
O I S E A U X
Qid ont rapport a la PoutLE S ultane.
à c e primitive & principale de là Poule fultane,
étant originaire^: des^çontrëeâ du Midi dë notre continent,
il n'eft pas' vraifemhlable que les [régions du Nord,
nourriflept des, efpèces'Jiècondaires dans ce genre : àufli
trouvoqs-nous qu’il en faut rejeter plufieurs de celles qui
y ont étë'rarigëîljs par M. BriüTon, & qui font fcs 4 , y,
6 , 7 & 8.meelpèces, auxquellesdl fuppofe gratuitement
la plaque frontale, quoique Gefner, dont, il a tire les
indications rejâtNes à ces oifeau^x, n£ défigne cette plaque
ni dans fes notices, ni dans les 'figures. La fecpnde de
ces efpèces paroît être un râle, & nous l’avons.rapportée
à ce .genre d’oifeaux ; les quatre autres font des poules
d’eau , comme l’auteur original le dit lui-même ; & quant
à la neuvième efpèëe du même M. Brillon, qu’il appelle
poule fultane dp' Iq, baie \d’H$dfon, elle doit être également
ptée de ce genre?rà r^ilon du climat , d’autant que M,
Edwards la donne en effet domine une foulque, quoiqu’il
remarque eri'iïiê^é temps qu’elle fe rapporte mieux
au râle. Malgré cès Vetranchemëns il nous reliera encore
trois elpççp§, dans l’ancien ^continent, qui paroilfent faire
la nuance entre notre poule fultane1 ^^.les.foulques & les
' (a) M. Fôrfter a trouvé à Middelbourg, l’une des 'fks\des Amis,
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