
oT^lcure ât centré tres-ïbnce qili îm noirci ta ïétë , lè
cdn & iè cvrpsi fe-ailes feules font du joli gris qui fait
la -îivréfe' 'Commune àes hirondeHespde rftet ÿ/a.gtandeur
eft àpeu-près la même que celfe delà guifette commune;
fon bec eft noir, & m petits pieds font d’àn rouge-
ôblcm-; on diftinguê'le mâle à une tache blanche pkccè
foüs ta gorges * _ .. .
iQes oifeaux n’ont rien dé lugubre que le plumage*
car ils font -très-gais, votent fans ceffe, & font nomme
les autres hirondelles de mer mille tours &retôurs dans
les airs; ils niellent comme des autres;guifettes fur le«
rofeaux’ dans les marais, & font trois' ^ quatre atuk.
d’un vert-faîe, avec des taèhès noirâtres qfo forment
une zone vers le milieu (y )\ ils chaflbnt ÿe ïi& n t àüX
infeaes ailés., & leur reflemblent encore par toutesles
allures ( t ) '
L E G A C N E T. {ajl
Cinquième ëJpètBi
U N beau noir couvre la tête, la gorge* k eou &
ie haut de là poitrine de cette hirondelle dé mer > en
- ( f) Wiliughby.
OHfervatioïis communiquées par W «aiïion de Atontreuil-'
fur-rriér.
(a) Goiland ou Larus albo nigtr, ErundldisXüudâ. Eeufiléfe * Qmiïm
manière de chaperon ou de domina ; fon dos eft gris ; fon
Veiptre blanc * elfeiefo un peu plus, grande que les gtfo-
fettes : l’efpèee n’en paraît pas fort commune für nos-
cotes, mais elle fe retrouve for celles, de’ l’Àniériquey
©u le F. Feuilfe^' l’a déeriÊO|^i& Ou-ii'âfoJbfervé que
t?obfervatims, édit. i j 2 y , page 260. &- Petite hirondelle tfe mm.
Albin, tome H* page 5,8 , planche 850 — Stetnd'fupanèjaiuraù cintrea,-
inßrne "alla ;'OEpite'T'"cdllo '& 'ffififiVißpremiE'vE'fft) vèUlôturil ? ahMtU
fiomis^ utrimque ' extimâ ^xtmuA «Àp™
fatnraù cinereo marginatâ| . . . L ’hirondelle de mer à tête noire nt le
gachet. Briflçïi-, Ornithol. tome' 3/1, page | 2:J 4. m
: - (b)' Elle femMe défignée fous le norp d[e J^fc dans le pafiagè ïkitrani
du nayigàteur 0.unpiêr*. «r Nôtis vîmes quelques boubies & des bufesï
. fe,nuit tjoitâ prifnfs. un de cefi.dernifts p^aux, il #oi$ ÆffçjFènt &
PQUr l<v cq^iwi & Iat figure de tous ceux q u e j’avjçls yu' jiifqu’îci ; «e
îl avoir lé ‘ bee"iong & délié comme' tous les autres oifeaux de eétte «
éfjÿèèë*îie pied, plat comme les canards; îa queue plus longué,Jaïge. s*
pluf&usçh-ue qv# çefle fiés hirondelles; les ailes fort longues.; ;1e *
dufiitS -dé i?. lêtç d’.un. »0« (Je, çfiarhon ej de petites raips noires aUtojur «
des yeux, & un-cercle blanc affez large qui les enfermoit de Tun a* do ce
l*autr#ëôtéf Ie^iahot^îeVentté éHe defibts des? aiieS'étoieilt bfaiies- ?c
mâts* iL-avoîlt le- dos & le délïbusi des allés d’un tafeh? fpâfiè St
çquLeur ^e- fumée ► . ► . On trouve dé oifeaux dans -fe piüjpaft ÿ
de ces lieux fitüçs. entre les dçttx Tropiques , de même que dans ?{es ce
îndes orientales Sc fur la côte du Brefiî ; ils paffent- lâ nuit a terfe j «
de forte qu’ils ne vont pas à plus dé trente liedès ésH- meï, ä nÂiis c*
qu'ils ne fbieiit cLaÉres' par quelque -eeropêtè iprfqu’ils viemàerit à
autour dés. YailïeauxiSls'.âé manquent prefque-jamaïs de s’y perofier «
la nuit , & ils fe laifient prèndré;■ fans remuer; i^^^wffèurs iïMs"ce
fur . les collinés pu les rochers Voifins de la mer. » Nouveau Voyagé*
autour du monde, par Dampier; Rouenr tome JV, page 12 a