
T a b l e
'.s’eft établi le plus airçfénnemêntj'
&; s’eft confervé le plus long'?
temps, parce que tous jesxçep^Ee&;
& autres aiiimau^s nujfibles ‘y
étoient en, plus■ grande quantité
que par-tout ailleurs, 2. — Exenv^
“ plès-^çp >fiîjeïj ■ cuite de%
animaux fàcrés étoit fondé, cKez»
“ îes 'Anciens , i far leur - utilité:- s—*.
Les foins qu’ils prënoient de leur
c'onfervation, la défehfe de les.
détruire étoit une .loi làge : qui
dégénéra enluite en fuperftition,
& fit de ces animaux des Dieux»
• I IO. '9 ■'
A v O CETTE (F) diffère de prefque
tous les oifeaux palmipèdes par. la
• grande longueur de fês jambes ; &
il diffère de tons en général par la
_courbure de fou bec'qui ~fe-fléchit
- en haut comme un croixfant. ■—
Defcription de ce bec,. 4 6y. — II
eft allez difficile d’imaginer comment
cet oifeau fe nourrit à l’aide
d ’un tel infiniment, avec lequel
. -il ne peut ni becqueter, ni faifir.
t —y Auffi fe borne-t-il à chercher
dans l’écume des flots le frai des
poifïôns qui par'oît être le principal
fonds de là - nourriture, 467. —
L ’avocette fréquente les embouchures
des rivières & des fleuves,
de- préférence' aux autres plages de
ïa mer.— Sa grandeur f dàdefcriptidrî,
'veè. habituâtes » Jon naturel:
vif & inconfiant, 468. — Elle
pallé fur jnos côtes de Picardie en,
avril & en novembre ,• &. part
iouvent. dès ie lendemain - dé Ion
arrivée. — Salerne allure que l’éf-
pèce én eft affez ndmbreufe fur
les côtes du bas Poitou, & qu’elle
y fait là ponte, 4 dp.—Différences1
des’ couleurs- du plumage & des
pieds- dans-lés jeunes & dans les
adultes. — II y a peu- de différence
entre le mâle & la femelle, finon
que- cette dernière eft un peu plus
petite.. — Cet oifeaü eft défiant
& fie laiftè prendre très- difficilement
, 471.
B ec- en-cis-eàux, ôffèàu quf ne
peut ni mordre de coté/,' ni ramafïer
devant for, ni becqueter en avant;.
raifion de cette difficulté qui vient
de la conformation- .fiès-fingulière
de fon bec. — Gomment il èftTdfcé
de prendre fafnburrimrè, q,.$y. —>
Defcription du bec & dés autres
parties extérieures de fon corps &
de fon plumage qui eft femblable
- dans le ! mâle -& la femelle, 4 5 8-,
— Cet -oifeau fe- trouve fur les
côtes de la -Caroline & de là
Guyane ;■ il eft-.prefque toujours,
en l’air. & va .communément pair
X> E S rM A
8 troupes affez nombreufe's; maisfôn
vol n’eft pas rapide. —^S.és,autres
habitudes naturelles , 46.0.
B ê cha R u. Vbye^ El a n t ,
4&o^’w#
B O Ü R G. Sï 'Ï:&T R É". Voy$ G O-É-
L anB* à manteau gris-brun1*- A
C A N U'T. Origine1 de ce; noîn’i •—
L ’oifeau- caput reffemble afîez-*-au
* yaneau gris» f mais-il eft plus, potît
& fori'-b’ec. eft difterenti}^ Sàidef-«
, cr-ipùbn.y'.' 1 4I2V ' ’éft, .unî-pétitj
oifeau. de-rivage que “fonfi. peut
' engraifîèr & nourrir de pain trempé
1 de lait, & cette nourriture donne
à fa chair un goût exquis j 143 .
C astagnLÙX (les) font des grèbes
beaucoup moins grands que -les
autres ; iK'.jfeen a même de prefqüé.
auffi petits que les pétrels qui , de
■. tous les oifeaux navigateürsipfont
les plus petits ; leurs reflèmblances
I & leurs différences avec les autres,
grèbes.— On leur a donné le nom
de cajragneux, parce qu’ils portent
du brun - chfktain ou couleur de
marron fur le dès , 2.44. — Diffé-
, rences fini fe trouvent ? dans plu-
- fleurs in d iv id u s ïbid. — Leurs
habitudes naturelles. -— Difficulté,
qu’ils ont à fe tenir & même à
. marcher fur la terre. — On les voit
f 1 È R E s. | m
- tout “l ’hiver ‘ fur les rivières,. &
quoiqu’on l’ait, nommé grèbe de
rivière, on en voit auffi,fiar la mer.
•— Leur nourriture. — Defcription
- des parties intérieures & extérieures
de cet oifeau, j.45.
G A,STAG;ij E ’u x J- à. bec cerclé??.» fa
• defcription. — II fè ;tiouve fur les
■ étangs d’eau douce à la Caroline»
• ‘2'474 jg
C a s ,T A G NE V XI des Philippines ;
cet oifeau n’éll .peut-être.que notre
B 'caftagneux ; - ,tul peu4 [àgraitdi „ & ;
£ -ïnodifi-èpar finfllieftce; d’un climat
 plus; chaud.-=-i‘Sâf defcriptionp 2 4G
C A s t 'M g;We :u x - de ^tïnip- D o -
yniïngtie.. IP eft ! encore plus petit
• que Je 'caflâ^nénx ...diE'utûpe.. .
’ Sea-dlmenfions & fà' defcripjioti »
Wgàjÿà
C.À u-R Â.L'E- èifean qui eft afnfi
nommé’parce qu’il refîèlmbîe aux
râles» & qu’il a mne-longue queue.
~ Defcription de ' fon plumage
qui eft très;-9gréahIement-3 nuancé,
— Diraènfions dncet oifeau, corn«
.parées avec;celles du râle, 1 èp.:,
—^ On. l&^trouve, mais : affez ra-r€-. ‘
"ment dans l’intérieur des ferres fle
ia Guyane ^ 170;.
C h ir u r g ie n ..Voyèi Ja c a n a ,
C O r L I E U ou petit Courlis ; fà
grandeur eft moindre que celle du
courlis ; fa figure » fes -.couleurs &