , dont ia plupart
ont franchi les océans & peuplé
leurs rivages * 3'2<j.
Hir o n d e l l e de mer (grande)'»
Voye^ Pi er île -gGA r in .
Hir o n d e l l e Dé mer '(petifetjj
elle ne diffère du pierre-garin du
grande hirondelle de mer de nos
côtes , qu’en ce qu’ellè eft confi-
dérablement plus petite, 337«’—•
Elle a auffi le même naturel & les
mêmes habitudes.— On peut néan-*-
moins les nourrit en captivité,
338.
Hiro n d e l l e de mer (antreJ*
Voyei G u jfe t t é ,
D E S M :A
H iro nd e lle autre Ml
ni KbjlfeiCAGjHET. ,
H iro n d e l l e d e /mer , '^grMd^
; j envergure; quoique toutayles? fa jj^n-
, jdeïles d&.métjaifntMêÆèssffgraittdes
H ailes ; Celle-ci lès à propoyq(om$él-
1 ;Jement Lplus-üdop-guf?^ qu’uucune
. autre. — Elle1 fe tçovife? %1’pé» de
i’Afcenfi.orij em“fr,èsrgtan,d§; quantité
» —5 "S qat naturel, Aqft eri^—r
- Elle ne pondijprdinairement vqu>’un
. oeuf & rarementydeux: #,,(345* —1
Qe?- font ttès^gÿo^-npoips- la
; taille de l’Oifeau ; iis*fpm~cfe'?pù-
î Ifur jaunâtre avec des taches brunes
t &: ;violettes È 3 gjf$|H
H ï R.O N Bf m m D E M E R A dé
, ïÇayenm; „c’eft la plus, grande yïé .
, toutes le? hirondelles,, de mer-,
3.4A. — ,Sâ defcription, .3.47,
JH 1 R O N^E L L E DE MER $&(jÈ
, philippines ,ielle eft grande comme
notre pierre-garin, & peut-être
eft-elle de la mçme efpèce ^.njot
■^Cj^|fiéfi. par, l ’inl|ù®E|6e du climat.
; Sa ,defçription, 344.
H u î T RIE r , ainfi nommé p^rce
qu’il; fe: nourrit d’huîtres ,, de
, patelles & autres coquillages. — II
fe tient conftamment fur les écueils
& ftjr les côtes de la mer. —, II
crie prefque. continuellement &
défagréablement a peu-près comme
la pie, ce qui lui a fait donner le.
...,. furnqm Hier. — Cet oilêau
, ne fèfvqjfj'-que rarement fur nos
i c§|eSÿ,4e .frapce.iflli niche
“ .tCégeijferit quelquefois fur celles.de
- ^ça|ciiej’ il, y -arrjyg > en tipupe. —•
On1 croit qu’i l .^ient..d’Angleterre
, & çette pft
j trêSj-corpn^UÙe. II (èjpprte aa|ü
bien plus avmt yei^p N qrd,,. on
le tr§U||ênulqü^ep. en
Iflande'. —^ Ô S ^ 1 ienGontre- aulîf
furies t^ses aptaréli^es^au détçoà
•de I^agÿj|^?,à;ia,t^rêifle^Beu &
à Jj. nouveHe^^ande. — II fré-
. quepte ang les climats, chauds, &
eft çommun au JappnLf u,27L4—■
i.. Il le retrouve en^Àmérique.‘,— Et
par-tout fpp, elp.ècea'.parQÎti être
, ifo% 5et fansi^variéte Comparai-"
fon^d^. cet, .oifeau, aye.c ,ies, autres
oifeaux- de; rivage; ïz £. — Sa
grandeur. — ^Son., bëqvl ,eft conformé
de manière A^pouvoir^ ouvrir
aifément leS ihuîtres y..& détacher
les coquillages; des, rochers.,
—' Defcrîptioii..'.'de l’oifèau, 123.
— 5>aqmajnièr.e. .de • pa!gét. —■ On
l a appelé, en .quelques .endroits
lécajfe ’sde_. - fner à caufe ,d® fon
m long jbec. — II eft toujour^gras
,en hiyer, & la chair des jeunes
eft aflèz bonne à. manger,..— Ses
habitudes en captivité & en liberté^
124. — II ne fait- point de nid &